Carte des restaurants partenaires Jeudi Veggie et veggie-friendly

Trouvez un restaurant partenaire Jeudi Veggie et/ou veggie-friendly près de chez vous!

Cette carte interactive répertorie les restaurants partenaires de la campagne Jeudi Veggie et les restaurants veggie-friendly à Bruxelles et en dehors.

Retrouvez la liste des restaurants sur notre page internet.

Votre restaurant veggie-friendly ne se retrouve pas sur notre carte et notre site internet? N'hésitez pas à nous le communiquer par mail à info@jeudiveggie.be. Merci beaucoup!

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Documentation

Bioguide est l'annuaire des adresses alimentaires bio à Bruxelles

Le site présente plusieurs rubriques :

. Magasins : épiceries, herboristeries, boulangeries

. Marchés

. Restaurants

. Paniers

. Producteurs

. Boire bio : où acheter et/ou consommer bières bio, vins naturels, boissons bio

Chaque enseigne dispose d'une page personnalisée qui la présente : produits proposés, infos pratiques, coordonnées, etc... et met en évidence les liens avec les autres acteurs (producteurs, coopérateurs...).

 

Bio Guide c'est :

-  contribuer au développement et à la promotion de l'alimentation bio à Bruxelles, spécialement via les filières de vente en circuit court et les commerces de proximité.
- fournir des informations utiles et concrètes à l'utilisateur soucieux d'une consomm'action responsable.
- faciliter la communication entre consommateurs et producteurs et favoriser la mise en réseau des acteurs du secteur.

Documentation

Magazine Symbioses, n°103 : « Cultiver en ville »

Du bac sur le trottoir au potager sur le toit, du jardin d’école au potager collectif, nombreux sont les urbains qui (re)découvrent le plaisir du travail de la terre et de la production de légumes. « Le potager, c’est l’école de la vie », témoigne une directrice d’école urbaine, dans ce dossier de Symbioses consacré aux potagers urbains. Utilisé à des fins éducatives, l’arrosoir peut alors devenir un outil pédagogique pour aborder les sciences, les maths ou le français. Pour tous les jardiniers urbains dont ce numéro se fait l’écho, « cultiver en ville », c’est aussi réduire le chemin parcouru entre la graine et l’assiette, se relier à son alimentation et à la nature, s’émanciper, partager. Dans ce numéro, vous découvrirez des expériences pédagogiques, des réflexions, des outils et de bonnes adresses.
Vous pouvez vous : Abonner,   Commander le numéro ou télécharger les articles.

Documentation

La Populaire- une épicerie sociale du CPAS

En janvier 2017, le CPAS de la Ville de Bruxelles a procédé au recrutement d’un chargé de mission pour analyser la faisabilité du projet « La Populaire » avec l’appui d’un subside Agenda 21 accordé par Bruxelles-environnement . Pour accomplir cette tâche, le chargé de mission a été encadré par la cellule Agenda 21 et le cabinet du CPAS.

 

Description du projet :
 

La Populaire sera l’épicerie solidaire et sociale du CPAS de la Ville de Bruxelles. Elle aura pour mission principale de proposer des denrées alimentaires de qualité à prix réduit à des personnes en situation de précarité. Son originalité résidera dans le fait de permettre à tout autre citoyen de soutenir cette démarche en achetant des produits à l’épicerie.

Pour se faire, les produits de l’épicerie répondront à une double tarification : un prix bénéficiaire, réservé aux clients bénéficiaires aidés par le CPAS et un prix solidaire, pour les clients « tout-venants »  . Ces produits seront durables et éthiques dans la mesure du possible. Plus qu’une épicerie, ce lieu vise à créer une  mixité sociale forte qui pose le défi de la rencontre de publics hétérogènes.Elle a aussi pour but  d’être un modèle d’économie circulaire et de développement durable : Matériel de seconde main, transformation de palettes, réutilisation de caisses de pommes/vin etc.

Au delà de cette forme d’aide alimentaire, plus émancipatrice où l’acte d’achat est revalorisé, c’est toute l’impulsion de la vie de quartier qui est concernée. Favoriser les partenariats et les échanges économiques, associatifs, citoyens avec le quartier et ses entreprises, en promouvant les échanges locaux dans une dynamique d’économie circulaire et sociale et en mettant en place un dispositif d’insertion socio-professionnelle sont autant d’ambitions qui animent le  projet.

Au niveau géographique le projet sera implantée au sein d’un local commercial appartenant au CPAS situé Place du jeu de balle à, 1000 Bruxelles. Il a pour vocation de s’intégrer dans le réseau d’asbl et d’entreprises d’économie sociale en cours à la Rue Haute (Récréat, Duo etc) Ce réseau est identifiable via un logo .

Cependant, il est à noter que l’épicerie sociale ne pourra accueillir les 27000 bénéficiaires du CPAS. Une sélection des bénéficiaires devra être opérée.

Quelle seront ses spécificités :

le CPAS de la Ville de Bruxelles s’est intéressé à un modèle peu courant à ce jour : l’épicerie solidaire et sociale quiveut tenter de réduire, autant que faire se peut, le déficit financier propre aux épiceries sociales  en faisant appel à la solidarité des citoyens.

Par ailleurs, L’épicerie sociale est un modèle complémentaire à l’aide alimentaire (restos du cœur, distribution de colis…) dans la mesure où certaine personnes sans logement ou à ressources financières limitées ne peuvent pas stocker les aliments ou ne peuvent fournir la compensation financière requise. 

 

Etude de faisabilité :
Le local

Une première étude de faisabilité a été menée sur base de  l’examen des expériences existantes  et des contraintes urbanistiques propre au local dédié à La Populaire. Elle a  permis d’identifier 8 scénarios d’implantation différents  et de déterminer pour chacun d’entre eux les avantages, les inconvénients et la durée de mise en place.

Suite a cette étude il a été décidé de privilégier une épicerie solidaire et sociale pourvue d’un espace convivial simple pouvant accueillir des animations ne nécessitant pas de cuisineet être transformé en bureau en vue de recevoir les bénéficiaires. Une fois l’épicerie lancée, une demande de permis d’urbanisme sera éventuellement préparée en vue d’aménager une cuisine au sein de l’espace. 

La forme juridique

Après analyse des objectifs de l’épicerie et des différentes contraintes financières auxquelles elle devra faire face, quatre formes juridiques  ont été envisagés dans cette étude :

  • Structure publique locale
  • Association à But Non Lucratif (Asbl)
  • Société Coopérative à Responsabilité Limitée à finalité sociale (SCRL-FS)
  • Intégration à l’asblResto du cœur de Bruxelles

Au vu des différentes contraintes propre à chacune d’elles, le service juridique du CPAS de la Ville de Bruxelles à identifié l’asbl comme étant la structure la plus adaptée au projet de « La Populaire ». Cette forme juridique pourrait être adoptée en tant que  nouvelle structure ou par l’intégration à une association existante.

L’utilisation de matériel de récupération et de seconde  main  a été identifié comme une difficulté au regard des règles de marché public auxquelles devra très probablement se conformer La Populaire.

L'Analyse du marché:

L’étude de faisabilité a mis en avant les points suivants :

  • Secteur économique en pleine croissance
  • La localisation privilégiée. sur la Place du Jeu de Balle est un facteur clé pour la participation des clients solidaires
  • Haute fréquentation, en particulier le weekend
  • Fréquentation de travailleurs, clients potentiellement fidèles, en semaine
  • Présence du Marché bio des Tanneurs : un atout (présence de clients sensibles au développement durable) & une faiblesse (nécessité de se diversifier au niveau des produits)
  • Nombreux petits artisans et magasin d’alimentation générale à proximité = problèmes de concurrence ou opportunités de synergies?
La faisabilité financière :

Les conclusions à tirer du plan financier sont les suivantes :

  • Selon le degré de participation des clients solidaires identifies,  au cours de cette étude, le projet ne sera pas rentable après 3 ans. Son déficit financier pourrait toutefois baisser de 25 à 30% par an.
  • Le seuil d’équilibre financier se situe autour de minimum 75 et 100 clients solidaires par jour. L’atteinte de ce seuil varie en fonction de la valeur panier d’achat solidaire moyen et du nombre de bénéficiaires.
  • Si le nombre de clients solidaires continue à croître de 20% par an après 2020, le seuil d’équilibre financier pourrait être atteint entre 2021 et 2022 (nombre de bénéficiaires fixé à 125 et valeur du panier d’achat moyen = 25€)
  • l’atteinte de l’équilibre financier sera difficilement réalisable sans le soutien du CPAS en termes de mise à disposition du local et d’agents article 60.

Au vu de cette étude, la création de l’épicerie «La Populaire » a été suspendue.

Projets inspirants

Too Good To Go, l’engagement à portée de smartphone

 

Lancée en Mars 2018 en Belgique, l’application Too Good To Go permet à chacun de s’engager à son échelle contre le gaspillage en mettant en relation les commerçants et citoyens afin que ces derniers récupèrent les invendus des commerces alentours en fin de journée.

 

Comment cela fonctionne ?

L’application connecte, sans intermédiaire et en temps réel, commerçants et citoyens pour faire de tous des acteurs du changement. Too Good To Go rend la lutte contre le gaspillage alimentaire accessible à tous. Le changement commence par chacun d’entre nous. Géolocalisés sur l’application, les utilisateurs repèrent les commerçants partenaires autour d’eux, commandent un « panier surprise » composé des invendus du jour, payent un petit prix en ligne et se présentent sur place aux heures de collecte indiquées afin de récupérer leur panier.

Matériel

Guide d’observation et pistes d’action pour des sols vivants en maraîchage

Tu es confronté·e à des problèmes de compaction, de battance, d’érosion, de drainage insuffisant, de semelle de labour, de développement racinaire limité ?

Tu souhaites mieux comprendre le rôle que jouent l’activité biologique et la matière organique dans ton sol ?

Tu souhaites adapter tes pratiques au mieux aux conditions de ton sol ?

Tu souhaites suivre l’état et la santé de ton sol année après année ?

Tu souhaites réaliser l’évaluation d’une nouvelle parcelle avant sa mise en culture ?

 

À travers une série de critères pertinents et facilement observables sur le terrain, le Guide d’observation et Pistes d’action pour des sols vivants te proposes de structurer mentalement les étapes importantes par lesquelles il faut passer si tu veux observer un sol par toi-même et aller plus loin dans la compréhension de celui-ci.

Ce guide est construit de façon à ce que tu puisses :

• Te poser les bonnes questions et procéder de manière efficace pour observer ton sol ;

• Te reposer sur des bases solides pour interpréter tes observations de terrains ;

• Identifier les points d’attention ou problématiques qui découlent de tes interprétations;

• Envisager des pistes d’action concrètes pour agir face à ces problématiques ;

• Évaluer l’impact de tes actions dans le temps.

 

En fonction de tes besoins, le guide te propose d’utiliser différents parcours. Tu obtiendras ainsi un diagnostic instantané qu’il te sera possible de répéter pour réaliser un suivi-évaluation continu et observer des changements au fil des saisons, des années...

Le Guide d’observation et Pistes d’action pour des sols vivants a été co-construit en collaboration avec plusieurs maraîcher·e·s et expert·e·s belges. Il reprend une série de pratiques culturales concrètes en réponse aux observations qu’il est possible de réaliser sur terrain. Ces pistes d’action permettent aux maraichères et aux maraichers d’ouvrir un nouveau champ de possibles dans leur manière de travailler et d’envisager d’autres pratiques déjà mises en place par d’autres en Wallonie.

   
Documentation

Faciliter l’accès à la terre : cultiver sur petites surfaces et sur plusieurs sites

Pour remédier à la rareté des terrains et à leur inaccessibilité aux porteurs de projets en milieu urbain, certains maraichers développent une approche innovante de culture sur petites surfaces et sur plusieurs sites.

Ce guide propose différents outils et conseils issus de l’expérience menée à Bruxelles par les maraichers de la coopérative Cycle Farm.
→ Cultiver sur plusieurs terrains – stratégie multi-sites

Qu’entend-on par « stratégie multi-sites » ?

Comment la mettre en place et quelles sont ses implications ?

En quoi permet-elle de faciliter l’accès à la terre en milieu urbain ?
→ Évaluer et choisir un terrain – outils EVA-TER

Comment rechercher et trouver un terrain à mettre en culture ?

Lorsqu’un terrain nous est proposé, comment savoir s’il correspond aux besoins d’un maraicher ?

Comment faire un choix parmi plusieurs terrains potentiels ? Sur base de quels critères ?
→ Sécuriser son activité – contrats d’accès à la terre

Quels contrats établir en fonction du type de terrain ?

Quelles sont les particularités à prendre en compte, pour un accord de courte ou longue durée ?

Quelles en sont les conséquences ?
→ Réfléchir à l’agencement des cultures – design maraicher

Comment agencer les cultures sur une petite surface ?

En fonction de quels principes ?

Quels sont les éléments importants à prendre en compte ?

Documentation

SPINCOOP, un projet de recherche action participative

Le projet de recherche SPINCOOP s'inscrit au sein de l’action Co-Create consacrée aux systèmes alimentaires justes et durables.
L’objectif de SPINCOOP est d’étudier les conditions de viabilité économique et agro-écologique, de résilience et de création d’emploi du modèle SPIN Farming (Small Plot Intensive Farming) tel qu’adapté à Bruxelles par la coopérative de maraichers Cycle Farm.

Ce modèle, initialement développé au Canada, propose un ensemble de principes et de techniques de maraichage urbain bio-intensif en petites surfaces. Il favorise la production avec des investissements de départ réduits sur des espaces de petites dimensions (jardins et propriétés privés). Les légumes cultivés sont choisis pour leur haute valeur ajoutée et commercialisés via la vente directe à l’échelle locale.
Mené pendant trois ans entre 2015 et 2018, le projet SPINCOOP bénéficie du soutien de l’Agence bruxelloise de l’Innovation et de la Recherche (Innoviris) et rassemble des partenaires issus d’horizons variés : deux maraichers (Cycle Farm), un consultant (Crédal) et une équipe de chercheurs universitaires  (Agroecology Lab et CEESE – Centre d’Études Économiques et Sociales de l’Environnement – de l’ULB).

La démarche de recherche, appelée co-création ou recherche action participative, repose sur la construction collective de connaissances par des allers-retours continuels entre l’action et la réflexion. Les acteurs de terrain s’engagent au même titre que les chercheurs dès la définition des questions de recherche et tout au long du processus, ce qui permet d’assurer la pertinence soci(ét)ale de celui-ci.

L’équipe SPINCOOP a identifié et analysé, au cours des trois premières années d’activité de Cycle Farm, une série d’enjeux considérés comme cruciaux pour la viabilité et le potentiel d’essaimage de ce type de modèle agricole hybride, inspiré par le SPIN Farming mais également porteur d’ambitions sociales, communautaires et environnementales plus larges.

Etudes

Tas d'beaux restes!

Petite description du projet :

'Tas d'beaux restes!' est un atelier culinaire pour lutter contre le gaspillage alimentaire. Notre public cible est le public des Centres Culturels (CC) et des Maisons Médicales (MM) à Bruxelles (NL + FR). Pendant le projet Good Food nous avons collaboré avec six Maisons Médicales: MM La Perche, MM AsaSo, MM Des Primeurs, MM 1190, MM du Miroir et MM De Brug / la Passerelle.

 

Les outils créés :

Nous avons créé pour le projet Good Food un carnet avec des recettes et des outils de sensibilisation au gaspillage alimentaire. Des astuces et conseils ont été rassemblés afin de favoriser la réduction du gaspillage, voire l'annihiler. Nous avons aussi créé une mini-expositon interactive à base d’un questionnaire pour découvrir quelques chiffres autour du gaspillage alimentaire. De même, affiches et flyers ont été conçus et mis à disposition pour faire la promotion dans chaque MM. Une évaluation de l’atelier était réalisée directement en fin d’activité mais également un mois plus tard pour estimer l’impact de l’atelier sur le comportement des participants.

Evaluation Tas d'beaux restes

Questionnaire : Les gaspillage alimentaire

Flyer

 

Étapes du projet :

Octobre 2017 : contact avec les MM et CC par mail, puis par téléphone.

Novembre 2017 – Février 2018: création de l’atelier et les outils.

Mars 2018: demande de subvention à Equal.brussels pour pouvoir prester les ateliers à un tarif symbolique pour les MM.

Avril 2018 : acceptation de notre demande de subvention par Equal.brussels.

Mai 2018 : nouvelle promotion auprès des MM.

03/09/2018 : radio spot pour la promotion de notre atelier et les Rencontres Good Food.

Septembre à novembre 2018: prestations des ateliers dans différentes MM.

Projets inspirants