Guidance du Facilitateur en Agriculture Urbaine

La Guidance est un service offert par le Facilitateur bruxellois en Agriculture Urbaine, à destination notamment des projets de création ou de développement d’entreprise, des propriétaires et promoteur·rice·s immobilier·ère·s, et des organismes publics et collectivités.

Elle a pour objectif d’apporter des réponses personnalisées à tout·e porteur·se de projet nécessitant des conseils ciblés

Nos expert·e·s pluridisciplinaires sont à votre service pour répondre gratuitement à vos questions techniques, juridiques, urbanistiques ou économiques:

  • Questions techniques : rendements potentiels, plans de culture , qualité du sol, analyse de site, portance des bâtiments, irrigation…
  • Questions économiques : modèles d’affaires, modèles économiques, définition de projet…
  • Questions urbanistiques : diagnostic territorial, accompagnement à la sélection, compétences cartographiques…
  • Questions juridiques : permis, jurisprudence, contrats de mise à disposition, politique foncière…

Mais également : 

  • Étude de potentiel : scénarios, analyse filières, plans financiers, analyse biodiversités, sols, énergie, rendements potentiels...
  • Construction d’une vision opérationnelle : benchmark, animation de processus…
  • Accompagnement à l’opérationnel : méthodologie de conception, cahiers des charges, évaluation technique…
  • Monitoring post-projet : suivi, gouvernance… 
     

Nous vous aidons aussi à mettre un lieu à disposition d'un projet pro ou citoyen ! 

Complétez ce formulaire pour proposer un espace de production. Cela peut être un espace pleine terre, champ, jardin ou intérieur d’ilôt, abords, ou un bâtiment – à l’extérieur (ex. toiture, murs), ou à l’intérieur (ex. cave).

 

Comment contacter la Guidance du Facilitateur AU ?

  • Remplissez le formulaire de demande.
  • Précisez :
    • Vos coordonnées complètes 
    • Les caractéristiques déjà connues de votre projet d’agriculture urbaine (hors sol/pleine terre, localisation, taille, technique, finalité économique et/ou sociale et/ou environnementale…) ;
    • Vos questions ou besoins d’informations.

Vous serez mis·e en contact avec un·e interlocuteur·rice de première ligne qui vous recontactera pour convenir d’une offre de services.

En savoir plus sur nos expertises économiques, techniques et juridiques :

Photo © Xavier Claes

Formations / Acc

Conférence de Christophe Brusset sur l'industrie agro-alimentaire

Le Pédalo

La toute première conférence inter-supermarchés coopératifs bruxellois !

Extrusion, glazing, clean label, ionisation... L'ingéniosité de l'industrie agro-alimentaire est sans limite pour nous faire avaler tout et n'importe quoi.

Christophe Brusset, ancien responsable de l'agro-industrie, est aujourd'hui devenu lanceur d'alertes, auteur et enquêteur. Il sera ce 20 avril à Bruxelles pour vous expliquer les multiples dérives dont il a été complice.

La conférence, organisée par quatre supermarchés coopératifs bruxellois (Le Pédalo, BEES coop, Bab'l Market et Wandercoop) portera sur les dérives du secteur de l'agro-alimentaire et sur les dessous des cartes de l'agriculture bio-industrielle.

Ingrid Kragl, directrice de l'information chez Foodwatch France, sera présente également.

Programme

  • 19h : Ouverture des portes
  • 19h30 : Début de la conférence avec Christophe Brusset
  • 21h30 : Questions/ réponses
  • 22h : Bar

Informations pratiques

Prévente :

  • 10 € par personne
  • 7 € pour les coopérateurs des supermarchés coopératifs bruxellois (Le Pédalo, BEES coop, Wandercoop et Bab'l Market)
  • 3 € pour les étudiants
  • Achetez vos places ici

Sur place le jour même : 15 €

Les livres de Christophe Brusset (La malbouffe contre-attaque, Vous êtes fous d'avaler ça !, Et maintenant on mange quoi ? et Les imposteurs du bio) seront en vente.

La vente des tickets sert uniquement à couvrir les frais d'invitation de notre invité.

2023-04-20T19:00:002023-04-20T22:30:00

Avenue de la Couronne 227
1050 Ixelles
Belgique

Citoyens

Carte des producteurs de l'agriculture urbaine en Région bruxelloise

La carte des producteurs de l’agriculture urbaine en Région de Bruxelles-Capitale reprend la cinquantaine d’exploitations urbaines professionnelles dont le but premier est la production alimentaire.

La production alimentaire en Région de Bruxelles-Capitale comprend une grande diversité de types de production tels que : du maraîchage, de l’élevage, de la tisanerie, de l’horticulture, de la production de champignons, de micropousses, de houblon et de céréales. Les projets qui sont représentés sont ceux qui occupent au moins un terrain de production au sein du territoire de la RBC à la fois en pleine terre et/ou en hors sol. Au total, 180 hectares sont actuellement exploités en Région bruxelloise par des exploitations allant de 15 ares à plusieurs dizaines d’hectares.

En raison de l’intérêt actuel croissant pour l’agriculture urbaine, cette carte évolue régulièrement selon les nouvelles installations agricoles ainsi que selon les évolutions au sein du secteur.

Documentation

Le Pédalo Supermarché coopératif et participatif - # 6482 - Engagement

Le détaillant se fournit auprès d'au moins 3 producteurs/transformateurs inscrits dans le bottin Good Food et/ou qui travaillent en coopérative.
Activé
Le détaillant se fournit auprès d'au moins 5 producteurs/transformateurs inscrits dans le bottin Good Food et/ou qui travaillent en coopérative.
Activé
Lesquels ?
BONPAIN, Biscuiterie et boulangerie de La Ferme Nos Pilifs, BAM!, Coopérative Paysans Artisans, Delibio, Ethiquable, Eugène Chocolatier, Generous, Javry, FruitCollect, Le Bercail - La Ferme du Champ des Cailles, Les Pots de l'llot
Lesquels ?
BONPAIN, Biscuiterie et boulangerie de La Ferme Nos Pilifs, BAM!, Coopérative Paysans Artisans, Delibio, Ethiquable, Eugène Chocolatier, Generous, Javry, FruitCollect, Le Bercail - La Ferme du Champ des Cailles, Les Pots de l'llot
Le détaillant ne propose que des œufs de catégorie 0 (bio) ou 1 (plein air) ou sous forme de Tetrapak bio.
Désactivé
Le détaillant ne propose que de la viande labellisée : bio, Belbeef, Label Rouge, Beter Leven, IGP, AOP, STG, Prix Juste Producteur, PQA.
Désactivé
Le détaillant ne propose que des poissons figurant sur les listes verte et jaune du guide du WWF sur les produits de la mer (la liste rouge n'est pas utilisée).
Désactivé
Le détaillant ne propose que des produits de mer ou d'eau douce labellisés : ASC, MSC, Friends of the Sea, Visserij Verduurzaamt.
Désactivé
Le détaillant ne propose que des boissons biologiques et/ou issues du commerce équitable et/ou bruxelloises et/ou artisanales.
Désactivé
Le détaillant utilise une plateforme de distribution d’invendus pour vendre son surplus de production à prix réduit.
Désactivé
Le détaillant collabore avec un acteur de l'aide alimentaire à qui il donne régulièrement son surplus de production.
Activé
Le détaillant respecte tous les critères ci-dessous:
Activé
  • Le détaillant respecte la législation (AFSCA, tri des déchets, etc.)
  • Le détaillant est implanté sur le territoire de la Région de Bruxelles-Capitale.
  • Le détaillant privilégie et met en avant les produits de saison en provenance de Belgique. 60 % des fruits et légumes frais proposés sont des produits belges et de saison (moyenne sur l'ensemble de l'année, calculée sur base du nombre de références).
  • Le détaillant privilégie les aliments certifiés biologiques ou fabriqués selon les critères d’engagement Good Food pour les producteurs et les transformateurs. Les produits biologiques constituent 50 % de l’offre du détaillant (calculé sur base du nombre de références).
  • Le détaillant s'informe sur l'origine, le mode de production et la traçabilité des produits et les communique au client.
  • Le détaillant promeut les produits de 1ère gamme et les préparations faites maison, par exemple en distribuant des recettes.
     
Autres
Désactivé

Appel à projets agriculture urbaine 2023

Bruxelles Économie et Emploi lance son appel à projets agriculture urbaine 2023 ! Vous aimeriez mettre en place un projet d’agriculture urbaine professionnelle durable ? Vous recherchez un soutien financier jusqu'à 20 000 € ? Soumettez votre dossier de candidature au plus tard le 17 avril. 

L’objectif est que la Région bruxelloise tende vers l’autosuffisance alimentaire et ce via une production urbaine, innovante, durable, performante et créatrice d’emplois bruxellois. Cet appel à projets s'inscrit dans le cadre de la stratégie Good Food.

Dans cet objectif, la Région encourage et soutient le développement de projets agricoles ou horticoles dans ses différentes formes, dont l’agriculture professionnelle de pleine terre et hors sol qui fait l'objet du présent appel à projets.

L’ambition est de favoriser la production nourricière locale tout en renforçant le rôle de l’agriculture urbaine dans l’équilibre des écosystèmes naturels et urbains et des services aux citoyens.

Photo © Saskia Vanderstichelen

Public Pro
Oui

Lancement du cycle de formation "Orme"

À partir d'avril 2023, Rencontre des Continents relance son cycle de formation "Orme", pour une initiation à la cuisine écologique et politique !

Questionner son regard sur l’alimentation, ouvrir sa réfléxion à une approche systémique de nos systèmes alimentaires, adopter de nouveaux réflexes culinaires et développer sa créativité, tels sont les objectifs de ce cycle de cuisine écologique et politique, proposé par le collectif de Rencontre des Continents.

Lors de soirées animées par des animateur·trice·s cuisine passionné·e·s, volonTerres du collectif RdC, nous apprenons ensemble comment organiser une assiette de manière plus écologique. Nous pratiquons différents principes de bases culinaires et voyons comment choisir et préparer les aliments en fonction des saisons. Nous échangeons des réflexions (chacun·e en fonction de ses propres sensibilités) sur notre alimentation, afin de mieux pouvoir se situer et s’engager face à des questions essentielles comme le respect au vivant et la protection de l’environnement, la qualité paysanne et l’avenir du métier de paysan, le label biologique, le local, l’aspect santé, l’éthique face aux animaux, la sobriété dans nos assiettes, etc.

Cette formation en six soirées propose une réflexion et des pistes concrètes pour faire de son alimentation quotidienne un acte engagé, créatif, convivial et poétique.

Intéressé·e ? Retrouvez toutes les informations ici !

Public Pro
Non

BOScoop

La BOS coop, pour Brussels Ouest Supermarkt, est le projet de supermarché coopératif du Nord-Ouest de Bruxelles. Porté par un groupe de citoyens du Nord-Ouest de Bruxelles, notre SUPER-marché vise à rendre accessible au plus grand nombre une alimentation durable et de qualité.

Un Super-Marché…

Tous les produits de qualité, que vous recherchez, dans un seul lieu, avec des prix attractifs.

 … Coopératif…

Chaque client·e est tout d’abord un coopérateur ou une coopératrice.  

En souscrivant des parts, les membres deviennent co-propriétaires de la coopérative et ont pouvoir de décision aux assemblées générales. Les orientations importantes sont prises ensemble, chaque membre dispose d’une voix quel que soit le nombre de parts achetées.

 … et Participatif !

Globalement, chaque membre s’engage à participer au bon fonctionnement du magasin en assurant trois heures de prestations mensuelles. C’est le côté participatif de la coopérative. Ce travail bénévole permet de réduire les coûts et de proposer de la nourriture et des produits de qualité à un prix abordable.

Illustration
Public cible
Langues
Français
Néerlandais
Adresse

Belgique

Email
info@boscoop.be

Renforcement des mécanismes solidaires au Pain Levé

En décembre 2020, un petit groupe de boulanger·es se retrouve avec l’envie d’ouvrir une boulangerie différente de celles que l’on trouve traditionnellement : faire du pain au levain avec des farines locales bio et travailler en autogestion. S’ajoute à cela l’envie que ce pain, produit de base, soit accessible à tous, même bio et de qualité, et qu’il ne soit pas réservé à une minorité privilégiée. Ce positionnement prend particulièrement sens dans le quartier dans lequel s’implante la boulangerie : un quartier à cheval sur Saint-Josse et Schaerbeek, habité par une population assez paupérisée et issue de l’immigration. Un quartier en mutation aussi, qui voit de plus en plus de populations de classe moyenne et privilégiée s’installer.

Nous mettons alors en place un système de prix différencié : à la caisse, chaque client choisit de payer le prix mauve (= le prix de base, 100 %), le bleu (80 %) ou le orange (110 %). Pour que le système s’autofinance, pour chaque pain vendu au prix bleu, il en faut deux oranges pour arriver à une moyenne autour du prix mauve.

Proposer ce système de prix nous permet aussi de pouvoir questionner avec les clients ce qui se joue dans nos habitudes de consommation : avons-nous accès de la même manière à l’alimentation ? Est-ce normal de devoir payer le même prix avec des moyens tellement variés ?

Vendre notre pain à un prix démocratique ne suffit pas pour attirer une clientèle de quartier diversifiée, qui n’a pas déjà des habitudes de consommation intégrant nos types de produits. Notre commerce est connoté et nos produits restent chers si on les compare dans l’absolu à des produits industriels de moindre qualité. Beaucoup de gens se disent, a priori, “cette boulangerie n’est pas pour moi”.

Soutenus par le subside Good Food et par des personnes relais dans le quartier, nous proposons des ateliers de fabrication de pain au levain, des petits déjeuners et des visites de la boulangerie à des associations du quartier et leurs publics (principalement des femmes issues de l’immigration, des seniors, des enfants). Ces activités offrent des temps de discussion plus longs, pendant lesquels nous présentons le fonctionnement de la boulangerie et les choix que nous faisons en termes de produits et de production. Ces moments permettent à des personnes qui ne seraient pas venues d’elles-mêmes de prendre place dans la boulangerie et de valoriser leur propre expérience liée au pain.

Avec l’appui de ce réseau associatif, nos invendus sont quotidiennement redistribués à des personnes en situation précaire.

Nous nous attachons également à partager notre expérience des prix différenciés et plus globalement, notre fonctionnement, auprès d’autres (futurs) porteurs de projets.

 

Les résultats

En quelques chiffres clés, nos actions menées en 2022 dans le cadre du subside Good Food pour une plus grande accessibilité de notre pain au levain :

  • Plus de 260 personnes touchées dans le cadre de ces activités. La plupart n’avaient jamais mis les pieds à la boulangerie avant.
  • 18 associations et leurs publics accueillis à une ou plusieurs reprises dans notre boulangerie pour des petits déjeuners, ateliers ou visites guidées.
  • 7 associations et collectifs partenaires dans la redistribution quotidienne d’invendus à des personnes précarisées du quartier nord.
  • Plus de 7 interventions hors les murs pour parler de notre projet et des prix différenciés à des porteur·euse·s de projet, des futur·e·s entrepreneur·euse·s et des politiques, sans compter les entretiens pour des médias ou des chercheur·euse·s.

Au-delà des chiffres, nous observons que la clientèle qui entre dans la boulangerie est de plus en plus diversifiée (au regard de leur appartenance culturelle et socio-économique). Nous pensons que c’est grâce aux activités organisées et au bouche-à-oreille. Nous avons l’impression de jouir d’une image positive dans le quartier.

Nous avons régulièrement des retours de la part d’une clientèle de quartier qui semble sortir de ses habitus de consommation et apprécie nos produits pour leur qualité nutritive : elle remarque qu’il est nutritif et plus nourrissant que le pain industriel, qu’il conserve longtemps. Régulièrement, des clients atteints de diabète viennent chez nous pour se procurer un pain faible en glucides ; d’autres pour des pains faibles en gluten.  

La vente, les ateliers et les petits déjeuners sont des espaces de discussion sur l’accès à la Good Food, qui permettent à tout un chacun de se réemparer de la question de son alimentation. Les prix différenciés amènent d’emblée une perspective politique et poussent les acheteurs à se positionner. Cela permet d’amener ces questions-là dans un espace d’échange qui n’est pas formalisé comme étant un espace de débat et réflexion autour de l’accès à l’alimentation, espaces qui ne rassemblent généralement qu’un public assez homogène d’initiés.

 

Les enseignements

On peut dire que le système de prix fonctionne bien. Une clientèle de plus en plus diversifiée fréquente notre boulangerie et les différentes possibilités de prix sont exploitées : le système s’équilibre, c’est-à-dire qu’ il “s’autofinance” et ne met pas la boulangerie dans le rouge.

Ce système de prix est un outil de sensibilisation en soi : il amène les clients à se positionner et s’interroger sur l’emprise (ou non) que nous avons sur notre alimentation et les inégalités qui y sont liées.

Novateur, ce système fait aussi parler de nous et suscite, entre autres, la curiosité des médias.

Ce système de prix ne fonctionne pas seul : ce n’est pas parce que nous proposons des prix abordables que tout un chacun va pousser la porte de notre boulangerie. Notre intégration dans le tissu associatif et informel (via des personnes “relais” connues dans le quartier) se montre essentielle pour valoriser notre commerce auprès des habitants du quartier, qu’il devienne symboliquement accessible à des personnes qui se seraient dit d’emblée : “cet endroit n’est pas pour moi”.

De plus, cela a du sens et ça fonctionne de proposer ce système dans le quartier où se trouve la boulangerie. Il faudra se demander, dans d’autres environnements, si ce système est adapté ou si d’autres démarches sont plus pertinentes pour démocratiser l’alimentation de qualité.

Malgré tout, on nous rapporte encore parfois que certains voient notre boulangerie comme un commerce “de bobos”, “pas pour eux”. On voit parfois des personnes entrer et ressortir aussitôt après avoir vu notre offre de produits ou nos prix.

Ce n’est pas gagné : notre projet reste connoté, ne fusse que parce que nous sommes cinq boulanger·es blanches de classe moyenne à aisée et que notre boulangerie est “à notre image”.

En termes de mise en œuvre, le temps que le client passe dans la boulangerie étant généralement assez court, il est important que le principe des prix différenciés soit communiqué de manière claire et efficace, via un affichage explicatif, des étiquettes de prix et une brève explication donnée par le vendeur ou la vendeuse.

Nous communiquons aussi plus largement et avec transparence sur la façon dont nous déterminons le prix de nos pains, notre système financier et les tensions que nous rencontrons face notamment à l’inflation, pour donner plus d’éléments de compréhension à notre clientèle et que les personnes qui peuvent se permettre de payer le prix élevé continuent à le faire, pour que le système soit viable.

Enfin, d’un point de vue plus structurel, cette dimension sociale de notre activité est primordiale pour nous, elle donne sens à ce que nous faisons. Toutefois, notre viabilité financière est avant tout basée sur les revenus de nos ventes. Dès lors, la part sociale, non lucrative et qui demande du temps entre en tension avec la part productive et commerciale de notre projet, en termes de moyen humain et donc de financement. Pour qu’un tel projet “hybride” soit viable et autonome financièrement, il demande d’être développé petit à petit et que souvent la question du sens soit reposée, pour que ce travail non lucratif continue à être valorisé et ne passe pas à la trappe. Ça en fait un projet de conviction exigeant pour les personnes qui s’y investissent.

Projets inspirants