Rencontre des Continents ASBL

Rencontre des Continents (RdC) est une organisation d'Education Permanente, d'Education à la Citoyenneté Mondiale et Solidaire et d'Education Relative à l'Environnement engagée pour plus de justice et de solidarité. Ce collectif s'engage dans des actions concrètes et joyeuses, des expériences émancipatrices et des résistances créatives. Nous utilisons la thématique alimentaire afin de favoriser la compréhension des enjeux écosystémiques de notre modèle de développement et la construction d’alternatives cohérentes répondant aux défis actuels. La finalité est de participer à la transition de la société, par le biais de formations, d'animations, de mises en réseaux, de sensibilisations, ... en contribuant à construire des alternatives éducatives, sociales, culturelles, économiques, environnementales, sanitaires et politiques, au sein desquelles les personnes sont actrices - individuellement et collectivement - de leur transformation et de celle de leur environnement. 

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Français
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Graapz, solution de lutte contre le gaspillage alimentaire des fruits et légumes invendus

Graapz est un service de lutte contre le gaspillage alimentaire qui propose aux commerces de proximité de valoriser leurs fruits et légumes invendus ou sortis de rayons sous forme de paniers à bas prix.

Les clients achètent en ligne leur panier (www.graapz.com) et viennent ensuite chaque semaine récupérer leur panier de 3kg de fruits et légumes directement en magasin. 

Simple à mettre en place, cette solution permet au commerçant de limiter ses pertes en fruits et légumes, d'acquérir un nouveau flux de clients fidélisés dans la durée, et de s'engager dans une démarche anti-gaspi.

Pour le consommateur, Graapz permet d'avoir accès à une alimentation saine et variée à petit prix, tout en contribuant à la réduction du gaspillage alimentaire.

Matériel

hub.brussels lance son Resto pop-up @Bruxelles

Ouvrir un restaurant est une magnifique aventure ! Cependant, elle peut s’avérer périlleuse : trouver le bon endroit, être en règle administrativement (les pompiers, la commune, l’urbanisme, etc.), faire face aux nombreux coûts (le loyer, le pas de porte, l’achat de matériel, les frais de communication, etc.), gérer son personnel, tenir le rythme du travail et des horaires décalés sont autant de défis à relever. À cela s’ajoutent les exigences actuelles des clients, devenues un critère majeur à prendre en compte lors de l’ouverture d’un restaurant. Au-delà d’une « simple » découverte culinaire, le public souhaite découvrir de nouveaux concepts et/ou vivre une véritable expérience. On constate d’ailleurs un nombre croissant de faillites de commerces endéans les 2 ans.

Chez hub.brussels, nous pensons que l’expérimentation à moindre risque, couplée à un accompagnement sur mesure des candidats-commerçants, permettent de réduire les risques d’erreurs ou d’échecs et renforcent les concepts commerciaux et les aptitudes. C’est pourquoi, nous mettons à  disposition pendant 4 mois un incubateur Horeca situé en plein coeur de notre capitale. 

Concrètement, nous proposons donc :

  • un local équipé et adaptable en fonction des porteurs de projets pour une indemnité locative de 800€/mois
  • un accompagnement sur mesure avant, pendant et après la phase d’incubation
  • des outils d’évaluation
  • etc.

Les candidats seront sélectionnés sur base de critères orientés sur la stratégie Goodfood. En effet, notre volonté est de participer au développement d’un système alimentaire durable en Région de Bruxelles-Capitale. Vous trouverez toutes les informations dans l'appel à candidature et le règlement de participation attaché plus bas dans le lien URL.

Soutiens publics

Le "Pot'âgé" de la Résidence Reine Fabiola

Le "Pot'âgé" de la Résidence Reine Fabiola est un potager urbain qui se veut convivial, intergénérationnel, "biodiversifié" et pédagogique.

Philosophie générale du projet

"Mettre les mains dans la terre, planter une graine, arroser, regarder sortir les pousses et les feuilles, cueillir les fleurs, récolter les fruits et les légumes sont autant de gestes simples qui permettent à chacun d’être en contact avec la nature. Cultiver son jardin, c'est se sentir responsable de son environnement naturel."

Description générale du projet

Le projet comprend un espace naturel "intégré" composé de 4 bacs potager adaptés aux résidents de la Résidence Reine Fabiola (RRF), un compost, des jardinières à aromates et un récupérateur à eau de pluie. Des chicons sont également cultivés dans les caves de la RRF. Une zone d'agrément composée de bancs entoure le potager. Le projet inclut toute une série d’acteurs et de partenaires : les services communaux de la voirie et du Plan vert, l'école primaire Sainte-Bernadette, l'épicerie sociale de la Croix Rouge (section Auderghem), l'asbl Good Planet et l'asbl Le Début des Haricots

Il s'adresse à divers publics cibles : les résidents et leurs familles, les usagers du CPAS, les élèves et les professeurs de l'école Sainte-Bernadette, les travailleurs et la direction du CPAS, le voisinage et le grand public.

Les produits cultivés et récoltés sont transformés lors d'ateliers de cuisine organisés par l’ergothérapeute de la Résidence.

Le "Pot'âgé" est, avant tout, un outil de sensibilisation à l'agriculture urbaine. À ce titre, il accueille les ateliers "Cultiver en ville" et, au cours de l'année 2018, un programme de 11 animations nature a été proposé.

En bref, ce jardin potager se veut un lieu de rencontre et de convivialité ouvert non seulement aux résidents qui peuvent y jardiner dans des bacs adaptés, mais aussi à leur famille, aux personnes du quartier, aux élèves des écoles et crèches voisines et aux usagers du CPAS.

Objectifs généraux du projet

  • Transformer le parc de la RRF en un endroit agréable à vivre, un endroit de rencontre chaleureux, de stimulation et d’échanges, d’apprentissages variés et surtout un lieu de préservation du milieu naturel ;
  • Initier des changements de comportement favorables au respect de l’environnement et à l’adoption d’une alimentation plus saine en éduquant à l’environnement et au développement durable par des actions de sensibilisation, des animations ou des chantiers collectifs d’entretien du jardin, et promouvoir de grands enjeux tels que l’écocitoyenneté, l’écologie, l’agriculture urbaine et l’alimentation durable ;
  • Promouvoir la biodiversité en ville ;
  • Promouvoir et re-créer les liens intergénérationnels, interculturels et solidaires à travers la réalisation d’un travail collectif qui nécessite une écoute et un respect mutuel mais aussi de l’échange et du partage pour tisser des liens sociaux à long terme ;
  • Faire réapparaître chez les personnes âgées et/ou défavorisées des motivations pour des activités individuelles et collectives, renforcer l’estime de soi, prendre des initiatives en proposant un cycle d’activités liées au jardinage qui permettent de s’épanouir sur le plan psychique et physique (réduction du stress, stimulation de l’activité physique, amélioration du cadre de vie et de l’état de santé ressenti) ;
  • S’inscrire dans une dynamique d’amélioration de la sécurité alimentaire de la RRF sur le long terme ;
  • Éveiller ses sens et sa créativité et apprendre autrement, de manière active, transversale et collective.

Apprentissages & conseils

  • Ouvrir le projet à d’autres publics : voisinage, personnes âgées non-résidentes (centre de jour, personnes aidées par le Service d’Aide à Domicile) ;
  • Développer le jardin potager : établir un plan de culture, aménager davantage l’espace, laisser la place à la nature ;
  • Faire vivre le "Pot’âgé" : organiser des ateliers de lecture, faire entrer le potager à l’intérieur de la RRF (semis, plantations dans les chambres, photos grand format dans les couloirs de la résidence) ;
  • Supports : acquérir du matériel, installer une cuisine dans le local d’ergothérapie, constituer une bibliothèque, engager des stagiaires ou un article 60 pour l’entretien du potager ;
  • Ateliers & animations : organiser les ateliers en alternant théorie et pratique, moments pour les adultes et les enfants, moments à l’intérieur et à l’extérieur, tenir compte de la mobilité des résidents, mieux communiquer les horaires aux résidents (annonce par haut-parleur), réaliser planning spécifique du projet, faire l’inventaire des attentes/envies et des compétences/ressources des résidents. Thèmes :
    • Reconnaître/identifier la faune et la flore,
    • L’association des cultures
    • La culture en bacs
    • La culture des pommes de terre
    • Greffes et boutures des arbres fruitiers
    • Ateliers "souvenir" (les résidents apprennent aux enfants)
    • Cultiver en fonction des saisons ;
  • Partenariat avec les écoles : organiser des rencontres animatrices-professeurs préalables aux ateliers, bien choisir la classe, travailler les thématiques en classe avant, adapter les animations au groupe.

Conseils et recommandations plus généraux

  • Tenir compte des délais administratifs dans le planning du projet ;
  • Travailler en partenariat ;
  • Avoir une personne qui s’occupe de la coordination du projet ;
  • Être présent lors des travaux pour s’assurer de leur bon déroulement ;
  • Bien communiquer sur le contenu des animations, leur déroulement et le public à qui elles s’adressent ;
  • Inclure tous les acteurs dès la définition du projet pour assurer la mobilisation, l’adhésion et répondre aux attentes et besoins.

Résultats

  • Organisation d'un cycle de 11 ateliers "Nature, compost et vie du potager" en collaboration avec les asbl Good Planet et Le Début des Haricots ;
  • Accueil des Rencontres Good Food et des ateliers "Cultiver en ville" ;
  • Inauguration du projet en présence des partenaires et des différents publics cibles ;
  • Planification, suivi et évaluation participative du projet ;
  • Mise en place de 6 ateliers cuisine Good Food avec l’épicerie sociale de la Croix-Rouge.
  • Nombre de personnes touchées directement par le projet : environ 320.
Projets inspirants

Épicerie et Droguerie Sociale de la Croix-Rouge Auderghem

Fort de ces 30 épiceries sociales en communauté française, la Croix-Rouge de Belgique (CRB) possède donc une certaine expérience dans ce type d’aide alimentaire. Par conséquent, « l’Epicerie et Droguerie Sociale » (EDS) de la Croix-Rouge d’Auderghem bénéficie de cette solide expérience et s’inscrit également dans un réseau plus large d’épiceries sociales à Bruxelles et en Wallonie.

 

L’EDS est innovant dans le cadre de l’aide alimentaire déjà existante à Auderghem dans la mesure où ce projet propose un choix varié de produits en vrac de qualité, frais et de saison liés à une production de proximité.

 

L’EDS répond également à une demande d’aide alimentaire croissante de la part des personnes en difficulté notamment les personnes âgées isolées et les familles monoparentales résidants à Auderghem.

 

En outre, des activités d’animations complètent cette offre de service sous forme de différents ateliers de sensibilisation à une alimentation saine. Nous proposons également une information sur les outils « Good Food » de Bruxelles Environnement.

Projets inspirants

Premier retour d'expérience sur la mise en place de 4 buttes autoferfiles

Le concept de butte est très souvent immédiatement lié à celui de "permaculture" dans l'esprit de bon nombre de gens. C'était aussi notre cas.

Naturellement, on a voulu tester cette fameuse culture autofertile...

En lasagne, hugelkutur, butte sandwich, etc., il y a le choix ! On a opté pour une structure ni trop simple (sinon c'est pas drôle) ni trop compliquée à mettre en œuvre. En plus, on avait le soucis d'améliorer la qualité de notre sol, donc un apport de bonne terre et de compost nous semblait intéressant sur le long terme. Le sol n'est pas pollué (on a de la chance, dans notre zone d'Evere), mais il est très compact (limono-argileux) et les apports de la butte, ainsi que les mouvements de matière et des vers ne peuvent pas lui faire de mal.

 

Étape 1 : on ramène du monde et on se lance

Nos amis de Mutinerie Village, dans le Perche, appellent ça des "coups de foin" : une opération éclaire, ciblée, qui fédère un groupe de motivés. Nous, on a baptisé ces opérations nos "transform'actions".

Le dimanche 22 avril, on a monté nos deux premières buttes dans la joie et la bonne humeur, au soleil ! Les deux autres ont été dressées la semaine suivante.

Leur composition :

  • une base de carton (sans encre, bien sûr, et sans adhésif). Il paraît que ça attire les vers. C'est bon pour le sol. Bien arroser le carton (en fait il est préférable d'arroser chaque couche que l'on place, ça crée de l'humidité dans la butte)

  • une alternance de couches de matières azotées (azote = quand c'est vert, donc frais, vivant. Ex : herbe de tonte) et de matières carbonées (carbone = marron, plutôt sec et mort. Ex : feuilles mortes). Il faut à tout prix éviter la faim d'azote ! On a alterné en tout deux couches d'herbe de tonte, deux couches de feuilles mortes. On arrose bien à chaque fois

  • une alternance de bonne terre et d'un bon compost. On a respecté cette répartition : 2 couches de terre pour 1 couche de compost. On continue comme ça jusqu'à ce qu'on trouve la butte assez haute à son goût. Bien sûr, plus elle est haute, moins ça fait mal au dos ensuite...

  • pour terminer : le paillage. Enfin, façon de parler, puisqu'on ne met pas forcément de la paille. Nous avons opté pour du brf. On met donc une bonne dose de brf pour recouvrir les buttes (une dizaine de centimètres).

C'est important de laisser la butte reposer un peu ensuite pendant 3-4 jours, et donc de résister à la tentation de planter ou semer dedans. Le risque, sinon, c'est de brûler ce qu'on y met à cause de la forte chaleur qui se crée dans notre butte. Du moins c'est ce qu'on a lu plusieurs fois... donc on n'a pas pris de risques.

 

Étape 2 : on plante !

Pour des raisons d'agendas un peu chargés, on n'a planté que début mai. Aujourd'hui, tout s'est très bien développé et les buttes sont méconnaissables. Elles fourmillent (littéralement, on héberge plusieurs espèces de fourmis) de biodiversité, c'est super ! Papillons, gendarmes, et tout un tas d'insectes qu'on ne connaît pas...

Mais avant de planter, on a dû se renseigner un peu. Pas question de faire ça n'importe comment : on a préféré pouvoir organiser une rotation des cultures d'année en année, pour ne pas épuiser les sols.

Deux enjeux :

  • répartir intelligemment les plants en fonction des familles botaniques, pour ne jamais retrouver une même famille d'une butte à l'autre, puisque l'on veut faire une rotation. Cela veut dire quoi ? Tout simplement que l'année suivante le contenu de la butte 1 passe à la butte 2, celui de la butte 2 à la butte 3, etc. Donc, s'il y a des plants de la famille des Solanacées (tomates, poivrons, par exemple) dans la butte 1, il n'en faut pas dans la butte 2.
  • associer des plants qui vont bien ensemble et éviter les mauvaises associations (bonne association canonique : les capucines avec les tomates, puisque les capucines attirents sur elle les pucerons / mauvaise association canonique : les tomates et les pommes de terre, ou les choux, ou encore le maïs).

Il existe de nombreux sites, de nombreux livres et de nombreuses vidéos sur le principe des bonnes/mauvaises associations au jardin. Ensuite, il faut faire le tri et tester.

Notre répartition :

  • Butte 1 : des choux (brocoli, chou-fleur, etc., de la famille des Brassicacées), des aubergines (famille des Solanacées, comme la tomate), des haricots (famille des Fabacées) et des pommes de terre (également des Solanacées, comme les tomates. Eh oui !).
  • Butte 2 : c'est le royaume des cucurbitacées (courges, courgettes, etc.). On y a aussi mis du maïs (famille des Poacées), quelques plants de fraises et des tournesols. On pourra y ajouter des oignons et des poireaux à volonté.
  • Butte 3 : c'est le royaume des Solanacées. On y a mis des tomates, des poivrons et des piments. Sous les pieds de tomate, du basilic, bien sûr. Ils vont très bien ensemble, au potager comme en salade. Il y pousse aussi des carottes, lentement mais sûrement. On n'y a jamais ajouté les petits pois et les pois chiches prévus au départ. Se sont invités tout seuls des plants de moutarde.
  • Butte 4 : c'est la moins complète, faute de s'être procuré ce dont on avait besoin (manque de temps, razzia à La Ferme Nos Pilifs). On y trouve un très grand et beau quinoa, qui s'y plaît beaucoup. On y avait aussi mis des navets, récoltés depuis. Étaient prévus : des brocolis, des épinards, des betteraves, du chou kale et des amaranthes.

Dans presque toutes les buttes il y a des fleurs : tournesols et capucines principalement. On essaiera de faire mieux l'an prochain.

On a aussi mis, autant que possible, des aromates. Il est conseillé de mettre des aromates tout autour des buttes, puisqu'ils constituent un très bon rempart contre les nuisibles.

Une spécificité : deux des buttes sont équipées d'un tuyau microporeux relié à une arrivée d'eau et qui circule de l'une à l'autre par en-dessous (entre la couche de carton et tout ce qui a été ajouté par-dessus). En principe, les buttes sont censées se gérer toutes seules et bien se porter. On a voulu tester : deux buttes irriguées par en-dessous, deux buttes non irriguées. L'idée, en irrigant par en-dessous, c'est de pousser les plants à faire des racines pour aller chercher l'eau.

 

Un principe intéressant quand on fait des buttes : plus il y a de plants, mieux c'est ! Il faut chercher à avoir un réseau racinaire le plus dense possible, et donc un sol le moins compact possible. Si l'on plante des poireaux, par exemple, il est préférable de les couper à la base du blanc, plutôt que de les arracher. Non seulement on préserve son système racinaire (et donc on évite que les cavités laissées par les racines ne se rebouchent), mais en plus un autre poireau poussera à partir de cette base de blanc, et ça c'est quand même sympa ! Idem pour les pommes de terre. On ouvre la butte, on prend, on referme. Si on en laisse, ça donnera d'autres pommes de terres et c'est très bien.

 

On ajoute des plants régulièrement. On sera bientôt en mesure de récolter pas mal de cucurbitacées et de tomates. Pour le quinoa, on verra cet automne.

À suivre donc...

Projets inspirants

Manger Bouger.be

Pour s’informer, réfléchir, faire des choix et agir

Manger Bouger est une plateforme d’informations, sur l’alimentation et l’activité physique, pour soutenir les personnes dans leur démarche ou projet de santé.

Une priorité de santé publique

Une mauvaise alimentation et la sédentarité sont des facteurs de risque importants pour les principales maladies non transmissibles telles que les maladies cardio-vasculaires, le cancer et le diabète. [1]

Dans le but de promouvoir et de protéger la santé grâce à une alimentation saine et l’exercice physique, l’Organisation Mondiale de la Santé formule desrecommandations dans le cadre d’une stratégie mondiale pour l’alimentation et l’activité physique.

Les objectifs Manger Bouger

Le site Manger Bouger a pour objectifs de :

  •         Transmettre des informations santé validées scientifiquement etaccessibles au plus grand nombre de personnes,
  •         Contribuer à développer plus de pouvoir d’actionde décision et d’influence sur son environnementsur sa vie et sa santé.

Pour atteindre ces objectifs, les informations présentées sur le site tentent de tenir compte des contextes de vie des personnes et des divers déterminants de santé en matière d’alimentation et d’activité physique. [2]

Concrètement, ce qu’on y trouve

  •         Des informations santé  : validées scientifiquement (repères nutritionnels, études scientifiques, données épidémiologiques…) et pratiques à mettre en place (des conseils simples, des trucs et astuces accessibles…).
  •         Des articles de réflexion sur les enjeux liés à l’alimentation et à l’activité physique.
  •         Des ressources et liens utiles vers des outils, associations, personnes, ouvrages, initiatives…
  •         Un blog dans lequel des experts en alimentation répondent aux questions des internautes.

A qui cela s’adresse-t-il ?

Manger Bouger s’adresse à tout le monde !

  •         Au tout public : enfants, adolescents, adultes, personnes âgées…
  •         Aux professionnels notamment ceux qui travaillent dans les écoles, les services PSE-PMS, mais aussi dans les maisons de repos, aux animateurs sociaux, etc.

 

Documentation

LoveMEATender: dossier d'accompagnement pédagogique

Ce dossier permet une exploitation du film documentaire LoveMEATender qui aborde production et consommation de viande, dérives, et alternatives possibles.  Il fournit infos, pistes pédagogiques, liens avec le programme, bibliographie et adresses.

Le dossier est découpé en 7 chapitres selon les grandes thématiques du film (production, économie mondiale, environnement, bien-être animal, consommation, action et le « système viande ») et propose une manière de voir et de comprendre les interdépendances entre ces thématiques.

Il est destiné aux enseignants, animateurs, éco-conseillers et à tout citoyen s'adressant à un public de jeunes (dès 10 ans) et d'adultes.

Documentation

Jeudi Veggie Bruxelles

EVA incite les gens à la nourriture végétarienne saine et durable avec des informations adéquates, de bonnes recettes et activités savoureuses.
Jeudi Veggie est une campagne d'EVA asbl réalisé avec le soutien de Bruxelles Environnement et la Ministre Bruxelloise de l'environnement.

Pourquoi le Jeudi Veggie ?

Le Jeudi Veggie est une campagne qui nous invite à découvrir un jour par semaine, une assiette plus équilibrée, qui fait la part belle aux céréales, aux fruits et aux légumes. Une assiette sans viande ni poisson, mais avec plein de fruits et légumes. Un jour plus végétal.. Un jour santé ! Le Jeudi Veggie est une campagne de l’association EVA réalisé avec le soutien de la Ministre Bruxelloise de l’Environnement et Bruxelles Environnement.
Découvrez la vidéo du Jeudi Veggie.

Pourquoi participer ?

Pour découvrir une alimentation équilibrée plus en phase avec la santé, le respect de l’environnement et l’éthique.
Il existe différentes raisons de consommer moins de viande :

Pour le gout

La nourriture végétarienne est délicieuse! En participant au Jeudi Veggie, vous découvrirez de nouvelles recettes, ingrédients et restaurants. Un nouveau monde de goûts s'ouvrira à vous !

Pour la santé

Les Belges mangent beaucoup de viande et produits animaux dérivés, mais pas assez de fruits et légumes. Manger sainement signifie moins de graisses animales et de cholestérol, plus de fibres, de légumes et de fruits.
Une consommation trop élevée de viande augmente les risques de maladies cardiovasculaires, certains types de cancer, de surpoids et de diabète.

Pour l'environnement

L’élevage est à l’origine de nombreux impacts sur l’environnement. Ainsi, au niveau mondial, il est responsable de 18 % des émissions de gaz à effet de serre– bien plus que le secteur des transports.

Pour les animaux

Pour satisfaire des niveaux élevés de consommation de viande, les élevages se sont concentrés et industrialisés, ont recours aux aliments concentrés contenant des OGM et aux antibiotiques ; les animaux sont élevés dans des conditions qui posent question tant du point de vue sanitaire que du point de vue éthique. En Belgique, quelque 285 millions d’animaux sont tués chaque année pour notre consommation. Un Belge moyen consommera au cours de sa vie, le tiers d’un cheval, 5 bœufs et veaux , 5 chèvres et moutons, 24 lapins et têtes de gibier, 42 porcs, 43 dindes et autres volailles, 789 poissons et 891 poulets.

Pour les autres êtres humains

Au niveau mondial, la production de viande monopolise 78% des terres agricoles. Une grande partie de la production mondiale de soja et de céréales sert à l’alimentation des animaux d’élevage, alors qu’il serait plus productif de les utiliser directement pour la consommation humaine.

Pour plus d'informations, contactez info@jeudiveggie.be

 
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Jeclicnaturel.be

Jeclicnaturel est comme un guide en ligne qui vous permet d'accéder à votre vitalité

Jeclicnaturel est une source d’inspiration, un partage d’expériences et d’expertises pour vous aider à maintenir une vitalité enfin durable. Notre métier est de vous faire découvrir comment retrouver, préserver et soutenir votre énergie vitale le plus naturellement possible. Par le biais de ressources naturelles et d'accompagnements, vous concrétiserez votre transition vers une vitalité enfin durable en comprenant pourquoi et comment changer nos habitudes.

Grâce à notre parcours de coaching en ligne, Je Cuisine Naturel, vous êtes guidé pas à pas dans la transition d'une assiette industrielle vers une assiette naturelle, pendant 7 semaines.

Jeclicnaturel.be fait aussi le lien entre :

  • une communauté de consommateurs de plus en plus soucieux de la naturalité des produits qui veulent trouver rapidement des artisans du naturel près de chez eux,
  • et des artisans (producteurs, transformateurs, revendeurs) qui font un travail formidable mais qui n'ont pas toujours le temps de communiquer et manquent donc de visibilité.

Jeclinaturel, par le biais de l'internet, permet d'amplifier un processus d'éveil par l'accessibilité à des choses toutes simples, comme un carnet d'adresses fiables pour vous permettre de vous approvisionner en produits et services naturels.

 

Mais un produit naturel c'est quoi ?

C'est un produit brut ou très peu transformé, sans intrants chimiques et qui contribue à préserver ou à améliorer notre capital santé. Un produit ou service proche de la nature.

 

Qu'allez-vous trouver sur Jeclicnaturel.be (tout n'est pas encore disponible) ?

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