Réseau

Rien de tel qu’un·e jardinier·e averti·e pour vous donner des conseils pour votre potager ! Le Réseau des Guides Potager, mis en place par Bruxelles Environnement, vous permet de prendre contact avec un·e de ces bénévoles passionné·e·s pour obtenir des informations et de l’aide, en toute convivialité. Certain·e·s ouvrent même leur propre potager au public ou proposent des animations potagères.

Qu'est-ce qu'un Guide Potager ?

Son expertise

Qu’il cultive en pots, en bacs ou en pleine terre, le Guide Potager est une personne passionnée de jardinage biologique et qui cherche à produire des fruits et légumes de qualité dans son potager. Certain·e·s se sont spécialisé·e·s dans des domaines spécifiques : potager en carrés, aromatiques, permaculture, production de semences… Outre son expérience personnelle, le Guide Potager a suivi une formation et obtenu le diplôme de Guide Potager bruxellois.

Un engagement citoyen

Un Guide Potager est un·e citoyen·ne qui s’est engagé·e à encourager et soutenir les initiatives maraîchères citoyennes. Sa mission principale est donc d’être en contact avec les Bruxellois·es pour promouvoir le maraîchage urbain, motiver, rassurer et conseiller celles et ceux qui voudraient s’y mettre, poursuivre leur expérience, améliorer leurs techniques…

Le Guide Potager est donc disponible pour donner un peu de son temps dans son potager, le vôtre… pour partager son expérience avec les habitant·e·s bruxellois·es.

Le Réseau : un double projet

Le Réseau des Guides Potager bruxellois, qui compte déjà une centaine de membres, a deux objectifs : d’une part, apporter aux citoyen·ne·s une expertise en jardinage biologique et/ou en agriculture urbaine, et d’autre part, permettre aux Guides Potager de participer à des activités variées (formations continuées, visites, achats groupés…)

Un soutien pour les citoyen·ne·s

Le Réseau des Guides Potager permet de mettre en relation les citoyen·ne·s bruxellois·es désireux·ses de mettre la main à la terre avec des personnes déjà expérimentées (les Guides Potager).

Il s’adresse à tou·te·s. Que vous soyez expert·e ou débutant·e en culture maraîchère, que votre projet soit de petite taille (culture en pots sur balcon d’appartement…) ou mégalo (grand potager en pleine terre), si vous êtes inspiré·e ou passionné·e par l’idée de produire vos fruits et légumes, admirer les plantes pousser, vivre au rythme des saisons… et que vous désirez rencontrer des personnes capables de vous conseiller… Vous êtes au bon endroit !

Un espace de partage et de formation pour le Guide Potager

Après avoir obtenu son diplôme, le Guide Potager devient membre du Réseau des Guides Potager, espace de formation et de partage réservé aux Guides Potager. Les principales missions du Réseau consistent, d’une part, à proposer aux Guides Potager des rencontres, visites, conférences, formations… pour parfaire leur formation et étendre leur expérience, et d’autre part, à organiser des activités à destination du grand public.

Voici quelques exemples d’activités déjà organisées :

• Visites de jardins (Graines de Vie, Yggdrasil, Fraternités Ouvrières…)
• Visites de potagers ou projets de Guides Potager…
• Formations à la taille en espalier, à la greffe, au compostage, à la biodynamie, à la culture de champignons…
• Rencontres : souper annuel…
• Achats groupés, échanges de plants…
• ...

Contacter un Guide Potager

• Pour tout renseignement, envoyez-nous un message à l’adresse contact[at]guidepotager.brussels
• Si vous souhaitez mettre la main à la terre et désirez l’aide d’un Guide Potager pour vous conseiller, nous vous proposons de consulter le bottin des Guides Potager et de prendre contact personnellement avec l’un·e ou l’autre directement.
  • Les Guides Potager sont des bénévoles joignables pour des questions de particuliers ou de groupes citoyens avec des (projets de) potagers sur Bruxelles. Pour des questions de stage et de démarrage de maraîchage professionnel, veuillez vous adresser au Facilitateur en Agriculture Urbaine.
• Pour poser une question en lien avec le potager, rendez-vous sur le groupe Facebook "Guides Potager Bruxelles".

Les potagers démo

À plusieurs endroits dans Bruxelles, des Guides Potager ont installé des "potagers démo". Ces espaces – des parcelles dans les potagers familiaux de Bruxelles Environnement – sont des lieux de rencontre, de démonstration, d’échange. Ils sont l’endroit idéal pour aller rencontrer un·e jardinier·e passionné·e, poser des questions ou pour passer régulièrement voir les évolutions.

Pour l’instant, des potagers démo sont situés :

• Au Rouge-Cloître, dans la parcelle 44, le long de la Chaussée de Wavre à Auderghem
• À l’Avenue Dolez, à Uccle, en face du numéro 382
• À la Rue Fabry, à Woluwe-Saint-Pierre, entre la rue de la Sta de Woluwe et la Rue Fabry
• À Tandem (MADOU), avenue des Arts 7, 1210 Saint-Josse-ten-Noode

Curieux·se de savoir quand ils seront au potager ? Envie de voir un des espaces ? Des questions concernant des choses que vous y avez observé ? Consultez les tableaux à l’entrée des parcelles, ou envoyez-nous vos questions à contact[at]guidepotager.brussels.

Trucs & astuces

Découvrez les articles des Guides Potager, rédigés par des amateurs passionnés qui souhaitent partager leur expérience.

 Les Jardins semenciers, c’est quoi ?

L’objectif des jardins semenciers est de permettre à tout jardinier de se réapproprier les techniques de production de semences en vue de sauvegarder des variétés anciennes à travers une dynamique citoyenne.

• Les graines produites sont partagées au sein du réseau et lors des bourses d'échange.
• Le projet est né d'une collaboration entre le Début des Haricots, le Réseau des Guides Potager et l'asbl Tournesol-Zonnebloem.
• Le projet des jardins semenciers rassemble des groupes de 5 à 10 jardiniers “passeurs de semences” qui sont garants d’une (ou plusieurs) variété(s) potagère(s) déterminée(s).
• Chaque groupe est encadré par un coordinateur dont la tâche est de proposer des rencontres pour réfléchir sur les modalités pratiques de la production des graines.

Notre blog comporte divers tutoriels basés sur notre expérience.

Nous y annoncons aussi les animations auxquelles nous participons ou que nous organisons

(stands, bourses d'échange, ateliers pratiques).

L’Association pour l’agriculture verticale est une organisation internationale à but non lucratif composée d’individus, d’entreprises, d’instituts de recherche et d’universités dont le but est de diriger et de faire progresser la croissance et le développement durable du mouvement de l’agriculture verticale.

Les objectifs de l’Association sont l’avancement de la science et de la recherche, la promotion de l’éducation dans les domaines de la protection de l’environnement, ainsi que des activités de bienfaisance. En particulier, l'Association pour l'agriculture verticale remplit la mission de ses articles à travers:

- Des propres projets de recherche et d'études dans les domaines de l'agriculture verticale, ainsi que la publication de ces résultats.

- Des formations, ateliers et autres activités éducatives pour la démonstration et l'utilisation de l'agriculture verticale en tant que méthode d'agriculture respectueuse de l'environnement, en faveur de la préservation des habitats existants et la protection des ressources en eau.

- Le soutien financier à des projets de recherche d’autres institutions ou personnes dans ce domaine.

- L'implication dans des politiques publiques (telle que la Strategie Good Food) en faveur d'un système de production alimentaire urbain durable

AGROECOLOGY IN ACTION C’EST QUOI ?

Nous sommes un mouvement qui rassemble des paysan·ne·s et petit·e·s producteur·rice·s alimentaires, des associations et des collectifs citoyens engagés pour l’alimentation durable, des groupes de mangeur·euse·s responsables et solidaires, des chercheur·euse·s, des coopératives, des défenseur·euse·s de l’environnement, des PME de l’économie sociale et solidaire, des acteur·rice·s de la santé, des acteur·rice·s de la lutte contre la précarité et pour la justice sociale, des ONGs, etc.

Nous construison Agroecology In Action, qui vise à rassembler, soutenir, multiplier les nombreuses dynamiques et projets d'agroécologie et d'alimentation solidaire en Belgique. 

ENSEMBLE, NOUS VOULONS :

• Transformer les modes de production vers des systèmes de production agroécologique.
• Promouvoir des modes de consommation agroécologiques basés sur des marchés territoriaux et des circuits courts entre producteur·rice·s et consommateur·ice·s.
• Défendre les droits humains, en particulier le droit à une alimentation adéquate pour toutes et tous et des conditions de travail décentes pour les producteur·ice·s et les travailleur·euse·s des systèmes alimentaires.
• Protéger les terres agricoles, les ressources naturelles et les biens communs.
• Renforcer le mouvement social et politique pour l’agroécologie et l’alimentation solidaire et revendiquer une gouvernance démocratique des systèmes alimentaires et des politiques publiques intégrées.

POUR CELA, NOUS RÉALISONS UN TRAVAIL :

• De plaidoyer auprès des responsables politiques belges et européens.
• De réseautage et de consolidation des liens entre des dynamiques multiples et transdisciplinaires : c’est comme ça que nous pourrons trouver des réponses systémiques et intégrées à apporter aux défis posés par la transition des systèmes alimentaires !
• De contact avec les réalités locales et les dynamiques de terrain.

Les Maîtres-Frigo sont des citoyens bénévoles formés par Bruxelles Environnement et Refresh Ixelles asbl dans la lutte contre le gaspillage alimentaire qui contribuent à sensibiliser les Bruxellois par le partage de leurs connaissance et des trucs et astuces qui font la différence.  Les Maîtres Frigo sont ainsi des ambassadeurs de la lutte anti-gaspi à Bruxelles. Ceux-ci sont d’autant plus important que, chaque année, les bruxellois jettent en moyenne 15 kilos de nourriture par an. Un phénomène face auquel la Région réagit par diverses actions inscrites dans la stratégie Good Food, dans le but de réduire le gaspillage alimentaire de 30% d’ici à 2020. La formation Maître Frigo fait ainsi partie des initiatives menées par la Région pour atteindre cet objectif.

Vous pouvez découvrir les Maîtres-Frigo actuellement diplômés ici.

COMPRENDRE LES ENJEUX ET APPLIQUER LES GESTES QUOTIDIENS

Les Maîtres-Frigo ont d’abord été formés aux enjeux économiques, sociaux et environnementaux du gaspillage, pour mieux comprendre le contexte et l’importance de ces gestes quotidiens.  Ensuite, ils ont abordé la thématique de manière très concrète, en échangeant leurs expériences :

• gérer les denrées alimentaires et mieux organiser ses placards et son frigo
• optimiser son organisation quotidienne de consommateur-acheteur ;
• découvrir la cuisine zéro déchet, récupérer des légumes défraîchis, préparer les fanes et apprendre à accommoder les restes, à les transformer…
• apprendre les techniques de conservation
• etc.

UN RÉSEAU POUR DIFFUSER LES BONNES PRATIQUES

Lancée en 2016, la communauté des Maîtres-Frigo évolue progressivement et diffuse les trucs et astuces anti-gaspi, notamment via des outils de sensibilisation ou des méthodes d’animation. Peut-être nous avez-vous croisés lors de divers évènements Good Food ? N’hésitez pas à consulter ce site ainsi que notre page Facebook pour bénéficier de notre expérience et de notre conseils, et posez vos questions !

En vidéo, c’est plus concret à visualiser!

_{Les 10 commandements pour commencer la lutte anti-gaspi}
 

1. J’AUDITE MON FRIGO, MON CONGELO ET MES PLACARDS

Je passe régulièrement en revue mon réfrigérateur, congélateur, mes placards et mes plans de travail pour y trouver ce que j’y ai oublié depuis des semaines, voire des mois. J’étiquette clairement tout ce que je conserve afin de bien en identifier le contenu, j’ajoute des dates pour consommer en priorité les produits les plus anciens. Je place aussi de manière la plus visible possible les produits prioritaires.

2. DLC vs. DLUO, KESAKO ?

Je connais la différence entre la Date Limite de Consommation (DLC) « à consommer avant le … » et la Date Limite d’Utilisation Optimale (DLUO) « à consommer de préférence avant le … « :

• La DLC: elle concerne les produits frais (viande, poisson, plats préparés…). Elle est stricte et je dois la respecter pour ne pas avoir de problème de santé;
• La DLUO: elle concerne les produits secs (l’épicerie, les conserves, céréales, légumineuses, …). Elle n’est pas stricte, mais je dois vérifier l’état général du produit, son odeur et son goût.

​3. JE REPENSE MON APPROVISIONNEMENT

J’adopte une manière de faire les courses et de cuisiner qui me convient. J’aime l’improvisation et je gère l’organisation de mes repas sans faire de liste de courses ? Alors je trouve des parades pour stocker ou je donne  mes éventuels restes, si j’en ai. J’aime contrôler et je veux être sûr(e) de ne manquer de rien ? Alors je dresse des listes au fur et à mesure de ce que je consomme et de ce que j’observe rester chez moi : sur papier, sur smartphone, prédéfinies ou libres. Je cuisine toujours trop ? J’adopte des quantités qui me conviennent ou je développe une manière de réutiliser, congeler, donner. Je manque d’inspiration ? Je cherche des recettes auprès de mes amis, collègues, dans des livres, sur des groupes Facebook, sur internet, sur le blog des Maîtres-Frigo …

4. JE CHOISIS OÙ JE RANGE MES ALIMENTS

Les règles d’or concernant le rangement des aliments pullulent selon les pays, les cultures, les habitudes personnelles, les normes sanitaires… Les tomates se conservent-elles au frigo ou à l’air ambiant ? Et les fruits rouges ? Et le pain ? Je trouve ce qui me convient. L’essentiel est que j’identifie le moyen de conservation le plus adéquat par rapport aux produits que j’achète (origine, type de production, lieu d’achat) et au lieu de stockage. Par exemple, je garde au frigo des légumes que j’achète d’un frigo, mais pas forcément ceux d’un étalage. Je vérifie aussi le manuel de mon frigo pour identifier ses zones de température et les conseils sur les produits à y conserver.

5. JE MANGE TOUT DE LA TÊTE AUX PIEDS

Le trognon de chou-fleur à la poubelle ? Non, ça ne se jette pas forcément et c’est très bon juste comme ça ! Les fanes de carottes ? Crues comme cuites, c’est un bon apport en verdure. Les pelures de pommes ? Elles réduisent le fruit à peau de chagrin alors qu’elles font des beignets ou sirops savoureux. Si vous connaissez la provenance de vos produits (notamment pour éviter les engrais et pesticides qui se fixent sur les épluchures et fanes), vous pouvez cuisiner les trognons, fanes et pelures de diverses manières. C’est aussi une manière de rentabiliser le prix de ses fruits et légumes bio !

6. JE FAIS APPEL À MA CRÉATIVITÉ

Je prends confiance dans mes expérimentations culinaires. Que ce soit pour simplement manger des restes de légumes avec un filet d’huile d’olive ou transformer des restes en nouvelles recettes complexes, je laisse libre cours au temps qui m’est disponible, à mes compétences et envies du moment. En partant de ce que j’ai, et pas de ce dont j’ai besoin, je développe ma créativité, tout en étant efficace.

7. JE COMBINE LES MANIÈRES DE CONSERVER

J’utilise la congélation, les conserves  et la déshydratation pour allonger la vie des aliments:

• Je peux congeler des plats préparés (en petites portions étiquetées pour les décongeler et les utiliser plus facilement) : pratique quand on rentre de vacances ou qu’on ne veut pas cuisiner !
• Je peux déshydrater des fruits ou légumes : idéal pour les pique-niques, apéros ou snacks !
• Je peux faire des produits lacto-fermentés à base de fruits ou légumes avec des condiments : pratique pour profiter des produits de saison et agrémenter les plats des autres saisons !
• Je peux réaliser des conserves (compotes, gelées, pickles, fruits au sirop…) : pour faire des cadeaux sympas et agrémenter ses plats et desserts toute l’année !

J’utilise mes préparations de manière appropriée : je décongèle au réfrigérateur, je réhydrate mes fruits et légumes si besoin est, je vérifie l’état de mes produits lacto-fermentés, je réfrigère mes conserves si elles sont meilleures à manger froides…

8. JE TROUVE LES PRATIQUES QUI ME CONVIENNENT

Je lis souvent qu’il vaut mieux faire ses courses régulièrement pour éviter de gaspiller. Ou qu’il faut faire ses courses le ventre vide. Ou qu’il faut acheter en vrac. Oui, mais j’habite loin des magasins, je fais souvent mes courses quand j’ai le temps – avant des repas, et je ne connais pas de magasins qui vendent en vrac ! Alors, j’adapte mes pratiques. Si je ne peux pas agir sur tout, j’agis sur une partie de mes habitudes. Je fais mes courses moins régulièrement mais je m’organise pour bien stocker et conserver. Je fais mes courses le ventre vide mais je sais à l’avance que je vais acheter trop, je prévois donc un plan B pour ce surplus : je trouve des parades pour cuisiner, congeler, échanger, donner,… Je n’achète pas en vrac mais je connais les quantités de produits frais qui me conviennent et sinon je trouve une solution pour ce que je ne mangerai pas.

9. J’ARRÊTE DE CULPABILISER

On gaspille tous un peu ou beaucoup, pour une série de raisons que nous contrôlons ou pas. L’essentiel est d’en prendre conscience et de voir ce qu’on peut mettre en place pour y remédier, au moins partiellement. Ceci pour des raisons environnementales (éviter des productions – et l’énergie liée – utilisés à perte), sociales (créer du lien, favoriser de don et l’échange) et sociétales (redonner de la valeur à la nourriture, au travail des producteurs) mais aussi tout simplement pour notre portefeuille. Je ne peux pas changer mes habitudes en un jour et je ne suis pas adepte de toutes les méthodes. J’essaye ce qui me convient et me parle, ce qui m’enrichit et m’amuse et je partage mes expériences !

10. JE ME METS AU DÉFI

Je passe à l’action ! Seul(e ) ou en groupe, je mets en place des petits changements. Je participe à défi (par exemple via Facebook) ou j’en organise moi-même. Je suis des histoires ou blog qui m’inspirent. J’organise des goûters entre amis pour échanger ce qu’on ne mange pas et pour partager des trucs et astuces. Je cherche ce qui me permet de valoriser mon action : ma satisfaction personnelle ou la reconnaissance de mes pairs par exemple.

L’asbl Réseau IDée - Information et Diffusion en éducation à l’environnement - offre aux enseignants, animateurs, formateurs, éco-conseillers, parents, citoyens... une information claire et centralisée sur l’Education relative à l’Environnement (ErE), notamment en matière d’alimentation durable : les outils pédagogiques existants, les organismes d'éducation à l'environnement abordant cette thématique à Bruxelles et en Wallonie, leurs activités (animations, formations, stages, balades...), les démarches pédagogiques, etc.  Ces informations sont accessibles librement sur le site www.reseau-idee.be. Nous pouvons aussi vous conseiller de façon personnalisée.

Envie d’aborder avec vos publics le thème de l’alimentation ou du potager ?  Vous cherchez des idées, des conseils pédagogiques, une méthodologie ? Une organisation ressource ou encore des outils pédagogiques ? Notre service d’information vous accompagne de façon personnalisée dans vos projets ou dans la concrétisation de vos idées.
Téléphonez-nous, envoyez-nous un mail, prenons un rendez-vous dans votre école, votre association ou dans notre centre de documentation afin de répondre au mieux à vos attentes.

Contactez Dominique Willemsens : bruxelles-ere@reseau-idee.be - 02 286 95 70