Fristouille

Fristouille est une structure d’indépendants qui accompagne tant les professionnels que les citoyens, mouvements et associations dans leurs projets d’éducation, d’idéation et de développement commercial autour de l'alimentation durable

Mission

Notre mission est de faciliter la transition vers une alimentation plus durable et respectueuse de l'environnement.

Activités

Fristouille a débuté avec la création d’un site internet de recettes durables (www.fristouille.org) et au fil du temps, a élargi ses activités. Nous sommes désormais 3 indépendants et fournissons les services suivants:

  1. Création de recettes durables
  2. Animations d’ateliers culinaires durables pour associations, écoles, mouvements de jeunesse, collectifs de citoyens
  3. Formations à l’alimentation durable
  4. Création de matériel pédagogique
  5. Idéation et création de produits ou services culinaires durables
  6. Stratégie de croissance de projets en alimentation durable
  7. Accompagnement, coaching et gestion du changement

Quelques projets que nous avons mené:

  • Animations culinaires “Pour plus de veggie et moins de gaspi” pour Bruxelles Environnement dans les écoles primaires et secondaires bruxelloises
  • Formation d’intendants de mouvements de jeunesse à l’alimentation durable dans le cadre de camps zéro déchet en partenariat avec Les Scouts, Les Guides Catholiques de Belgique, Les Scouts et Guides Pluralistes, Le Patro, Zero Waste Belgium et Terroirist
  • Création de “mix repas” pour Lili Bulk (Dhalicious, Burger Fever, Rebel Falafel, Thai’mtodine, Orzotto, Serious Couscous, Proteinburger) et lancement commercial
  • Création de fiches “Recettes de base” pour Bruxelles Environnement
  • Création de recettes pour recettes4saisons.brussels
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Français
Adresse

Belgique

Téléphone
+32 498 68 69 46
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nicolas@fristouille.org
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Structure d'indépendants

FoodWIN: contre le gaspillage alimentaire!

Agissez contre le gaspillage alimentaire et réduisez ainsi votre empreinte écologique ! De plus, vous économiserez beaucoup d'argent, car jeter de la nourriture, c'est jeter de l'argent.

FoodWIN aide les autorités et organisations locales à gaspiller moins de nourriture. Nous offrons l'expertise et les outils, et ensemble nous cherchons la bonne solution.

  • Gouvernements locaux : en collaboration avec les villes et les acteurs locaux, nous co-créons un plan d'action contre le gaspillage alimentaire.
  • Grandes cuisines des écoles, hôpitaux, maisons de retraite, entreprises... : nous vous aidons à mesurer les déchets alimentaires, et ensemble nous cherchons des solutions sur mesure. Une mesure d'impact vous montre les économies.
  • Organisations et entreprises : un teambuilding ou atelier contre le gaspillage alimentaire, un cours de cuisine, un keynote, ... contactez-nous pour une solution sur mesure!
  • Entreprises de traitement et supermarchés : pour la redistribution ou le traitement des excédents - contactez le Food Waste Alliance, www.foodwastealliance.be !

À propos de FoodWIN : Les gens sont au cœur de toutes nos stratégies de gestion des déchets alimentaires. Nous prenons tout le monde à bord et garantissons que vous passerez un bon moment. FoodWIN a collaboré avec divers acteurs de la chaîne alimentaire, tels que les gouvernements locaux, les écoles, les établissements de santé, les entreprises alimentaires... et bien plus encore. FoodWIN est reconnu par la Commission européenne en tant qu'expert de la plateforme de l'UE pour les pertes et le gaspillage alimentaires.

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Langues
Français
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Adresse

Rue Dieudonné Lefèvre 17
1020 Laeken
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Téléphone
+32477186417
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hanne@foodwin.org

Comment planter un arbre fruitier ?

Planter un arbre, ça ne se fait qu’une seule fois ! Alors autant faire les choses selon les règles. Plantez au bon moment. Veillez à donner suffisamment de place à votre protégé. N’oubliez pas de le soigner correctement par la suite.

Le bon moment

Un arbre fruitier peut se planter de novembre à fin mars, pendant la période de repos. Le moment idéal est le mois de novembre, après la chute des feuilles. Les pêchers et les abricotiers font exception à cette règle. Ces arbres doivent être plantés en mars car les sujets jeunes sont sensibles au gel. Pour la plantation, il est bon de choisir un jour calme et nuageux. Évitez les périodes de gel et ne plantez jamais après plusieurs journées de pluies incessantes, quand la terre est gorgée d’eau.

De combien d’espace ont-ils besoin ?

Veillez à une distance de plantation suffisante. Cela n’a absolument aucun sens de planter un arbre fruitier qui ne disposera pas de l’espace nécessaire lorsqu’il sera devenu adulte. Un arbre qu’il faut contenir par des tailles annuelles ne sera pas heureux et ne produira pas beaucoup de fruits. Notez que les distances de plantation varient selon le type d’arbre fruitier. Un noyer haute-tige dépassera quinze mètres de diamètre, alors qu’un pêcher haute-tige ne dépassera pas huit mètres.

  Haute-tige Demi-tige Basse-tige Espalier Haie fruitière Fuseau
Distance de plantation/diamètre 8 à 12 m 5 à 8 m 2 à 4 m 0,4 à 2 m 0,5 à 1 m 0,3 à 0,4 m

Veillez aux bonnes relations de voisinage

Pour la plantation d’arbres et de buissons dans un jardin, le respect d’un certain nombre de prescriptions légales s’impose. À moins que vous n’ayez un accord particulier avec votre voisin, vous ne pouvez pas planter d’arbre à une distance inférieure à deux mètres de la limite de la propriété. Pour les buissons, cette distance minimale est de cinquante centimètres. Si vous plantez une haie avec votre voisin sur la limite de la propriété ou s’il est d’accord que vous plantiez un arbre à moins de deux mètres de la limite, prenez la précaution de mettre cet accord par écrit. Cela évitera toute discussion ultérieure. Même si vous respectez les distances légales, il est de bon commerce d’en parler à vos voisins.

Creuser le trou

Au moment de la plantation, il faut creuser un trou suffisamment grand pour accueillir les racines de l’arbre. Soit un trou d’environ 50 x 50 x 50 centimètres. À l’aide d’une bêche, vous vérifierez, sur une profondeur d’à peu près 70 cm, la présence d’une couche de pierres ou de terre plus compacte. Le cas échéant, il s’agira d’enlever les premières ou de percer la seconde avec une fourche à bêcher. Si vous plantez un arbre basse-tige dans un sol argileux ou sablonneux, veillez à mélanger deux seaux de compost à la terre retirée du trou.

Un jeune arbre a besoin de soutien

Placez un tuteur dans le trou de plantation avant d’y installer votre arbre, afin d’éviter d’endommager les racines. Enfoncez le piquet à environ dix centimètres de l’arbre, du côté des vents dominants (généralement à l’ouest). De cette façon le vent écartera l’arbre du tuteur ce qui limitera les risques de blessures. Enfoncez le piquet solidement dans le sol. Pour les arbres  hautes-tiges et demi-tiges, vous pouvez enlever le tuteur après trois ou quatre ans. Les basses-tiges ont besoin d’être soutenus tout au long de leur existence. Dès lors, ne leur enlevez jamais leur tuteur.

La plantation

Sitôt le piquet enfoncé, vous couperez au besoin les racines du plant qui auront été abimées lors de l’arrachage. Répartissez les racines restantes sur la surface au fond du trou. Veillez à planter votre sujet légèrement plus haut que souhaité, car la terre, en se tassant, entrainera l’arbre de quelques centimètres. Juste au-dessus du départ des racines vous remarquerez un bourrelet sur le tronc (le point de greffe). Il est important que ce bourrelet ne soit jamais placé sous la surface du sol, car vous obtiendriez un arbre tout à fait différent de celui que vous avez acheté ! En comblant le trou de plantation, pensez à secouer doucement votre arbre de haut en bas afin que la terre pénètre bien entre les racines. Quand le trou sera comblé, tassez légèrement la terre avec votre pied. Veillez à faire ceci avant d’arroser.

Vous avez bientôt terminé !

Pour parachever l’ouvrage, il ne vous reste plus qu’à lier votre arbre au tuteur à l’aide d’un lien de tuteurage. À cet effet, optez pour une bande élastique de bonne largeur. Posez la bande en huit, c’est-à-dire en la croisant entre le tronc et le tuteur, pour éviter le frottement entre l’arbre et son support. Veillez aussi à ne pas trop serrer afin que le lien ne s’incruste pas dans l’écorce. Pour terminer la plantation, donnez un demi à un seau d’eau environ.

N’oubliez pas d’indiquer le nom de la variété ainsi que les renseignements concernant le porte-greffe.

Documentation

Comment tailler les arbres fruitiers en hiver ?

La taille d’hiver stimule la croissance de l’arbre. Du fait de la montée de la sève, les branches raccourcies vont recevoir un flux d’éléments nutritifs qui favoriseront la croissance et la ramification. C’est pourquoi la taille d’hiver est particulièrement profitable aux sujets jeunes, car elle favorisera le développement d’une ramure vigoureuse, promesse de récoltes futures abondantes. La taille des basses-, demi- et hautes-tiges est expliquée plus loin. Les arbres adultes et vieux se taillent de préférence en été.

Un arbre fruitier avec une ramure vigoureuse

Pour doter un arbre fruitier d’une ramure robuste, il faut choisir les branches charpentières les mieux disposées. Pour favoriser la croissance et la vigueur de ces dernières, il convient de les raccourcir chaque année. C’est ce qu’on appelle la taille de formation. L’idéal est de travailler avec trois à cinq branches charpentières robustes et saines. Voici la manière de procéder.

Taille de formation la première année

  • Choisir trois à cinq branches bien implantées, avec un écartement optimal et régulier, de telle manière qu’elles ne viennent à se croiser ou se frotter l’une contre l’autre. L’idéal serait qu’elles soient disposées à un angle de 45 à 60 degrés par rapport à la tige centrale ou le tronc. Il faut donc éviter de choisir des branches trop à l’horizontale ou à la verticale.
  • Une fois choisies, les branches seront raccourcies d’environ un tiers, juste au-dessus d’un œil pointé vers l’extérieur. Au printemps, ce dernier va croître vers l’extérieur et ainsi élargir la couronne de l’arbre.
  • Les branches mal placées seront supprimées. Afin d’éviter d’abimer l’arbre, il est prudent de ne pas couper trop à ras !

Taille de formation les années suivantes

  • Raccourcir de nouveau les branches charpentières d’un tiers, juste au-dessus d’un oeil pointé vers l’extérieur.
  • Toutes les branches secondaires trop verticales, celles qui poussent vers l’intérieur de la couronne ainsi que celles en concurrence avec les charpentières doivent être supprimées.
  • Si l’arbre présente une branche centrale (c.-à-d. en prolongement du tronc), il est possible, après un certain temps, de former une deuxième couronne au-dessus de la première. Dans ce cas, il faut veiller à conserver une distance suffisante par rapport à la première couronne. Pour un basse-tige, il faudra prévoir environ 40 à 60 cm ; pour un haute-tige, 100 à 120 cm.

Quand peut-on tailler ?

Pour les poiriers et les pommiers, la taille hivernale peut s’effectuer de janvier à la mi-mars, avant le débourrement. Pour les pruniers, cerisiers et pêchers, il est préférable d’attendre le plus longtemps possible afin d’éviter la contamination par le parasite de la maladie du plomb (Chondrostereum purpureum). Par conséquent, il est préférable de tailler les jeunes cerisiers et pruniers en mars, juste avant le débourrement. En revanche, il faut absolument éviter de tailler les noyers en hiver car le flux de sève provoque un « saignement » trop important.

Documentation

Inventaire et analyse des données existantes en matière de demande alimentaire à Bruxelles

Etude, Bruxelles Environnement, 2015, 41 pages

Cette étude recense les sources disponibles et synthétise les éléments d’information existants sur la demande alimentaire des particuliers dans la capitale. En effet, afin de développer une offre alimentaire durable qui corresponde aux attentes du marché (de la demande), il est indispensable de connaitre les besoins actuels et futurs de celui-ci.

Objectifs

Cette recherche visait à réaliser un inventaire, puis une analyse des données existantes en matière de demande alimentaire à l’échelle de la Région de Bruxelles-Capitale.

La compilation de ces sources répond à un triple objectif :

  • Identifier la situation actuelle ainsi que les freins et leviers vers une alimentation durable.
  • Répondre aux questions suivantes : Comment orienter l’offre ? Quelles perspectives de développement d’une offre en alimentation durable pour répondre à la demande ?
  • Sélectionner un set d’indicateurs de suivi.

Résumé

Un premier inventaire des sources de données disponibles a d’abord été réalisé. Sur base de cet inventaire, 4 thématiques clés ont été identifiées, ainsi qu’une thématique transversale. Les quatre thématiques autour desquelles se structurent les questions de l’étude sont les suivantes :

  • Profil et habitudes alimentaires
  • Etat de la consommation et perceptions des produits dits durables
  • Satisfaction des ménages par rapport à l’offre alimentaire
  • Tendances évolutives

La thématique transversale s’attache à l’identification des freins et des leviers pour transiter vers une alimentation durable.

Afin de cadrer les thématiques, un groupe de travail a ensuite été mis en place. Suite au travail de groupe, les thématiques identifiées ont pu être structurées autour de différentes questions clés.

Sur base d’un ensemble de sources bibliographiques et de rencontres en face à face avec les acteurs de l’alimentation sur le territoire de la RBC, l’étude dresse une synthèse des réponses aux questions identifiées.

L’analyse de ces informations permet de dégager des informations manquantes pour compléter les réponses aux questions, mais également des perspectives de développement de l’alimentation durable sur le territoire de la RBC.

Résultats

L’étude conclut que la photographie de la demande alimentaire n’est que partielle et imprécise, et ce pour plusieurs raisons : les données sont peu actualisées, les informations disponibles sont essentiellement qualitatives, il manque une cohérence d’ensemble entre les différentes études. Le rapport apporte une série de recommandations sur les éléments complémentaires à collecter, indispensables pour composer une image plus fine et fiable.

La synthèse réalisée apporte toutefois des éléments d’information intéressants. Quelques extraits à titre d’exemples :

  • Il n’y a pas de tendance nette dans l’évolution de la part du budget des ménages consacrée aux différentes catégories de produits, excepté pour la viande, où la tendance est à la baisse depuis l’année 2000 ;
  • Le temps consacré à la préparation et la prise des repas est inférieur à 30 minutes pour la majorité des Belges ;
  • Le critère « qualité » est souvent cité comme un critère de choix important lors des achats alimentaires ;
  • Lorsqu’il y a proposition, les critères « frais » et « de saison » primeraient par rapport aux critères « circuit court » et « respectueux de l’environnement »
  • Les fruits, légumes et produits biologiques sont les produits les plus recherchés dans le cadre de l’approvisionnement en circuit court ;
  • 92% des Bruxellois interrogés connaissent le principe du jeudi veggie ;
  • Les consommateurs sont peu satisfaits de l’offre alimentaire en général ;
  • etc.
Etudes

Beef TAKE

Beef TAKE est une jeune entreprise bruxelloise dont l’objectif est de reconnecter le mangeur (le client qui achète et qui apprécie la viande) et l’éleveur wallon.

C’est un lien que nous faisons pour permettre au bruxellois de consommer de la viande de qualité, locale, de manière raisonnable tout en respectant le bien-être animal.

Notre but est simple, faire redécouvrir le plaisir d’une bonne viande de qualité et organiser la rencontre entre l’éleveur et le mangeur.

Nous avons une application où il est possible de se géolocaliser et voir où se trouve l’éleveur le plus proche et ainsi commander son colis de viande en direct.

 

Chaque mois, des événements de rencontre sont organisés dans la région de Bruxelles-Capitale pour que les mangeurs puissent passer un moment privilégié avec l’éleveur et ainsi se reconnecter de la réalité biaisée à propos de la mauvaise information autour de la viande.

Cela permet de se distinguer de la viande issue de l’industrie, contre la viande issue du savoir-faire de nos éleveurs.

Les mangeurs ont la possibilité de rencontrer l’éleveur sur place, en allant chercher son colis et de s’informer au maximum sur la viande, l’élevage, ses pratiques, ses complexités et sa diversité.

Matériel

Projet de création d'un kit "Table durable entre voisins"

 

Ce projet a été mené par le service Développement durable de la Commune d'Etterbeek dans le cadre de sa politique de sensibilisation à l'alimentation durable, dont également le projet d'adoption de poules pour les particuliers ou via des poulaillers collectifs ou l’accompagnement de ménages Etterbeekois dans le cadre du « Défi alimentation durable ».

Le projet a abouti à la création d'un « Kit Table durable entre voisins », mallette rassemblant tous les éléments nécessaires à l'organisation d'une soirée-repas avec ses voisins autour du thème de l’alimentation durable. Cerise sur le gâteau : la préparation du repas et la dégustation festive sont assistées par un cuisinier spécialiste qui partage ses trucs et astuces avec les convives.

Objectifs

Au travers de la confection et du partage d’un repas durable, le kit rencontre un double objectif :

  • la sensibilisation à l’alimentation durable et l'invitation aux changements de comportements alimentaires ;
  • le développement de lien social et de convivialité entre voisins.

Résumé

L’hôte accueille ses voisins pour un cours de cuisine dispensé par un cuisinier spécialisé en alimentation durable (et rétribué par la Commune), puis pour la dégustation du repas préparé collectivement. 

L’hôte peut choisir son thème (cuisiner mon panier bio, plat anti-gaspi, etc.) ou proposer une recette qui sera « durabilisée » par le cuisinier professionnel, par exemple en intégrant le respect des saisons, en réduisant la quantité de protéines animales, etc.

Pour agrémenter la soirée, un kit d'accompagnement, facile à utiliser de manière autonome, aide à diffuser les concepts clés de l’alimentation durable, de façon pratique et conviviale.

Celui-ci comporte :

  • des outils pour permettre à l’hôte d’explorer les principes généraux de l’alimentation durable ;
  • des supports d’animation pour l’aider à expliquer ces principes à ses voisins lors de la soirée ;
  • du matériel pour la soirée (sets de table, affiche, étiquettes nominatives, etc.) ;
  • des outils pratiques que les participants peuvent conserver pour le quotidien (calendrier des fruits et légumes de saison, brochures sur les étiquettes et logos, etc.).

Le kit empruntable  est disponible gratuitement pour tout Etterbeekois et peut être utilisé à domicile ou dans un local mis à disposition.

 

Résultats inspirants

En 2015, 3 soirées 'tests' ont été organisées. Elles ont réuni 11 invités en plus des 5 hôtes (2 couples et 1 personne seule) et des membres de l’équipe communale chargés de l’évaluation. Ces soirées ont conduit à des ajustements pour améliorer le kit (résumé du déroulé de la soirée comme « pense-bête » pour l’hôte, inversion d’animations, « élagage » de texte, etc.).

Depuis, 9 soirées ont pu avoir lieu pour un total d'environ 70 participants. Par la suite des évènements 'retrouvailles' ont été organisés: l'idée est de réunir, 1 à 2 fois par an, tous les participants pour prolonger la sensibilisation à l'alimentation durable au-delà de la soirée du kit, au travers d'un moment convivial d'échanges et d'une auberge espagnole.

Le point fort du projet est la convivialité : l’atelier cuisine personnalisé donné par le cuisinier professionnel est motivant et le fait d’accueillir chez soi stimule l’échange entre les participants. Les concepts de l’alimentation durable sont vulgarisés et adaptés à la réalité quotidienne des personnes.

La difficulté du projet réside dans une implication suffisante de l’hôte : c’est lui qui explique l'alimentation durable à ses invités, avec ses mots et son expérience. En échange du prêt du kit et de l’atelier de cuisine offert, il lui est demandé de prendre connaissance des documents fournis et d’être le « moteur » de la soirée (enchaînement des animations, gardien du temps, etc.). Un entretien de préparation est prévu au moment du prêt du kit et une attention a été portée au contenu pour qu'il ne soit pas trop conséquent.

Contact

Service Développement durable, Commune d’Etterbeek

Tel : 02 627 27 87

Email : Etterbeek.durable@etterbeek.be

Projets inspirants

Rejoindre un potager collectif

Vous préférez jardiner en groupe, vous aimez partager votre savoir-faire ou vous souhaitez améliorer vos connaissances horticoles, et ceci dans une ambiance conviviale ?

Rejoignez un potager collectif !

 

Qu’est-ce qu’un potager collectif ?

Un potager collectif est cultivé par un groupe de personnes : ce groupe se partage le travail et les récoltes, décide ensemble de l’aménagement du terrain, du choix des espèces à cultiver...

Une charte définit souvent les règles de fonctionnement du potager. Il s’agit donc d’un mode d’organisation collectif et participatif.

 

Différents types de potagers collectifs

Certains potagers collectifs sont constitués d’une seule grande parcelle partagée, d’autres sont divisés en parcelles individuelles.

On peut parfois aussi y trouver un verger, un compost, un rucher ou un poulailler collectif.

Dans tous les cas, les efforts et moyens sont mis en commun (semences, outils, compost…) et l’échange des savoir-faire et la convivialité sont recherchés. Les potagers collectifs contribuent ainsi à améliorer les liens entre habitants d’un même quartier et à renforcer les compétences horticoles des uns et des autres.

 

Rejoindre un potager collectif

Vous souhaitez rejoindre un potager collectif ? Écrivez-nous à l'adresse guichet-jc@haricots.org.

Vous pouvez également consulter la carte des potagers familiaux de Bruxelles (veuillez noter cependant que la plupart de ces potagers ont déjà une longue liste d'attente).

Documentation

Agriculture urbaine : de l’aide pour démarrer

Vous avez envie d’en savoir plus sur l’agriculture urbaine ?

Des questions sur la qualité de votre sol ? Consultez notre guide pratique d’analyse de sol.

Des questions sur les réglementations urbanistiques et territoriales applicables aux projets d’agriculture urbaine ? Consultez notre guide sur le sujet.

Un réseau de Guides Potager et Guides Compost est également à votre disposition pour vous aider à profiter pleinement de votre potager.

Plusieurs acteurs bruxellois, actifs dans l’agriculture urbaine, proposent également des formations.

Vous recherchez un soutien pour lancer un projet d’agriculture urbaine ? Nos appels à projets peuvent vous apporter un accompagnement méthodologique.

Le Guide Bâtiment Durable apporte de l’information aux maîtres d’ouvrage et concepteurs de bâtiments dans son dossier "Intégrer l’agriculture urbaine".

Enfin, nos fiches techniques sont également à votre disposition.

Documentation

Potager collectif "Patroger"

Le Patroger est un potager collectif créé en 2018 à partir de plusieurs animateurs d’un mouvement de jeunesse, le Patro Sacré-Cœur d’Uccle. Il s’agit d’un terrain et d’un local appartenant à la paroisse mis à disposition du mouvement de jeunesse pour y mener leurs activités régulières.

Ce potager souhaite sensibiliser les citadins et les animés à la manière dont pousse un légume, et à la question de l’alimentation de saison, ainsi que recréer du lien dans le quartier. De ce fait, animateurs, anciens animateurs et parents d’animés ont déjà accompli plusieurs aménagements pour le devenir du potager : actuellement, il s’agit d’une centaine de m² où du compost a été apporté, une cuve de récupération d’eau de pluie mise en place, et une clôture plus ou moins installée (lorsqu’elle ne tombe pas curieusement…). Il est localisé à Uccle, à proximité de l’intersection avec 3 autres communes non-bruxelloises (Linkebeek, Drogenbos et Beersel).

Sans être une grande source de production, il a néanmoins déjà produit divers légumes la première année : principalement courgettes, potirons, carottes, radis, salades, pommes de terre, bettes et betteraves, ainsi que divers aromates. Ils ont eu un bon succès auprès des parents des patronnés lors de la première réunion de l’année !

Différents projets se profilent pour le futur, comme l’inauguration d’un compost collectif, une potentielle serre et l’accueil sur le site d’un groupe de personnes porteuses d’un handicap. Cependant, nous tenons à ce que ces étapes soient bien réfléchies pour qu’elles puissent durer dans le temps.

Ce projet a été soutenu par Bruxelles Environnement dans le cadre de l’appel à projets citoyens Inspirons le quartier - volet Good Food en 2019.

Projets inspirants