Vidéos de producteurs bruxellois (Village Partenaire)

Vous voulez entreprendre en agriculture urbaine ? Laissez-vous inspirer par ces vidéos mettant en scène des producteur·rice·s bruxellois·es, réalisées par Village Partenaire !

 

Bluëtte, des légumes bruxellois cultivés par Fiona

Fiona, de Bluëtte Farming, a lâché sa carrière politique pour tenter l'expérience du maraîchage. Elle s'est faite accompagnée par Delphine, notre coach création d'entreprise en agriculture urbaine, et a lancé son projet de maraîchage à l'espace-test Graines de Paysans. Fiona a accès à un terrain gratuitement pour voir si le métier lui plaît, et pour elle, c'est un coup de coeur !

 

Citysane, des tisanes en agriculture urbaine

Après plusieurs années de carrière en entreprise, Brigitte a décidé de changer de vie et a créé Citysane, un projet de tisanerie à Bruxelles. Elle s'est faite accompagner par Delphine, notre coach en création d'entreprise en agriculture urbaine.

 

La gestion financière d'une petite exploitation agricole

David Errera, de CycleFarm, explique dans cette vidéo l'importance d'avoir une gestion commerciale simple et rigoureuse.

 

URBI Leaf, des micropousses bruxelloises

Anne Colonval, fondatrice d'URBI Leaf, raconte son parcours dans cette vidéo.

Projets inspirants

FSSC22000 - Version 6

Brufotec asbl

"L'un des défis les plus importants auxquels sont confrontés les fabricants de produits alimentaires est la sécurité des produits, car les aliments sont vulnérables à la détérioration. Le risque commence avec la grande variété de matières premières et d'ingrédients provenant de divers fournisseurs, combinée à des chaînes d'approvisionnement mondiales et complexes. La mise sur le marché d'aliments dangereux peut avoir un impact majeur sur la santé publique, entraîner une perte de confiance des consommateurs et nuire à la réputation des marques.

La norme FSSC22000 est un système de gestion de la sécurité alimentaire basé sur le risque qui offre une solution solide pour relever ce défi par le biais d'une certification par une tierce partie. L'obtention de la certification favorise une gestion efficace de la maîtrise des dangers liés à la sécurité alimentaire, de la minimisation des risques et de l'assurance de la production d'aliments sûrs." - FSSC22000.com

Cette formation est destinée à ceux qui veulent (re)découvrir le standard FSSC22000, reconnu par le GFSI et donc indispensable pour les entreprises alimentaires qui souhaitent vendre leurs produits via la grande distribution ou à d'autres transformateurs certifiés.

2023-10-17T09:00:002023-10-17T17:00:00

Boulevard Industriel 200
1070 Anderlecht
Belgique

Professionnels
Thématiques

La réglementation et la certification bio pour les transformateurs, grossistes et points de vente

Brufotec asbl
  • Comment se lancer en bio ?
  • Est-ce le bon choix pour mon entreprise ?
  • Par quoi commencer ? 

Cette séance d’information est l’occasion de rencontrer Biowallonie, structure d’accompagnement de professionnels du secteur bio en Wallonie et à Bruxelles, de poser vos questions à notre équipe, d’avoir les dernières informations sur les chiffres de la consommation et de la production bio, et aussi de prendre connaissance des règles pour la réglementation biologique. Biowallonie anime et encadre cette séance. Un organisme de contrôle sera présent pour répondre à toutes vos questions. 

 

Au programme

  • Rapide balayage des spécifiés réglementaires du bio pour les productions primaires végétales et animales
  • Réglementation pour la transformation : matières premières et process autorisés, règles d’étiquetage… 
  • Réglementation pour la distribution, l'import et la vente de produits biologiques
  • Déroulement des contrôles
  • Explication des changements dans la nouvelle réglementation BIO 
  • Présentation des chiffres bio belges : production et consommation
  • Où s’approvisionner en produits bio belges ?
2023-09-29T13:00:002023-09-29T16:30:00

Boulevard Industriel 200
1070 Anderlecht
Belgique

Professionnels
Thématiques

L’Agriculture Urbaine à Bruxelles, zoom sur un secteur en croissance et le défi de l’accès au foncier

Si le nombre d’agriculteurs « traditionnels » continue de diminuer en Belgique, on observe à Bruxelles et depuis une dizaine d’années un renouvellement du secteur agricole avec l’essor d’une agriculture urbaine (AU) proche du consommateur et soucieuse de l’environnement. Aujourd’hui, la Région dénombre une cinquantaine d’exploitations professionnelles dont près de 75 % sont portées par de jeunes agriculteurs non issus du milieu agricole, communément appelés les « NIMAculteurs ».  Quelles terres exploitent-ils, quelle stabilité pour le secteur, quels sont les enjeux mais aussi les freins et menaces à son développement ?

 

Nouveau souffle durable et résilient pour le secteur de l’agriculture

L’agriculture urbaine dans la Région bruxelloise est très variée, tant dans sa forme de production, ses modes de distribution ou ses types de support. Ainsi, du maraichage à la production de champignons, de la vente directe ou via des intermédiaires restaurateurs, d’une production en pleine terre ou hors sol, en intérieur ou à l’extérieur… la diversité de cette pratique agricole fait la force de l’agriculture urbaine, capable de s’adapter à tout type d’environnement.

On remarque que ces projets se résument rarement à une simple activité agricole. Ils ont souvent une dimension pédagogique ou sociale, comme La ferme urbaine, porté par l’asbl Le Début des Haricots à Neder-Over-Heembeek, Bel Akker porté par Atelier Groot Eiland - deux espaces d’insertion socioprofessionnelle par le maraichage. Ou encore les fermes pédagogiques au Parc Maximilien, à Jette… De fait, cette agriculture d’un nouveau genre est un outil de transition et d’accès à une alimentation locale et durable. L’AU peut même permettre, dans la mesure d’une pratique agroécologique, d’améliorer la qualité du sol en pleine terre et contribuer à la régénération des sols vivants.

On peut donc caractériser l’agriculture urbaine par 3 critères[1] : la localisation de la production par rapport à la ville, les fonctionnalités réciproques avec celle-ci (fonction nourricière) et son intégration dans la dynamique urbaine : santé, économie, interactions sociales, éducation, formation, loisirs, aménagements urbains et paysagers, environnement...

 

Un cadre juridique flou

Malgré son importance croissante, un certain flou juridique entoure encore cette pratique. L’agriculture urbaine n’est pas mentionnée dans les plans et règlements qui organisent les activités et l’aménagement du territoire, en particulier le Plan régional d’affectation du sol (PRAS) qui constitue le socle de la réglementation bruxelloise. Ce vide juridique permet, en quelque sorte, une certaine flexibilité dans les espaces d’implantation puisque l’activité productive est autorisée dans la majorité des zones du PRAS, bien que les superficies soient limitées selon les zonages. Ainsi, si l’on observe les projets existants :

  • Dans les zones agricoles du PRAS, naturellement dédiées à cette fonction et principalement situées à Neerpede, on retrouve plusieurs producteurs : par exemple la Smala Farming, ferme urbaine liée au restaurant Smala à Saint-Gilles, la tisanerie Hierba Buena, Fruit Time
  • En zone verte, destinées en priorité à la conservation du milieu naturel, se développent par exemple Ile de Garde Tisanerie à Jette, qui cultive une cinquantaine de plantes culinaires, aromatiques et médicinales, La fille des saisons à proximité du campus universitaire d’Anderlecht, produisant des légumes, fleurs comestibles et aromatiques, Les Garçons Maraichers qui produit sous serre une grande variété de tomates.
  • En zone constructible, la ferme aquaponique BIGH, a installé ses infrastructures en zone de forte mixité, sur les toits du site des Abattoirs d’Anderlecht. Le projet Bel Akker, se situe en partie en zone de forte mixité, en partie en zone d’habitation.

De fait, même si les surfaces de production les plus importantes sont situées dans le Pays de Neerpede, plus de ¾ des producteurs sont aujourd’hui localisés en dehors de ces espaces péri-urbains, partout dans la Région.

 

Du soutien pour pallier les difficultés du secteur

À Bruxelles comme dans les régions rurales, être agriculteur est un métier essentiel mais exigeant, et cette réalité n’est pas nouvelle. Dans une ville-région où l’espace est limité, les producteurs urbains font face à une série d’obstacles, parmi lesquels le manque d’espace et de capacités d’implantation. Ceci se révèle tant pour les projets de pleine terre que pour ceux qui s’installent en toiture. Le secteur agricole, comme d’autres fonctions dites fragiles, est sujet à la pression foncière et immobilière, encore et toujours en augmentation selon les dernières données du baromètre de l’immobilier de la Fédération Royale du Notariat belge[2]. Pour la culture hors sol, d’autres contraintes techniques s’ajoutent : portance et stabilité, accessibilité et acheminement des matières, accès et stockage de l’eau …

Conscientes des défis auxquels sont confrontés les producteurs urbains, les administrations unissent leurs efforts pour accompagner et soutenir l'agriculture urbaine : soutien à des acteurs de l’accompagnement spécialisés en AU (Terre-en-vue pour l’accès au foncier, Espace Test Agricole de Graines de Paysans, Fédération des professionnel∙le∙s de l’AU, Guichet d’Économie Locale spécialisé en AU, Facilitateur AU), réforme du bail à ferme, nouvelle ordonnance pour un financement plus structurel de l’AU, etc.

 

Deux chantiers à suivre

L'agriculture urbaine est en train de se forger une place dans le paysage bruxellois, devenant une composante essentielle du développement durable de la ville. Le tout s’inscrivant dans la continuité de ce qui a été amorcé dès 2016 dans la Région avec la stratégie Good Food. Si le secteur est plus mature, avec notamment des modèles économiques plus stables, cet équilibre est encore fragile et les questions de disponibilité d’espaces cultivables, techniquement accessibles et abordables sont toujours complexes.

Pour cette raison, il est important d’œuvrer à la réalisation d’un cadre règlementaire souple et adapté comme un des leviers pour soutenir les agriculteurs et le développement de ce jeune secteur dynamique. La révision du PRAS en est la prochaine étape : une consultation ouverte à tous démarre cet automne, sur base du travail de définition des constats, enjeux et pistes de travail avec les institutions régionales et une série d’acteurs de terrain.

En parallèle, un autre chantier a été initié sur la réforme du bail à ferme : un avant-projet d’ordonnance mieux adapté aux spécificités de l’agriculture bruxelloise est en cours de rédaction. Cela fera l’objet d’un prochain article dans cette newsletter.

Pour en savoir plus sur les règlementations territoriales en lien avec l’AU et les enjeux qui y sont liés :

 

[1] Paula Nahmias et Yvon Le Caro, « Pour une définition de l’agriculture urbaine : réciprocité fonctionnelle et diversité des formes spatiales », Environnement Urbain / Urban Environment [En ligne], Volume 6 | 2012, mis en ligne le 16 septembre 2012, consulté le 17 juillet 2023. URL : http://journals.openedition.org/eue/437

[2] Fednot, « Baromètre immobilier des notaires pour l'année 2022 », [En ligne], mis en ligne le 16 janvier 2023, consulté le 17 juillet 2023, https://www.notaire.be/nouveautes/detail/barometre-immobilier-comment-a-evolue-le-marche-en-2022

Public Pro
Oui
Public cible
Professionnels

BUDDY BUDDY - # 7075 - Engagement

Le producteur respecte tous les critères ci-dessous:
Activé
  • Respect de la législation (AFSCA, tri des déchets, etc.).
  • L'exploitation du producteur est implanté soit :
    - Sur le territoire de la Région de Bruxelles-Capitale et livre à Bruxelles ;
    - En Belgique et livre à Bruxelles
  • Utiliser des fertilisants naturels.
  • Éviter ou limiter autant que possible l'utilisation de pesticides synthètique, les exceptions autorisées étant définies dans le cahier des charges des méthodes de production biologique.
  • Ne pas utiliser d’OGM.
  • Ne pas utiliser de semences enrobées de produits phytopharmaceutiques de synthèse, à moins qu'ils ne soient introuvables sur le marché européen.
  • Favoriser une diversité de fruits, légumes, céréales rustiques, indigènes.
  • Eviter la production sous serres chauffées utilisant des combustibles fossiles.
  • Préserver et améliorer le capital sol, air, eau et biodiversités des écosystèmes.
     
Utiliser des semences ou des plants bios, à moins qu'ils ne soient introuvables sur le marché européen.
Désactivé
Production dans des serres chauffées à base d'énergie renouvelable (pompe à chaleur, panneaux solaires, etc).
Désactivé
Le producteur travaille en circuit court : il y a maximum 1 intermédiaire entre le producteur et le consommateur.
Activé
La production excédentaire est basée sur une cascade de conservation de la valeur avec une réutilisation maximale pour l'usage humain, mais aussi avec une attention à la réutilisation des flux résiduels dans l'exploitation.
Activé

Seminibus - # 7072 - Engagement

J’atteste sur l’honneur avoir complété cette fiche d’engagement de manière exacte, complète et véridique, et je m’engage à continuer à respecter ces critères dans le futur
Activé
Le transformateur se fournit auprès d'au moins 3 producteurs/transformateurs inscrits dans le bottin Good Food et/ou qui travaillent en coopérative.
Activé
Le transformateur se fournit auprès d'au moins 5 producteurs/transformateurs inscrits dans le bottin Good Food et/ou qui travaillent en coopérative.
Désactivé
Lesquels ?
Terroirist
Vajra
Brasserie de Brunehaut
Cannavie
Le transformateur ne propose que des œufs de catégorie 0 (bio) ou 1 (plein air) ou sous forme de Tetrapak bio.
Désactivé
Le transformateur ne propose que de la viande labellisée : bio, Belbeef, Label Rouge, Beter Leven, IGP, AOP, STG, Prix Juste Producteur, PQA.
Désactivé
Le transformateur ne propose que des poissons figurant sur les listes verte et jaune du guide du WWF sur les produits de la mer (la liste rouge n'est pas utilisée).
Désactivé
Le transformateur ne propose que des produits de mer ou d'eau douce labellisés : ASC, MSC, Friends of the Sea, Visserij Verduurzaamt.
Désactivé
Le transformateur ne propose que des boissons biologiques et/ou issues du commerce équitable et/ou bruxelloises et/ou artisanales.
Désactivé
Le transformateur utilise une plateforme de distribution d’invendus pour vendre son surplus de production à prix réduit.
Désactivé
Le transformateur collabore avec un acteur de l'aide alimentaire à qui il donne régulièrement son surplus de production.
Désactivé
Le transformateur respecte tous les critères ci-dessous:
Activé
  • Respect de la législation (AFSCA, tri des déchets, etc.).
  • L'usine de transformation est
    - Soit située sur le territoire de la Région de Bruxelles-Capitale et le transformateur vend ou livre à Bruxelles ;
    - soit située en Belgique et prête à vendre ou à livrer à Bruxelles.
  • Matière première préférée :
    - Les fruits et légumes belges et de saison. : 60% des fruits et légumes frais transformés sont des produits de saison belges (moyenne sur l'année, calculée sur base du nombre de références) ;
    - des produits agricoles frais de la plus haute qualité, des produits certifiés biologiques ou des produits fabriqués selon l'engagement Good Food pour les producteurs. Chaque produit fini est composé d'1/3 de produits certifiés biologiques (calculé sur le poids du produit fini).
  • À éviter :
    - Les additifs susceptibles de dénaturer le produit, tels que les arômes artificiels, les exhausteurs de goût ou les édulcorants.
    - Les graisses hydrogénées 
    - L'application de radiations ionisantes pour conserver les produits. 
  • Préférer les ferments et levures naturels aux alternatives chimiques.
Autres
Désactivé
Le transformateur travaille en circuit court : il y a au maximum 1 intermédiaire entre le producteur et le consommateur.
Activé
Cochez les certifications qui s'appliquent à votre entreprise
Label bio
Le transformateur réintègre le surplus et les invendus dans sa production.
Activé
Utilisez-vous un ou plusieurs de ces produits ?
Oeufs
Viande
Poissons
Produits de la mer
Boisson

Biodyvino - # 7067 - Engagement

J’atteste sur l’honneur avoir complété cette fiche d’engagement de manière exacte, complète et véridique, et je m’engage à continuer à respecter ces critères dans le futur
Activé
Le grossiste se fournit auprès d'au moins 3 producteurs/transformateurs inscrits dans le bottin Good Food et/ou qui travaillent en coopérative.
Désactivé
Le grossiste se fournit auprès d'au moins 5 producteurs/transformateurs inscrits dans le bottin Good Food et/ou qui travaillent en coopérative.
Désactivé
Le grossiste ne propose que des œufs de catégorie 0 (bio) ou 1 (plein air) ou sous forme de Tetrapak bio.
Désactivé
Le grossiste ne propose que de la viande labellisée : bio, Belbeef, Label Rouge, Beter Leven, IGP, AOP, STG, Prix Juste Producteur, PQA.
Désactivé
Le grossiste ne propose que des poissons figurant sur les listes verte et jaune du guide du WWF sur les produits de la mer (la liste rouge n'est pas utilisée).
Désactivé
Le grossiste ne propose que des produits de mer ou d'eau douce labellisés : ASC, MSC, Friends of the Sea, Visserij Verduurzaamt.
Désactivé
Le grossiste ne propose que des boissons biologiques et/ou issues du commerce équitable et/ou bruxelloises et/ou artisanales.
Désactivé
Le grossiste utilise une plateforme de distribution d’invendus pour vendre son surplus de production à prix réduit.
Désactivé
Le grossiste collabore avec un acteur de l'aide alimentaire à qui il donne régulièrement son surplus de production.
Activé
Cochez les certifications qui s'appliquent à votre entreprise
Label bio
Le grossiste respecte tous les critères ci-dessous:
Activé
  • Le grossiste respecte la législation (AFSCA, tri des déchets, etc.).
  • - Soit le grossiste est implanté sur le territoire de la Région de Bruxelles-Capitale et fournit des commerces ou des établissements Horeca bruxellois ;
    - Soit le grossiste est implanté en Belgique et fournit des commerces ou des établissements Horeca bruxellois.
  • Le grossiste privilégie les produits de saison en provenance de Belgique. 60 % des fruits et légumes frais de l'offre sont des produits belges et de saison (moyenne sur l'ensemble de l'année, calculée sur base du nombre de références).
  • Le grossiste privilégie les aliments certifiés biologiques ou produits selon les critères d’engagement Good Food pour les producteurs et les transformateurs. Les produits biologiques constituent 50 % de l’offre du grossiste (calculé sur base du nombre de références).
  • Le grossiste s'informe sur l'origine, le mode de production et la traçabilité des produits et les communique au client.
     
Autres
Activé
Autres actions de lutte contre le gaspillage alimentaire
Nous travaillons avec des structures d'insertion socio-professionnelle et des associations écologiques à qui nous offrons des lots de produits.