Burgers

Beschrijving van de kaart: Er bestaan veel tools om met duurzame voeding om te gaan. Naast deze schat aan middelen, biedt Leefmilieu Brussel een selectie op basis van de volgende criteria: 

• hulpmiddelen gemaakt vanaf 2010, 
• Franstalige Belgen, 
• die tenminste één van de favoriete thema's van de Good Food-strategie behandelen.

1. lokaal en seizoensgebonden 
2.  minder dierlijke eiwitten
3. bestrijding van afval 
4. stedelijke groentetuinen 
5. gezond en uitgebalanceerd dieet 
6. Koken tegen een gereduceerde prijs 
7. gericht op praktische en concrete ondersteuning voor animatie met doelgroepen.

Deze gids heeft de bijzonderheid om voor elk geselecteerd hulpmiddel de gegevens aan te duiden met betrekking tot het hulpmiddel, het thema, de doelgroep en de actoren voor wie de hulpmiddelen  bedoeld zijn.

Het project Co-tuinieren : dit project ondersteunt de stadslandbouw in de hoofdstad door het delen van ongebruikte tuinen te bevorderen. Veel Brusselaars kweken geen groenten en fruit in hun tuin, terwijl anderen ervan dromen, maar niet over een 

groene ruimte

De groene ruimtes omvatten particuliere tuinen en domeinen, openbare parken en bossen, groene zones langs spoor- en andere wegen, braakland, recreatiegebieden en begraafplaatsen.

Sommige Brusselaars hebben een tuin, maar…geen flauw idee van de heerlijke producten die er zouden kunnen groeien. Andere inwoners met groene vingers dromen van een lapje grond om lekkers op te verbouwen. Het Co-tuinieren brengt die Brusselaars en hun complementaire ressources samen en laat ze als “tuinersduo » aan de slag gaan !

Het co-tuinieren brengt bewoners uit eenzelfde wijk dichter bij elkaar om samen in de moestuin te werken en weetjes en vaardigheden uit te wisselen. De duo’s worden gevormd tijdens workshops en activiteiten georganiseerd door buren of buurfactoren (gemeenten, verenigingen,..) of via tuinforums.

Het kan bij uw buren zijn, bij een vriend of vriendin of zelfs bij iemand die u nog niet kent, maar het is altijd mogelijk om een stukje grond te vinden om te tuinieren. Zelfs in de stad zijn er heel wat mogelijkheden! Tuin, koer, terras, dak … al deze ruimtes kunnen worden gebruikt om wat groenten te kweken.

U beschikt niet over een dergelijke ruimte? Zoek dan iemand die er een heeft en stel voor om samen te tuinieren!

Met de co-tuinierenkit kunt u een workshop organiseren in uw straat of wijk.

Ter info: dit inspirerend project is alleen beschikbaar in het Frans

Le projet du marché de la Galinette a germé dans l’esprit d’un groupe d’habitants qui se retrouvaient tous les samedis matins à Parckfarm pour venir chercher leur panier bio. Déplorant le manque d’accès à une alimentation saine dans leurs quartiers du nord du Bruxelles, ils décident alors de mettre sur pied un marché réunissant des producteurs locaux.

Un marché mensuel de produits hyper locaux

Le groupe, composé d’une dizaine de personnes, entreprend alors des contacts avec des producteurs de Bruxelles ou des environs directs en s’appuyant sur le réseau de La Ruche qui Dit Oui de Molenbeek.

Le premier marché de la Galinette a lieu le 21 octobre 2016 et rassemble une douzaine de producteurs. Il a, depuis lors, lieu tous les troisièmes vendredis du mois à la belle saison, et se déroule à Parckfarm qui met à disposition son infrastructure. Grâce au subside obtenu dans le cadre de l’appel à projet Good Food, le groupe acquiert un peu de matériel pour garantir un bon accueil des producteurs et du public (tonnelle, tables,…) et développe sa communication (logo, …).

Le marché est aussi un moment festif : il est animé par des musiciens, souvent issus des quartiers voisins, et offre toujours à manger et à boire. Les producteurs ne payent pas leur emplacement mais sont invités à participer en nature. Les ingrédients qu’ils donnent sont cuisinés par le groupe de la Galinette et offerts au public qui a ainsi l’occasion de découvrir des recettes réalisées avec les produits vendus sur place.

La Galinette à bicyclette

Début 2019, Bruxelles environnement, gestionnaire du parc de Tour & Taxis, informe le groupe que les véhicules ne seront désormais plus autorisés à pénétrer dans le site et propose une localisation alternative, en bordure du parc afin de conserver un accès motorisé et de développer une activité attractive dans une partie du site un peu déconnectée du reste du parc. Toutefois, le groupe souhaite rester à Parckfarm et invente un nouveau concept : Galinette à bicyclette, le premier marché à vélo de Bruxelles ! La situation s’y prête bien : Parckfarm se trouve en effet sur ce qui devrait bientôt être l’une des plus grandes pistes cyclables de Bruxelles, allant de Sainctelette à Bockstael. 

Le groupe réalise alors un mapping des initiatives à vélo à Bruxelles et contacte des producteurs ou artisans qui utilisent les modes doux comme moyen de transport : Grooteiland et ses légumes, Les culottes volantes et ses sous-vêtements, Permafunghi et ses champignons mais aussi un atelier vélo, des marchands d’huile d’olive ou de tisanes…  

La première édition du marché de la Galinette nouvelle mouture a lieu le 17 mai 2019 et rencontre un franc succès, malgré le temps frisquet. Le profil des marchands a évolué et les producteurs habitués des années précédentes déplorent ce changement de cap…  Un service de livraison par des  vélos cargos qui assureraient le transport entre les camionnettes des producteurs et le parc est actuellement envisagé avec la collaboration d’un marchand de vélo afin de donner à nouveaux accès à tous. Cette formule innovante semble très porteuse mais représente un investissement important en termes logistiques.

Un effet d’entrainement ?

Depuis 2017, beaucoup de projets autour de l’alimentation durable se sont développés autour de Tour & Taxis. Le marché de la Galinette, quant à lui, a conquis un public issu des quartiers environnants devenu fidèle, qui a ainsi accès à une alimentation saine et locale… et trouve l’occasion de partager des moments de convivialité entre voisins !

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Projet soutenuedans le cadre de l’appel à projets « Inspirons le quartier – Good Food » en 2017

Ter info: dit inspirerend project is alleen beschikbaar in het Frans

Produire collectivement du jus de pomme selon des techniques ancestrales …

Depuis  2017, un groupe de citoyens de Woluwé-Saint-Pierre produit son propre jus avec les fruits produits par une dizaine de pommiers situés dans le parc des Fraternités du Bon Pasteur. Le groupe souhaite ainsi augmenter son autonomie alimentaire mais aussi réduire le gaspillage. Par ailleurs, certains de ces arbres étant de variétés rustiques (Cwastresse double, Reinette grise, Président Roulin, Radoux, Reinette Hernaut), il poursuit également un objectif de conservation et de préservation de la biodiversité.

La mise en route du projet

Le groupe « Jus du Bon Pasteur » obtient  l’autorisation des Fraternités du Bon Pasteur de récolter les pommes et passe avec elles une convention pour l’occupation d’un local dans le parc. Avec l’aide du subside obtenu dans le cadre de l’appel à projets Good Food, le groupe acquiert alors le matériel nécessaire et,  fin 2017, produit une première cuvée d’une petite centaine de litres.  Après une période de rodage, le projet s’ouvre aux habitants du quartier qui peuvent  apporter leurs propres pommes à la presse ce qui amène la production à 200 litres en 2018 !

En automne, les temps de cueillettes et le pressage sont ouverts à tous… Chaque participant reçoit une bouteille de jus en remerciement de son travail mais l’intérêt de l’implication dans ces moments de travail collectif est surtout d’apprendre des savoirs-faires et de partager un moment convivial.  Les participants sont initiés à chaque étape de la fabrication et sont donc chacun capables à la fois de cueillir les pommes, les broyer, presser le broyat, pasteuriser le jus et le mettre en bouteille. C’est cette collaboration de chacun au projet global qui permet la transmission des compétences et favorise ainsi la pérennité du projet.

Un projet  qui donne envie de consommer mieux

« Ce que ce projet nous a apporté, c'est évidemment du bon jus, bio, local, pas cher et écologique, à partager avec familles et amis, mais aussi pendant les moments de travaux collectifs les deuxième samedis du mois ou pendant les fêtes comme les feux de la Saint-Jean le 24 juin. Mais c'est aussi du savoir-faire, de la reconnaissance, l'envie de lancer d'autres projets liés à l'autonomie alimentaire, la certitude que tout le monde est capable de le faire, de chouettes moments conviviaux intergénérationnels, une valorisation des vieux pommiers présents et une bonne raison d'en planter de nouveaux, et puis des liens avec le quartier, même si ce point reste encore à améliorer pour les années suivantes. »

Outre la production, la vocation de ce projet est également la sensibilisation. Les porteurs font régulièrement visiter le verger et expliquent aux visiteurs (enfants ou adultes) comment fabriquer du jus de pommes. Ainsi, ils espèrent démontrer qu’il est facile de réduire son empreinte écologique en choisissant du jus de pommes bio et local et peut-être éveiller des vocations dans le domaine de l’alimentation durable !

Le projet a été soutenu dans le cadre de l’appel à projets citoyens Good Food – Inspirons le quartier en 2017.

De Skyfarms Shop is een winkel en een webshop waar je alles vindt dat je nodig hebt voor je moestuin: kits, biologisch zaaigoed, containers, substraat en Belgisch werkmateriaal, en ook slimme irrigatiesystemen zoals oyas. 

We zijn op zoek naar een lokaal en natuurlijk alternatief voor elke behoefte in de moestuin. 

Kortom: 
- een selectie van lokale en verantwoorde artikelen, klaar om bij jou thuis geleverd te worden
- advies op maat na afspraak : E-mail shop@skyfarms.be
- collectieve workshops, online op onze Facebook pagina 

Onze winkel is gesitueerd in het Be-Here gebouw, Dieudonné Lefèvrestraat 4, 1020 Brussel (naast Tour & taxis).

Dankzij onze website kunt u uw bestelling bij u thuis laten bezorgen door te bestellen via: https://www.skyfarms.be/shop/

Ter info: dit inspirerend project is alleen beschikbaar in het Frans

De janvier à juin 2018, un groupe de femmes en alphabétisation au Gaffi a suivi un module de sensibilisation à l’alimentation durable. Le projet était mené en collaboration avec Astrid Galliot et le supermarché coopératif BEES coop.

L’alimentation est une merveilleuse porte d’entrée pour comprendre le monde et ses dysfonctionnements, et pour en conscience chercher des solutions et découvrir des alternatives. Le public en alphabétisation est touché par ses questions et particulièrement par la compréhension des liens Nord/Sud. Il est porteur d’une connaissance et de savoirs issus des cultures d’origine. Son double regard sur la société d’origine et la société du pays d’accueil enrichit particulièrement les projets que nous menons au Gaffi sur cette thématique. 

En 2018, nous avons organisé, dans le cadre d’un projet Good Food, un module qui avait pour but de sensibiliser aux enjeux de l’alimentation durable, d’amener une compréhension et une réflexion sur le modèle de développement actuel et ses impasses, de dégager et mettre en œuvre des pistes de changement concrètes pour une alimentation plus équilibrée, plus saine, plus respectueuse de la terre et des hommes, plus écologique. 
Ce module s’adressait à des femmes engagées dans une démarche d’alphabétisation et issues des milieux populaires et multiculturels.

Objectifs

•    Sensibiliser à l'alimentation durable en tenant compte des problématiques et des questionnements d'un public de femmes d'origines diverses peu ou pas scolarisées vivant dans des situations socio-économiques précaires : les interrogations autour de l'alimentation touchent entre autres les questions de la santé et de l'accès à une nourriture saine pour des familles qui vivent en-dessous du seuil de pauvreté
•    Amener les participantes à mettre en place des pistes répondant aux besoins identifiés et devenir relais auprès de publics plus larges (famille, entourage, communauté d'origine, quartier)

• Développer les savoirs et les savoir-faire culinaires en lien avec l'alimentation durable par la construction collective de nouvelles connaissances et pratiques
• Favoriser les échanges interculturels, la mutualisation des ressources et des compétences des femmes migrantes peu ou pas scolarisées, les valoriser et les développer
• Lutter contre la pauvreté croissante par le développement d’une action collective de sensibilisation, dans une démarche d'éducation permanente, de réappropriation, de solidarité et de dialogue.

Une démarche participative pour repenser l'alimentation

Le projet s’est inscrit dans une démarche d’éducation permanente se voulant particulièrement participative et axée sur l’expérimentation, la conscientisation et l’émancipation : 

• Partir des savoirs du groupe, les valoriser, les mutualiser (notamment par le biais d’ateliers culinaires pour à la fois valoriser les connaissances, et expérimenter, transformer, créer de nouveaux savoirs)
• Susciter des prises de conscience et des réflexions collectives sur les enjeux de l’alimentation :
  • décryptage du système de production et de consommation alimentaire, au départ d’outils divers (le jeu de la ficelle, un photolangage sur les habitudes alimentaires hebdomadaires de différentes familles à travers le monde, un film sur la production industrielle de la viande),
  • mise en évidence d’alternatives par la rencontre de personnes-ressources (maraîchers, coopérateurs) et des visites (le supermarché coopératif BEES coop à Schaerbeek, partenaire du projet, la Maison verte et bleue à Anderlecht)
• dégager des pistes d’action concrètes porteuses de changement au quotidien pour les participantes. 

L'alimentation, un thème pour comprendre et pour agir

Notre programme a permis aux participantes d’avoir une meilleure compréhension des défis alimentaires et d’intégrer ses nouvelles connaissances dans des choix conscients en matière d’alimentation. Et nous avons constaté au fur et à mesure du processus qu’elles ont opéré des changements dans leurs habitudes en matière d'alimentation et de santé.

Les impacts des ateliers de sensibilisation ont été nombreux :

• au niveau de la confiance en soi et en ses capacités d'agir 

« Avant de commencer le module, j’avais entendu que le bio c’était bien, mais je n’avais pas compris pourquoi. Maintenant, on sait ! ça donne du courage pour le faire ! »

• au niveau de l’ouverture culturelle

« J’ai appris à mélanger les recettes de chaque pays. »
« En participant à ce module, on a développé la solidarité dans notre groupe. »

• au niveau des changements des habitudes alimentaires

« On a changé notre façon de regarder : on fait attention à ce qu’on mange, à la manière dont la nourriture a été produite. » 
« Maintenant je fais très attention à acheter et préparer les bonnes quantités pour éviter le gaspillage. »
« On a diminué beaucoup de viande, on cuisine des lentilles à la place. »

• au niveau de la volonté de transmettre une alimentation saine à leurs enfants et leur entourage.

« J’ai appris plein de choses que je peux raconter aux autres : comment bien manger, ce qui est bon pour la santé. J’ai déjà transmis des recettes à mes sœurs. »

Un nombre croissant de citoyen.ne.s, d’associations,  et d’entrepreneurs cherchent à récupérer des invendus alimentaires ou à glaner pour valoriser ces aliments : préparations de soupes ou repas collectifs (Disco Soup, Dégustations du bon sens, Tour du monde en 183 assiettes, Mary Pop-In), réalisations de conserves (Fruitopia, Lady Marmalade…), mise à disposition d’aliments dans la rue de Frigos solidaires ou projets de redistribution d’invendus (CollectMet… )à travers la Fédération des services sociaux et l’aide alimentaire… Cependant, en mettant en place un tel projet, son initiateur.rice se retrouve confronté.e, sans forcément le savoir, à une multitude d’aspects légaux et sanitaires, lui permettant ou non, de mener à bien son projet et notamment : respect de la chaîne du froid, des dates de péremption, règlementation sur les allergènes, possibilité de transformation, identification des ingrédients, etc.

A travers « La récup’ d’invendus pour tous » nous avons cherché à soutenir les projets de récupération d’invendus en indiquant les pistes à suivre pour mener au mieux les activités, en termes de réglementation législative et sanitaire et de bon sens. Nous avons co-créé:

• Un guide pour pratiquer la récupération d'invendus en toute conformité
• 6 affiches sur les bonnes pratiques pour:

​

• La réception d'invendus

• Le stockage

• Le transport

• L'hygiène corporelle

• Le lavage des mains

• La présence d'allergènes

Ce projet a été soutenu financièrement par Bruxelles Environnement dans le cadre de son appel à projets "Pour la réalisation de projets de lutte contre le gaspillage alimentaire dans le cadre de la stratégie régionale Good Food" de 2018.

Ter info: dit inspirerend project is alleen beschikbaar in het Frans

Le mur aveugle bordant une propriété abritant une belle maison moderniste à l’angle de l’avenue Rogier et la rue Alexandre Markelbach à Schaerbeek était continuellement couvert de tags, pas toujours très artistiques... Deux voisines lassées de ce paysage dégradé ont l’idée d’aménager un potager collectif au pied de ce mur. Elles mobilisent quelques voisins et contacte le propriétaire de mur qui adhère immédiatement au projet.

Un potager vertical pour embellir la ville et créer des liens entre voisins

Le projet vise donc à protéger le mur des dégradations répétées et embellir la rue mais il doit permettre aussi aux voisins de se rencontrer dans le plaisir de partager quelque chose qui a du sens pour eux.

Le groupe contacte alors la commune et reçoit son soutien pour effectuer les travaux dans le trottoir et la construction des jardinières. Pour donner de la visibilité à leur initiative et lancer la dynamique, il réalise des pochoirs annonçant « ICI THE POTAGER VAN ALEXANDRE» (titre multilingue faisant référence au prénom du peintre Alexandre Markelbach qui a donné son nom à la rue). Cette première action suscite des réactions enthousiastes et se termine par un apéro de rue.

Le potager est alors aménagé collectivement avec le soutien de Jonathan de l’association « Jardins comestibles ». Il prend la forme d’une longue bande de terre d’environ 18m sur 50cm de large et prévoit des plantations grimpantes afin de couvrir le mur au maximum. On y trouve des légumes bien sûr - courges, salades, haricots, tomates, menthe, etc. - mais aussi des fruits - un poirier, deux pommiers et des fraisiers placés en hauteur pour éviter d’être arrosés par les chiens. Chacun peut se servir ! De petits panneaux sont installés sur le grillage afin de piloter les voisins pour les cueillettes et l’arrosage (« Les tomates aiment l’eau mais pas sur leurs feuilles », « La mizuna se mange en salade avec photo », …). Un crochet avec ciseau est suspendu au grillage afin d’aider les voisins à se servir.

Une tournante est organisée afin d’arroser quotidiennement les nouvelles plantations, l’action est encouragée par la distribution de quelques arrosoirs customisés. Un tableau noir facilite la communication entre les jardiniers et, contre toute attente, est aussi investi par des passants qui y notent des petites remarques positives ou humoristiques !

Plus tard, le potager vertical est complété par une boite à livre et un hôtel à insecte (où des œufs d'abeilles ont été déposés en début de saison) et des nichoirs pour attirer les oiseaux. Des fêtes sont régulièrement organisées dans le potager, notamment le jour de la fête des voisins où la rue est fermée aux voitures.

Voilà un projet qui a embelli la rue - le potager est véritablement spectaculaire et il n’y a plus de graffitis - et a permis aux voisins de se rencontrer et de tisser des liens d’amitié !

Le projet a été soutenu dans le cadre de l’appel à projets citoyens Good Food – Inspirons le quartier en 2017.

Ligt er in jouw buurt een plek die je wilt aanleggen met een of meerdere fruitbomen? En die je samen met buurtbewoners wilt verzorgen, plukken en koesteren? Dan is een Verger Partagé of Buurtboomgaard ongetwijfeld iets voor jou!

Na het succesverhaal van de samentuinen, zet Velt nu ook haar expertise in om gedeelde buurtboomgaarden te ondersteunen. Of je nu een buurtboomgaard organiseert als gemeente, bedrijf, school, vereniging of een gewone groep mensen, in de handleiding van Verger Partagé lees je alles over hoe je van start gaat.

Hulp nodig bij het schrijven van je dossier? Velt helpt je graag bij het waarmaken van je plannen. Contacteer ons op vergerpartage@velt.be.

Sociale huurders beschikken in de meeste OVM's over gemeenschappelijke tuinen en pleintjes. Deze tuintjes brengen wat meer groen in de wijk en bieden de kans aan bewoners om elkaar te ontmoeten. Vriendelijkheid staat centraal in deze gemeenschappelijke moestuinen. Tuin 67, gelegen in de Marbotinstraat 67, opent bijvoorbeeld iedere dag haar deuren voor het publiek vanaf 16u. Je kan er terecht voor een "koffiepauze".