Cuisines de quartier

Le mouvement des Cuisines de quartier est né d’une recherche-action participative sur l’accès à une alimentation de qualité pour tou.te.s et s’inspire de l’expérience des Cuisines collectives du Québec.

Les Cuisines de quartier proposent une innovation sociale alimentaire en Région bruxelloise. Une Cuisine de quartier, c’est un espace équipé occupé régulièrement par des groupes de citoyen.ne.s qui préparent des repas en grande quantité pour le quotidien.

Nos activités :

  • Accompagnement de groupes de citoyen.ne.s qui s’organisent collectivement pour cuisiner, avec ou sans l’aide d’une organisation locale
  • Conception et diffusion d’outils d’accompagnement
  • Organisation de visites et d’animations pour les groupes
  • Mise en contact des groupes : échanges des connaissances, des pratiques et des savoir-faire
  • Mise à disposition d’espaces de cuisine
  • Représentation des citoyen.ne.s-mangeur.se.s
  • Plaidoyer pour un système alimentaire juste et durable
Illustration
Public cible
Langues
Français
Adresse

Belgique

Email
info@cuisinesdequartier.be

Le speed-dating Good Food : un événement couronné de succès !

Un "speed-dating Good Food" se déroulait pour la première fois le lundi 5 octobre à Bruxelles, une initiative émanant de Bruxelles Environnement et visit.brussels. L'objectif ? Réunir le secteur horeca et événementiel bruxellois ainsi que les producteurs locaux afin de promouvoir une consommation davantage durable.

L'événement était organisé à Be-Here, un pôle d'activités économiques situé à Laeken. Par tranches de 15 minutes, une centaine de professionnels (restaurants, cafés, bars, hôtels, organisateurs d'événements...) désireux de signer de nouveaux partenariats durables et locaux ont pu s'entretenir avec des producteurs, des artisans et des fournisseurs des Régions bruxelloise, flamande et wallonne.

Au nombre de 60 présents ce lundi, ils répondaient tous aux critères Good Food. Y étaient notamment représentés la biscuiterie artisanale biologique Mad Lab, la microbrasserie artisanale La Source, le domaine viticole du Chenoy, les aviculteurs du Coq des Prés, le torréfacteur artisanal des Cafés Looze, l'Escargotière de Warnant ou encore la conserverie Pipaillon.

"Cet événement nous permet d'agrandir notre réseau et de développer de nouvelles opportunités. On croit à la création d'un réseau solide et solidaire", a commenté Nina Carleer, co-fondatrice de La Source.

Cinq cents rendez-vous ayant été fixés et les retours des professionnels étant déjà positifs, l'objectif pour les deux organismes bruxellois est de réitérer l'expérience à l'avenir, a assuré Kurt Custers, directeur de division chez Bruxelles Environnement.

"Nous devons réfléchir à un nouveau type d'économie et promouvoir un tourisme qui respecte l'économie locale et appuie les emplois locaux", a surenchéri Patrick Bontinck, CEO de visit.brussels.

Forcado - # 4661 - Engagement

  • Respect de la législation (AFSCA, tri des déchets, etc.).
  • L'usine de transformation est
    - Soit située sur le territoire de la Région de Bruxelles-Capitale et le transformateur vend ou livre à Bruxelles ;
    - soit située en Belgique et prête à vendre ou à livrer à Bruxelles.
  • Matière première préférée :
    - Les fruits et légumes belges et de saison. : 60% des fruits et légumes frais transformés sont des produits de saison belges (moyenne sur l'année, calculée sur base du nombre de références) ;
    - des produits agricoles frais de la plus haute qualité, des produits certifiés biologiques ou des produits fabriqués selon l'engagement Good Food pour les producteurs. Chaque produit fini est composé d'1/3 de produits certifiés biologiques (calculé sur le poids du produit fini).
  • À éviter :
    - Les additifs susceptibles de dénaturer le produit, tels que les arômes artificiels, les exhausteurs de goût ou les édulcorants.
    - Les graisses hydrogénées 
    - L'application de radiations ionisantes pour conserver les produits. 
  • Préférer les ferments et levures naturels aux alternatives chimiques.

KOM à la maison

Lorsque des citoyens se retrouvent autour de l’envie de changer le monde 'à coup de cuillère', l’idée d’une cantine de quartier leur semble une évidence. Le projet de KOM à la maison est de proposer un lieu de rencontre entre voisins, un espace de convivialité et de partage, une cantine durable, participative et à prix libre, et enfin, une cuisine pleine de bon sens et de goût. 

NAO - # 4640 - Engagement

J’atteste sur l’honneur avoir complété cette fiche d’engagement de manière exacte, complète et véridique, et je m’engage à continuer à respecter ces critères dans le futur
Activé
Le transformateur se fournit auprès d'au moins 3 producteurs/transformateurs inscrits dans le bottin Good Food et/ou qui travaillent en coopérative.
Désactivé
Le transformateur se fournit auprès d'au moins 5 producteurs/transformateurs inscrits dans le bottin Good Food et/ou qui travaillent en coopérative.
Désactivé
Le transformateur ne propose que des œufs de catégorie 0 (bio) ou 1 (plein air) ou sous forme de Tetrapak bio.
Désactivé
Le transformateur ne propose que de la viande labellisée : bio, Belbeef, Label Rouge, Beter Leven, IGP, AOP, STG, Prix Juste Producteur, PQA.
Désactivé
Le transformateur ne propose que des poissons figurant sur les listes verte et jaune du guide du WWF sur les produits de la mer (la liste rouge n'est pas utilisée).
Désactivé
Le transformateur ne propose que des produits de mer ou d'eau douce labellisés : ASC, MSC, Friends of the Sea, Visserij Verduurzaamt.
Désactivé
Le transformateur ne propose que des boissons biologiques et/ou issues du commerce équitable et/ou bruxelloises et/ou artisanales.
Désactivé
Le transformateur utilise une plateforme de distribution d’invendus pour vendre son surplus de production à prix réduit.
Désactivé
Le transformateur collabore avec un acteur de l'aide alimentaire à qui il donne régulièrement son surplus de production.
Désactivé
Le transformateur respecte tous les critères ci-dessous:
Activé
  • Respect de la législation (AFSCA, tri des déchets, etc.).
  • L'usine de transformation est
    - Soit située sur le territoire de la Région de Bruxelles-Capitale et le transformateur vend ou livre à Bruxelles ;
    - soit située en Belgique et prête à vendre ou à livrer à Bruxelles.
  • Matière première préférée :
    - Les fruits et légumes belges et de saison. : 60% des fruits et légumes frais transformés sont des produits de saison belges (moyenne sur l'année, calculée sur base du nombre de références) ;
    - des produits agricoles frais de la plus haute qualité, des produits certifiés biologiques ou des produits fabriqués selon l'engagement Good Food pour les producteurs. Chaque produit fini est composé d'1/3 de produits certifiés biologiques (calculé sur le poids du produit fini).
  • À éviter :
    - Les additifs susceptibles de dénaturer le produit, tels que les arômes artificiels, les exhausteurs de goût ou les édulcorants.
    - Les graisses hydrogénées 
    - L'application de radiations ionisantes pour conserver les produits. 
  • Préférer les ferments et levures naturels aux alternatives chimiques.
Autres
Désactivé
Le transformateur travaille en circuit court : il y a au maximum 1 intermédiaire entre le producteur et le consommateur.
Activé
Le transformateur réintègre le surplus et les invendus dans sa production.
Activé

NAO

Coordonnées géographiques
POINT (4.348548 50.870986)
Geolocation
50.8709862, 4.3485478
100% végétarien
Désactivé

La cense de Léandine / Christophe Hugo - # 4638 - Engagement

J’atteste sur l’honneur avoir complété cette fiche d’engagement de manière exacte, complète et véridique, et je m’engage à continuer à respecter ces critères dans le futur
Activé
Le producteur animal respecte tous les critères ci-dessous:
Activé
  • Respect de la législation (AFSCA, tri des déchets, etc.).
  • L'exploitation du producteur est implanté soit :
    - Sur le territoire de la Région de Bruxelles-Capitale et livre à Bruxelles ;
    - En Belgique et livre à Bruxelles
  • Assurer une production liée au sol et de plein air.
  • Nourrir les animaux avec des aliments principalement spécifiques à l'exploitation, complétés par des aliments locaux (belges/européens).
  • Ne pas utiliser d'OGM ni d'intrants chimiques, exceptions autorisées comme dans le cadre du cahier des charges du mode de production biologique.
  • Favoriser la reproduction naturelle.
  • Limiter au strict minimum les mutilations (écornage, …).
  • Limiter au maximum les traitements contre les maladies et utiliser des traitements respectueux de l'environnement, la santé des animaux est basée sur la prévention.
  • Préserver et améliorer le capital sol, air, eau et biodiversités des écosystèmes.
Nourrir les animaux avec des aliments biologiques.
Activé
Les jeunes mammifères reçoivent principalement du lait maternel.
Activé
Choisir des souches et des races adaptées à l'environnement local, en privilégiant les espèces rustiques et indigènes.
Activé
Le producteur travaille en circuit court : il y a au maximum 1 intermédiaire entre le producteur et le consommateur.
Activé
La production excédentaire est basée sur la cascade de la préservation de la valeur avec une réutilisation maximale pour l'usage humain, mais aussi avec une attention à la réutilisation des flux résiduels dans l'exploitation.
Activé
Certifications
Label bio

Élever des poules en ville

Rêvons Messidor, Odette Bienfait & Collectif ipé

Le groupe porteur du poulailler du quartier durable Rêvons Messidor, Odette Bienfait, experte de l’élevage de volailles, et le Collectif ipé, chargé par Bruxelles Environnement de la mise en réseau des projets citoyens Good Food en Région de Bruxelles-Capitale, vous invitent pour l’atelier « Élever des poules en ville », le samedi 26 septembre 2020.

Élever des poules permet évidemment d’avoir des œufs frais, dont vous connaissez la provenance, mais ça apporte d’autres avantages. Les poules contribuent au recyclage de vos restes de table, de légumes et de fruits ; parfaites auxiliaires du jardinier, elles aident à éliminer les limaces et pucerons et vous fournissent un engrais naturel pour vos plantes.

Envie d’essayer ? Cet atelier vous montrera que l’élevage de poules en ville est possible et accessible à tous.

Concrètement...

  • 14h00 – 14h30 : Accueil
  • 14h30 – 15h00 : Présentation du Poulailler de la Cité Messidor, par le groupe porteur du projet
  • 15h00 – 17h00 : Atelier : intervention de Odette Bienfait suivie d’échanges avec les participants
  • 17h00 – 18h00 : Apéro convivial et d’inauguration du poulailler : « auberge espagnole », chacun amène des petites choses à grignoter - pourquoi pas des recettes à base d’œufs ?

Adresse : La Plaine d'Anjou, dans la Cité Messidor à UCCLE. La "plaine d'Anjou" se situe en intérieur de l'îlot délimité par l'avenue du Jonc, la Drève de Touraine et la Drève d'Anjou. Accès entre le n° 23 et le n° 25 de l'avenue du Jonc et le n° 11 et 13 de la Drève d'Anjou.

Transports en commun : Arrêt DECROLY (descendre l'Avenue du Jonc) ; Train gare d'UCCLE STALLE (remonter la Rue du Bambou jusqu'à l'Avenue du Jonc) ; Tram 82 arrêt MAX WALLER (remonter l'avenue Général Dumonceau jusqu'à la Drève d'Anjou).

Le port du masque sera souhaité ou obligatoire ainsi que le respect de la distanciation sociale en fonction des règles qui seront d’application à cette date ! Des gels désinfectants seront à disposition des participants.

La participation à cet événement est gratuite mais le nombre des participants est limité. Pour une bonne organisation, pourriez-vous nous confirmer votre participation au chantier au plus tard le 24 septembre, par un mail à citizensprojects@goodfood.brussels ou sur la boîte vocale du 02 376 32 09 (Bernadette GAUTIER). Merci !

Au grand plaisir de vous rencontrer ou de vous revoir à cette occasion !

 

2020-09-26T14:00:002020-09-26T18:00:00

Avenue du Jonc 23
1180 Uccle
Belgique

Citoyens

GOOD FOOD pour tous et toutes

Bien manger est un plaisir. Mais est-il accessible à tous et à toutes ? La question de l’accessibilité de l’alimentation durable fait l’objet d’une vaste réflexion.

« La Good food au-delà des sentiers bobos ». C’est sous ce titre sans détour que l’Université Populaire d’Anderlecht, soutenue par Bruxelles-Environnement, a entamé une vaste réflexion, en mars dernier, autour « des préjugés et de l’accessibilité du bien manger en milieu populaire ». Il n’y a pas que le coût, mais aussi l’accès symbolique, culturel ou géographique qui constituent des freins à l’accessibilité de l’alimentation durable. 

Dans le prolongement de cette journée thématique, l’Université Populaire d’Anderlecht consacre un  double numéro de sa revue « La Mauvaise Herbe » à l’alimentation durable. Mêlant les analyses académiques aux retours de terrain (aide alimentaire, éducation permanente, projets citoyens), le dossier interroge les conditions d’éclosion d’un modèle de production et de distribution alimentaires, à la fois susceptible de relever les défis environnementaux, et réellement conçu pour satisfaire les besoins de tou·te·s.

Découvrez l’édito du numéro ici.

Ce dossier vous intéresse ? Nous vous invitons à le commander la version PDF (4€) via ce lien.