Outil pédagogique "Tentations en rayons"

Cet outil d’animation et de réflexion permet aux participants de comprendre et de déjouer des mécanismes d’accaparement déployés au sein même des supermarchés afin de séduire le consommateur et de l’inciter à acheter des produits auxquels il ne songeait pas.

L’outil est destiné aux professionnels des champs de la culture, du social, de l’insertion socio-professionnelle souhaitant développer des démarches d’éducation permanente avec leur public autour de la thématique des supermarchés et de leurs différentes stratégies destinées à tenter les clients.

Par les pistes d’animations proposées, les participants sont invités à analyser leur parcours au sein du magasin et à identifier les différentes tentations auxquelles ils sont soumis. L’outil permet de prendre conscience de ses propres ressources afin de poser un regard critique, de déconstruire certains mécanismes de merchandising et de construire un savoir collectif qui permet d’y résister.

 

L'outil est disponible en location au centre de documentation de Cultures&Santé (caution de 50 €).

Le manuel est également disponible en téléchargement.

Documentation

Poules urbaines : guide pratique

En 2015, la Commune d’Etterbeek invitait ses habitants à adopter des poules pour valoriser leurs déchets alimentaires et les sensibiliser, de manière plus large, au gaspillage alimentaire, tout en leur permettant de savourer quotidiennement des œufs frais ! Dans le cadre de ce projet, la commune a également développé un guide pratique sur les poules en ville.

 

Le projet

Le projet « Poules urbaines », lancé par la Commune d’Etterbeek avec le soutien de Bruxelles Environnement, visait à installer des poulaillers de petite taille (deux poules) dans les jardins des particuliers. Le projet a également mené à l'élaboration d'un guide pratique à l'intention des citoyens souhaitant adopter des poules en ville.

 

Le guide

Le guide pratique « Poules urbaines » débute par une énumération des avantages qu'avoir un poulailler dans son jardin peut apporter. Il fournit ensuite des informations au sujet de l'installation d'un poulailler et de la manière de prendre soin de ses poules. Le guide se penche également sur les œufs, et propose une idée de recette de frittata. Enfin, un coloriage est mis à disposition des enfants.

Documentation

Portrait des Guides Potager en action

Annick a suivi la formation Guide Potager en 2018. Par la suite, elle voulait travailler le maraîchage en lien avec le social. C'est ainsi qu'elle s'est investie dans le projet d'Incroyables Comestibles qui démarrait à la place Saint-Job. Aujourd'hui, les bacs qui occupent les espaces autour de l'église en sont à leur deuxième saison !

Annick nous raconte: "C'était tout au début du projet et il y avait tout à faire. Les participants avaient énormément d'envies mais parfois pas toutes les connaissances nécessaires pour les mettre en place. Je me suis sentie vraiment utile dans le projet. Ça m'a permis d’expérimenter et de mettre en pratique mon expérience et ce que j’ai appris pendant ma formation Guide Potager." 

Est-ce que vous avez eu de l’aide ou une réticence de la commune ?

Les contacts avec la commune ont été très favorables. Il faut parfois avoir un peu de patience, car la question des autorisations peut être compliquée et c'est une démarche lente, mais on a senti une très grande ouverture par rapport au projet.

Comment sont organisés le travail et l'entretien des bacs ?

Les Incroyables Comestibles à Saint-Job sont formés de tout un réseau de partenaires qui collaborent au travail d'une manière ou l'autre. Le centre de la Croix-Rouge, qui accueille des réfugiés, et la maison des jeunes du quartier participent à l'entretien des bacs. Ça n'a pas l'air, mais c'est un fameux travail. On est aussi partenaires avec la ferme d'Uccle où on va chercher le fumier, et il y a aussi un compost de quartier qui nous donne de la matière pour les bacs. C'est ça qui est gai ! C'est un projet qui réunit toutes sortes de personnes et d'associations.

Au début du projet, on était très nombreux mais petit à petit s'est formé un groupe de personnes plus impliquées qui aidaient dans l’organisation du travail sur les bacs. Ce groupe se réunit chaque mois pour voir les travaux à réaliser, les projets à démarrer, pour organiser la rotation des légumes dans les bacs, etc.

Les voisins peuvent-ils venir se servir des légumes à tout moment ?

Nous avons mis en place un petit système pour aider les gens à se repérer. On a créé des codes couleurs pour indiquer les plantes qu'il faut laisser pousser et celles qui sont prêtes à la récolte.

Organisez-vous des moments de rencontre autour du potager ?

Oui ! Avec ce groupe de travail, nous nous réunissons chaque premier dimanche du mois pour faire les travaux d'entretien, et évidemment les voisins sont invités à y participer. On organise aussi des ateliers jardinage pendant le printemps, où tout le monde est le bienvenu à travailler dans le jardin de quartier. C'est un moment de partage très agréable. Comme je fais partie du Réseau des Jardins Semenciers, on organise aussi des échanges de graines et semences.

Comment décidez-vous quoi planter dans les bacs ?

En général, on se réunit pour discuter avant de commencer les semis. Cette année, on n'a pas eu l’opportunité de le faire, et du coup on n'a pas bien fait le choix pour certains bacs. C'est le cas avec les choux rouges, par exemple, qu'on a plantés dans l'un des bacs. Comme ils prennent beaucoup de place, tout ce qu'on avait planté autour n'a pas eu la chance de grandir. C'est un très beau légume mais pas le mieux adapté au partage ; il donnera un choux que quelqu'un prendra et puis voilà. On essaie de choisir des légumes comme le céleri à couper, dont plusieurs personnes pourraient se servir. Après, c'est une expérience d'apprentissage aussi.

Projets inspirants

Le réseau des fours à pain bruxellois

Les fours à pain traditionnels font leur retour en ville ! S’ils existent depuis des milliers d’années, leur présence a diminué drastiquement depuis la deuxième moitié du siècle dernier, en raison de l’expansion de l’industrie et des nouvelles habitudes alimentaires. Les fours à la campagne ont alors pratiquement cessé d’être utilisés et peu de fours ont survécu au développement des villes.

Néanmoins, depuis quelques années, les fours à pain font leur réapparition dans nos quartiers. En janvier 2020, on compte en effet à Bruxelles 10 fours à pain collectifs en usage, 6 fours en construction ou rénovation et 3 autres à l’arrêt, en attente d’un projet d’animation. Chaque année, des nouveaux projets de four voient le jour dans notre région.

Le réseau des fours à pain bruxellois est né à l’initiative du collectif de citoyens qui gère le Fournil du Hof ter Musshen à Woluwe-Saint-Lambert, dont la dynamique citoyenne et l’expérience technique permettent d'accompagner de nouveaux projets. Le réseau a notamment développé une page web pour le réseau et une cartographie des fours à pain de la région bruxelloise.

A travers sa page web et les différentes activités proposées dans la Région, le réseau facilite l’accès aux fours à pain bruxellois, permettant ainsi à toute personne intéressée de connaître ces projets et d’y participer selon ses motivations et possibilités.

Ce projet a été soutenu par Bruxelles Environnement dans le cadre de l’appel à projets citoyens Inspirons Le Quartier - volet Good Food en 2019.

Matériel

Livret d'éveil gourmand: Good Food à l'école

A l'heure où le bien-être et les considérations environnementales sont au coeur des débats, le "Food & Pleasure Education Programme" propose aux plus jeunes de porter un autre regard sur leurs assiettes et de s'intéresser à la qualité et aux bienfaits qu'apportent les produits locaux.

Le livret Good Food à l'école propose, à chaque saison, de découvrir un produit en classe sous forme d'atelier ludique et participatif : des recettes toutes simples à réaliser sont suggérées pour régaler les petits gourmands.

Documentation

Le Champ du Chaudron

Le Champ du Chaudron : un projet Cultivé, Cuisiné et Animé.

Nous développons toutes les étapes du circuit de l'alimentation sur le terrain de la Ferme du Chaudron à Anderlecht, depuis la production et la récolte, jusqu'à la transformation, la vente et la consommation.

Cultivé :

Nous cultivons ce champ selon une agriculture biologique urbaine diversifiée, à taille humaine, basée sur des techniques respectueuses de l’environnement et favorisant la biodiversité. Nous produisons des fruits et légumes, du miel, des tisanes, des fleurs... Toutes nos productions agricoles sont vendues en circuits courts (paniers, auto-cueillette, épiceries coopératives).

Cuisiné :

Nous proposons un service de transformation alimentaire à partir des produits du champ, à consommer sur place (lunchs et repas pour groupes à la demande, brunch d’été) ou en livraison (catering). Notre cuisine s’adapte aux saveurs de chaque saison.

Animé :

Nous proposons des activités éducatives, pédagogiques et culturelles pour sensibiliser tous les types de public (enfants, adultes, entreprises) au cycle complet de l’alimentation. Pour faciliter la transition écologique, nous adoptons une approche pratico-ludique dans nos activités : ateliers, animations pédagogiques, stages, team building, visites guidées, événements...

Illustration
Langues
Français
Adresse

Rue du Chaudron 62
1070 Anderlecht
Belgique

Email
info@lechampduchaudron.be

NOJAVEL asbl

NOJAVEL asbl est une épicerie solidaire et une banque alimentaire BIO.

Ses objectifs sont à la fois la lutte contre la précarité et la lutte contre le gaspillage alimentaire.

A travers ses activités de revalorisation des déchets, l'association vise à améliorer la vie des personnes fragilisées, entre autres via son épicerie solidaire bio gratuite, mais soutient aussi les associations d'aide aux plus démunis, via sa banque alimentaire.

En ne redistribuant que des produits bio, nous permettons à notre public de bénéficier de produits de qualité et d'ainsi améliorer leur quotidien alimentaire.

Projets inspirants

Logistique Collaborative des organisations d’aide alimentaire en Région de Bruxelles-Capitale

Le Réseau LOCO vise à contribuer à l’amélioration de l’approvisionnement et de la logistique des organisations d’aide alimentaire en Région bruxelloise. LOCO est porté par des organisations actives dans l’aide alimentaire ainsi que par des communes et des CPAS, qui collaborent étroitement.

En 2016, la Concertation Aide alimentaire, animée par la Fédération des Services Sociaux Bicommunautaire (FdSS-FdSSB), a élaboré un diagnostic des contraintes logistiques qui pèsent sur l’approvisionnement des organisations d’aide alimentaire (groupe de travail « Logistique collaborative »). Ce diagnostic a mis en évidence que le don d’invendus alimentaires représentait une réelle opportunité d’amélioration en quantité, qualité et diversité des approvisionnements, mais qu’il engendrait de nouvelles contraintes logistiques pour les organisations, en particulier pour les plus petites d’entre elles. Pour ces organisations, la collecte et la gestion d’invendus mobilisent des moyens humains et matériels importants, éventuellement au détriment de l’accueil et de l’accompagnement social des bénéficiaires. 

C’est dans ce contexte que s’est développé le Réseau LOCO – pour Logistique Collaborative – un réseau d’organisations d’aide alimentaire qui se base sur le partage et la mutualisation des expertises, des contacts et des moyens. Celui-ci vient renforcer deux autres projets déjà existants, sur cette même thématique qu'est l'aide alimentaire et son approvisionnement : Soli-Food et la Bourse aux dons.

LOCO se structure en antennes logistiques animées par des acteurs concernés par l’aide alimentaire sur un même territoire, le plus souvent celui d’une commune ou celui de plusieurs communes voisines. Ces antennes identifient les besoins d’aide alimentaire de leur territoire ainsi que les moyens qui peuvent être mutualisés. Elles soutiennent la mise en œuvre des activités logistiques et d’approvisionnement en termes de collecte, stockage, transport et distribution des invendus.

Actuellement, ce réseau se compose des organisations suivantes : le projet HUB m brussels du CPAS d’Ixelles, le projet Invendus pas perdus de la commune de Schaerbeek, le projet CDAG du CPAS d’Uccle, la coordination Aide Alimentaire Jettoise porté par CABA Jette, l’équipe Bru-Cap de la Croix-Rouge de Belgique, le projet Dream du CPAS de Bruxelles, l'Ilot ASBL et l'ASBL Nojavel. Le réseau est appelé à se développer avec l’adhésion d’acteurs venant des autres communes de la Région de Bruxelles-Capitale.

Objectifs

  • La collaboration des acteurs qui s’y engagent ainsi que la mutualisation de leurs moyens, expériences, expertises ;
  • La facilitation de l’approvisionnement et la logistique des organisations d’aide alimentaire de la région de Bruxelles-Capitale, particulièrement en ce qui concerne la collecte et redistribution d’invendus alimentaires ;
  • L’amélioration de la qualité, quantité, diversité de l’approvisionnement pour répondre de manière plus adéquate aux besoins des organisations d’aide alimentaire.

En 2019, le réseau a récolté et redistribué 783 tonnes d’invendus alimentaires.

En 2020, le réseau a récolté et redistribué environ 1200 tonnes d’invendus alimentaires.

En 2021, le réseau a récolté et redistribué environ 1400 tonnes d’invendus alimentaires.

 

Projets inspirants

100% Home made à l'épicerie sociale Libellule et livre de recettes imagé

Le projet 100% Home made Libellule a été mené par la commune d'Etterbeek en collaboration avec le CPAS d'Etterbeek en 2019, avec le soutien de Bruxelles Environnement dans le cadre de la stratégie Good Food.

Les objectifs du projet étaient de :

  • Promouvoir et faire découvrir comment cuisiner les fruits et légumes locaux et de saison peu utilisés par les clients de l’épicerie sociale ;
  • Faire découvrir les produits présents à l’épicerie sociale et notamment ceux de l’aide alimentaire afin de les mettre en valeur et susciter une créativité auprès des usagers lors de la préparation de leurs repas ;
  • Transmettre des recettes simples, rapides, demandant peu de matériel, pour une alimentation plus saine et durable ;
  • Faire découvrir comment cuisiner un fruit ou un légume dans son entièreté et donner des astuces anti-gaspi ;
  • Donner des idées pour toute la famille, du petit-déjeuner, au repas de midi et du soir + collations avec des produits uniquement proposés par l'épicerie sociale.

Nous avons travaillé avec les clients de l’Espace Libellule du CPAS d’Etterbeek qui est composé d’un public très multiculturel et venant de tous les horizons. A l’origine du projet, les responsables de l’épicerie sociale ont constaté que beaucoup de fruits et légumes issus des invendus alimentaires et de la zone de maraîchage des jardins participatifs avaient des difficultés à partir générant ainsi un gaspillage alimentaire. En cause, une méconnaissance de certains de ces fruits et légumes et sur la manière de les cuisiner.

Afin de faire connaitre ces fruits et légumes, ainsi que l’ensemble des produits proposés, aux clients de l’épicerie, l’idée est apparue de proposer des ateliers hebdomadaires avec deux coaches en alimentation durable. L’objectif était que les coaches composent des recettes avec des produits uniquement proposés à l’épicerie sociale. Avant chaque atelier, elles recevaient donc la liste des fruits et légumes disponibles et prépaient ensuite leurs recettes en fonction.

L’accent a été mis sur la convivialité, la simplicité, la bienveillance et l’écoute. Les coaches ont sensibilisé les participant·e·s à une cuisine simple mais astucieuse, réalisée avec les produits disponibles à l’épicerie sociale. Les principes d’une alimentation locale et de saison étaient également véhiculés, ainsi que les aspects nutritionnels des produits utilisés et les astuces pour éviter le gaspillage alimentaire ou encore planifier des recettes pour une toute une famille.

Les résultats

Depuis la mise en place des ateliers cuisine, les responsables de l’épicerie sociale ont constaté que les fruits et légumes proposés partent plus facilement. Ce constat s’est confirmé auprès des partipant·e·s qui assistent régulièrement aux ateliers cuisine. En effet, grâce aux ateliers cuisine, elles ont pu découvrir des fruits et légumes de saisons parfois méconnus (panais, radis noir, choux…) et ont appris à les cuisiner. Parmi les autres changements de comportements, nous pouvons citer :

  • La découverte de nouveaux aliments et leurs bienfaits nutritionnels ;
  • La préparation de repas « fait maison » plutôt qu’en conserve (ex : les soupes ou les pestos);
  • La découverte de recettes simples à préparer rapidement (ex : quiche) ;
  • La découverte d’astuces anti-gaspi (ex : cuisiner avec des fanes de légumes, ou utiliser le vert de poireau dans la soupe) ;
  • La découverte de techniques culinaires plus saines (cuisson à la vapeur, huile d’olive…).

Un livret de recettes 100% imagé a également été créé à partir des recettes préparées lors des ateliers. L’objectif de ce livret est de permettre aux nombreuses nationalités qui fréquentent l’Espace Libellule de reproduire les recettes uniquement grâce à des images.

Ce livret est mis à disposition des clients de l’épicerie sociale et sera distribué lors des stands de sensibilisation que nous menons dans le cadre d’évènements communaux.

Les enseignements 

La réussite du projet résulte fortement de la récurrence des ateliers cuisine, organisés chaque semaine, qui a facilité la fidélisation du public de l’épicerie sociale. De plus, les ateliers se déroulaient à la maison de jeunes ‘Face B’ située juste en face du CPAS, ce qui a facilité la fidélisation du public du fait qu’ils connaissent le quartier.

De plus, nous avons également collaboré avec les deux mêmes coaches qui se partageaient l’organisation des ateliers en alternance. Elles ont pu ainsi instaurer une relation de confiance avec le public, ce qui a encouragé ces derniers à revenir chaque semaine.

Enfin, le rappel systématique des ateliers lors des jours d’ouverture de l’épicerie sociale, ainsi que la présence d’affiches dans les locaux, a également contribué à la présence familière de nombreux participant·e·s.

Projets inspirants

Calendrier des fruits & légumes locaux, de saison et hors serre

Des fraises en décembre, des courgettes en février, des navets en été… comment s’y retrouver quand les fruits et légumes n’ont plus de saison et font des milliers de kilomètres pour arriver dans nos assiettes ? Pour vous permettre de faire vos choix en connaissance de cause, Bruxelles Environnement a créé un calendrier des fruits et légumes locaux, de saison et hors serre.

Manger plus de fruits et de légumes, c’est essentiel. Mais lesquels ? La production et le transport des fruits et légumes génèrent des impacts très divers sur l’environnement. Entre un kiwi importé de Nouvelle-Zélande et des fraises de Wépion vendues en juin sur le marché, la différence est énorme en termes d’émissions de gaz à effet de serre. L’acheminement du bout du monde et le chauffage des serres pour produire hors saison en sont la première cause ; le réchauffement climatique la première conséquence… Quelques chiffres :

  • 1 kg de tomates sous serre chauffée en Belgique = 11 fois plus d’énergie qu’1 kg de tomates produit dans un champ belge.
  • 1 kg de laitue sous serre chauffée = 47 fois plus d’énergie qu’1 kg de laitue cultivée en pleine terre.
  • Un fruit ou un légume produit localement et pendant la saison consomme 10 à 20 fois moins de pétrole qu’un fruit ou un légume cultivé à l’étranger et importé par avion.

Afin de préserver l’environnement mais également de privilégier des produits bien de chez nous, le calendrier des fruits et légumes locaux, de saison et hors serre de Bruxelles Environnement est là pour vous accompagner dans vos choix. 

Opter pour des fruits et légumes locaux et de saison, c’est tout bénéfice pour l’environnement… c’est aussi une redécouverte pleine de saveurs au rythme des saisons !

Documentation