Formation Permaculture Urbaine à Bruxelles

Urbain et heureux de l’être, mais avec une profonde envie de vivre dans une ville à échelle humaine ?
Citadine et décidée à le rester pour être actrice de la ville de demain ?
Cette formation est pour toi !

Tu peux à présent obtenir ton Certificat de Conception en Permaculture(CCP ou PDC) et ainsi acquérir toutes les bases de la permaculture … en milieu urbain ... à Bruxelles !

Ce cours de 12 jours est donné à travers le monde selon un format identique, mais avec des accents spécifiques en fonction des intervenants et du lieu où il se donne. Bien souvent, il faut se rendre à la campagne pour suivre un PDC, avec comme conséquence que dès son retour en ville, on ne sait pas trop comment passer à l’application concrète de cette permaculture apprise en milieu rural. Citadines et fières de l’être, convaincues de la force de la permaculture pour rendre les villes plus vivables, Corrinne Denecker et Pauline Lemaire ont le plaisir de proposer un « PDC en permaculture urbaine » à Bruxelles.

Cette formation de 12 jours, c’est tout le programme du PDC, mais appliqué au milieu urbain.

On parlera donc de résilience urbaine, de production alimentaire et d’autonomie en ville, de l’écosystème ville (eau, climats, sol, biodiversité...), de l’habitat humain en milieu urbain, d’économie … On apprendra et expérimentera le design, outil central de la permaculture. Et on se plongera tout entier.e.s dans cette permaculture, une philosophie pratique indispensable à la transition des villes vers la société de demain.

Avec le soutien de Fabienne Delcorps - diplômée du mouvement permaculture internationale.

ATTENTION : ceci n’est pas une formation à l’agriculture urbaine, ni au maraichage, ni au jardinage.
Il s’agit d’une formation à la permaculture en tant qu’outil d’analyse, vision systémique, boîte à outils de techniques diverses et variées, posture d’observation et grille de compréhension du monde.

 

  • Le programme détaillé: http://permaculture-urbaine.be/le-programme/
  • La formation aura lieu à Bruxelles.
  • La formation se déroulera en 6 fois 2 jours, aux dates suivantes : 1 & 2/02/20 - 22 & 23/02/20 - 14 & 15/03/20 - 4 & 5/04/19 - 25 & 26/04/20 - 15 & 16/05/20
  • Horaire: samedi et dimanche de 9h30 à 17h
  • Tarif : 720 euros*

*Le prix de la formation ne doit pas être un frein à votre participation, contactez-nous pour trouver une solution ensemble !

Soirée de présentation de la formation : jeudi 28 novembre de 19h à 21h au Boom Café, Rue Pletinckx 7 à 1000 Bruxelles.


Retrouvez toutes les infomations concernant la formation, les intervenants et comment s'inscrire sur notre site web: www.permaculture-urbaine.be
Besoin de plus d'information, envoyez-nous un email à perma.urbaine.bxl@gmail.com.

Formations / Acc

FORMATION JEU DE LA FICELLE & POTENTIA - La puissance de l’agir collectif !

FORMATION JEU DE LA FICELLE & POTENTIA

La puissance de l’agir collectif !
3 jours, 2 outils et 1 fil rouge pour renforcer les initiatives citoyennes de transition

 

Vous êtes animateur·trice, formateur·trice dans le secteur associatif, militant·e, éducateur·trice… -ou tout autre dans le désir d’engagement- Quinoa asbl et Rencontre des Continents asbl vous proposent trois journées, pour (re)découvrir deux outils pédagogiques : Le « Jeu de la ficelle » et « Potentia » et partager nos expériences… réfléchir ensemble sur comment favoriser la transition.

La mondialisation est caractérisée par des interdépendances de plus en plus complexes. Les crises se superposent faisant apparaître des tensions entre les solutions à apporter à chacune d’elles. L’enchevêtrement des enjeux contemporains nous amène à repenser les solutions proposées pour les résoudre. Cette complexité a parfois de quoi décourager les citoyennes & citoyens à s’engager.

Dès lors, comment favoriser un engagement transformateur (voire émancipateur) ? Présenter la grande diversité d’initiatives inspirantes auxquelles « il suffirait de prendre part… » est une piste, mais encore faut-il comprendre pourquoi et comment sont-elles réellement porteuses de changement.

Le « Jeu de la ficelle » et « Potentia » sont basés sur l’approche systémique tant comme méthode de réflexion que comme levier d’action. Ils permettent de réfléchir aux dynamiques de changement social et de se positionner par rapport à celles-ci. Comment s’articulent ces dynamiques ? De quel changement parle-t-on ? Quelles stratégies d’actions mobiliser ? Quel rôle pouvons-nous jouer, ici et maintenant, pour un monde socialement plus juste et écologiquement soutenable ? Comment aborder tout cela avec nos publics ? Quelle posture politico-pédagogique adopter ?…

JOUR 1 : Jeu de la ficelle – Dans quel monde vivons-nous ?

Un jeu interactif qui permet de représenter les liens, implications et impacts de nos choix de consommation. Il offre un éclairage sur les relations entre le contenu de notre assiette et diverses problématiques comme la qualité de l’eau, la dette extérieure d’un pays du « Sud », la malnutrition, le réchauffement climatique ou les conditions de travail d’un ouvrier au Costa Rica. Le jeu révèle des liens indissociables entre les sphères économique, sociale, environnementale et politique de notre société. Il souligne également l’interdépendance entre les différentes populations de la planète face au phénomène de la globalisation et du tout-au-marché.

Objectifs

– (re)Découvrir et vivre l’animation complète du Jeu de la ficelle ;
– Mieux comprendre les enjeux de la mondialisation, les crises actuelles et les liens avec le modèle néolibéral ;
– Construire un regard critique sur la société de consommation et ses impacts sur la planète et ses habitant·e·s ;
– Mieux comprendre les enjeux d’une nécessaire transition de notre modèle de société actuelle ;

 

JOUR 2 : Potentia – La puissance de l’agir collectif !

Expérimenter l’agir collectif à travers un jeu de plateaux intense et ludique ! Membre d’un GASAP, d’un groupe de faucheuse.eur.s d’OGM, d’une épicerie coopérative, d’une Ecoteam dans une école… Endossez votre « rôle », relevez les différents défis et découvrez les enjeux liés à votre initiative citoyenne ! Quelle sera votre stratégie ? Avec qui allez-vous vous mettre en réseau ? Aurez-vous un impact au niveau local ou global ?… Avec POTENTIA, redonnons une place aux « alternatives », pour les questionner, se les approprier, les confronter à la réalité et les unes-aux autres. Prenons un vrai moment d’animation pour leur consacrer du temps dans nos processus politico-pédagogiques !

Objectifs

– Ouvrir des perspectives d’actions alternatives au modèle actuel, tant au niveau individuel que collectif ;
– Se (ré)enthousiasmer par rapport au potentiel de transformation et d’émancipation de l’engagement ;
– Découvrir la diversité des initiatives de transition : niveaux, sphères et stratégies d’action, mode d’organisation, liens avec LE et/ou LA politique, complémentarité, légitimité…
– Questionner le lien entre transformation intérieure et transformation sociétale ;

 

JOUR 3 : Posture de l’animateur-trice

Éducation « populaire », « permanente », « à la citoyenneté mondiale et solidaire », « relative à l’environnement »… Nos approches pédagogiques peuvent-elles être séparées des diagnostics politiques que nous posons ? Quels buts poursuivons-nous avec nos processus pédagogiques ? Rendre nos publics plus solidaires vis-à-vis d’enjeux mondiaux ou les renforcer en tant que citoyennes et citoyens dans leur « puissance d’agir » (Potentia) afin qu’ils/elles modifient « LE » politique, participent à la transformation de nos sociétés ? Lors de cette troisième journée nous pourrons partager nos points de vue et expériences sur ces implications et questions face auxquelles il n’est pas toujours évident de se positionner en tant qu’animateur-trice-s,…

Objectifs

– Questionner son rôle d’animateur-trice, formateur-trice,… : Comment incarner son propos et être en cohérence (en assumant ses incohérences !) avec ses contenus ?
– Réfléchir à son positionnement politique (animateur-trice et/ou militant-e,…) ;
– Questionner les implications de mobiliser des outils pédagogiques « politisés » ;
– Redéfinir le sens et les finalités de nos processus pédagogique ;
– Mieux s’approprier l’approche systémique comme méthode de réflexion et d’action
Méthodologie : démarche interactive, échanges et apports structurants des formateur-trice-s.

 

Pourquoi l’alimentation comme fil rouge ?
UN LEVIER DE TRANSITION ACCESSIBLE À TOUTES ET TOUS

Parmi tous les défis qui se posent aujourd’hui, l’alimentation représente un excellent terrain de mobilisation et d’engagement, tout simplement parce qu’elle concerne tout le monde. La liste des initiatives citoyennes alternatives entreprises dans ce domaine est longue et ne fait que s’allonger d’années en années. Le passage de l’individuel au collectif et du collectif au·x réseau·x se fait à une vitesse impressionnante. De plus en plus de ces initiatives transversales font le lien entre l’alimentation et d’autres enjeux tels que l’énergie, la mobilité, le travail, la biodiversité, la santé, l’habitat, etc.

 

Envie d'en savoir plus ou de connaitre les prochaines dates, rendez-vous sur : http://rencontredescontinents.be/Contacts.html 
Formations / Acc

Activités et stages de l'asbl Tournesol autour de la culture durable

Que ce soit pour mettre les mains dans la terre, découvrir les plantes de chez nous, en apprendre plus sur notre belle nature ou (re)découvrir certains savoirs-faire, vous trouverez certainement de quoi vous satisfaire chez Tournesol-Zonnebloem.

Notre programme est établi en fonction des saisons et de nouvelles activités sont régulièrement proposées. Consultez notre programmation ou inscrivez-vous à notre newsletter pour être tenu(e) au courant dès planifications de nouvelles activités. 

 

Activités proposées

 

Au Centre Régional d'Initiation à l'Écologie

Adultes

Cours découverte de la nature :

Familles

Visites, balades et observations :

Enfants

À la Ferme d'Uccle

Adultes

Jardinage et biodiversité :

Savoir-faire :

Familles

Visites & balades :

Enfants

Formations / Acc

éCLOSion - Potager Collectif Clos de la Forêt

Habitants d’un joli clos en bordure de Forêt de Soignes, nous souhaitons nous engager dans un projet commun visant à verdir l'espace actuellement inutilisé au centre du clos.

Nous souhaiterions revenir à l'essentiel à travers un potager collectif, créé et géré par petits et grands, et axé sur la culture de variétés locales en partenariat avec la grainothèque récemment créée au Centre Communautaire de Joli Bois.

Nous voulons également créer un espace vert et convivial (plantes favorables à la biodiversité, remplacement d’arbustes exotiques non favorables à la biodiversité, hôtel à insectes,  bacs en matériau recyclé de la marque belge ECO-oh, etc) et créer un compost collectif.

Nous avons pour objectif d’aménager l’espace dès début 2020, puis semer et planter au printemps. 

Projets inspirants

Fristouille

Fristouille est une structure d’indépendants qui accompagne tant les professionnels que les citoyens, mouvements et associations dans leurs projets d’éducation, d’idéation et de développement commercial autour de l'alimentation durable

Mission

Notre mission est de faciliter la transition vers une alimentation plus durable et respectueuse de l'environnement.

Activités

Fristouille a débuté avec la création d’un site internet de recettes durables (www.fristouille.org) et au fil du temps, a élargi ses activités. Nous sommes désormais 3 indépendants et fournissons les services suivants:

  1. Création de recettes durables
  2. Animations d’ateliers culinaires durables pour associations, écoles, mouvements de jeunesse, collectifs de citoyens
  3. Formations à l’alimentation durable
  4. Création de matériel pédagogique
  5. Idéation et création de produits ou services culinaires durables
  6. Stratégie de croissance de projets en alimentation durable
  7. Accompagnement, coaching et gestion du changement

Quelques projets que nous avons mené:

  • Animations culinaires “Pour plus de veggie et moins de gaspi” pour Bruxelles Environnement dans les écoles primaires et secondaires bruxelloises
  • Formation d’intendants de mouvements de jeunesse à l’alimentation durable dans le cadre de camps zéro déchet en partenariat avec Les Scouts, Les Guides Catholiques de Belgique, Les Scouts et Guides Pluralistes, Le Patro, Zero Waste Belgium et Terroirist
  • Création de “mix repas” pour Lili Bulk (Dhalicious, Burger Fever, Rebel Falafel, Thai’mtodine, Orzotto, Serious Couscous, Proteinburger) et lancement commercial
  • Création de fiches “Recettes de base” pour Bruxelles Environnement
  • Création de recettes pour recettes4saisons.brussels
Illustration
Catégorie
Public cible
Langues
Français
Adresse

Belgique

Téléphone
+32 498 68 69 46
Email
nicolas@fristouille.org
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Structure d'indépendants

FoodWIN: contre le gaspillage alimentaire!

Agissez contre le gaspillage alimentaire et réduisez ainsi votre empreinte écologique ! De plus, vous économiserez beaucoup d'argent, car jeter de la nourriture, c'est jeter de l'argent.

FoodWIN aide les autorités et organisations locales à gaspiller moins de nourriture. Nous offrons l'expertise et les outils, et ensemble nous cherchons la bonne solution.

  • Gouvernements locaux : en collaboration avec les villes et les acteurs locaux, nous co-créons un plan d'action contre le gaspillage alimentaire.
  • Grandes cuisines des écoles, hôpitaux, maisons de retraite, entreprises... : nous vous aidons à mesurer les déchets alimentaires, et ensemble nous cherchons des solutions sur mesure. Une mesure d'impact vous montre les économies.
  • Organisations et entreprises : un teambuilding ou atelier contre le gaspillage alimentaire, un cours de cuisine, un keynote, ... contactez-nous pour une solution sur mesure!
  • Entreprises de traitement et supermarchés : pour la redistribution ou le traitement des excédents - contactez le Food Waste Alliance, www.foodwastealliance.be !

À propos de FoodWIN : Les gens sont au cœur de toutes nos stratégies de gestion des déchets alimentaires. Nous prenons tout le monde à bord et garantissons que vous passerez un bon moment. FoodWIN a collaboré avec divers acteurs de la chaîne alimentaire, tels que les gouvernements locaux, les écoles, les établissements de santé, les entreprises alimentaires... et bien plus encore. FoodWIN est reconnu par la Commission européenne en tant qu'expert de la plateforme de l'UE pour les pertes et le gaspillage alimentaires.

Illustration
Langues
Français
Néerlandais
Adresse

Rue Dieudonné Lefèvre 17
1020 Laeken
Belgique

Téléphone
+32477186417
Email
hanne@foodwin.org

Comment planter un arbre fruitier ?

Planter un arbre, ça ne se fait qu’une seule fois ! Alors autant faire les choses selon les règles. Plantez au bon moment. Veillez à donner suffisamment de place à votre protégé. N’oubliez pas de le soigner correctement par la suite.

Le bon moment

Un arbre fruitier peut se planter de novembre à fin mars, pendant la période de repos. Le moment idéal est le mois de novembre, après la chute des feuilles. Les pêchers et les abricotiers font exception à cette règle. Ces arbres doivent être plantés en mars car les sujets jeunes sont sensibles au gel. Pour la plantation, il est bon de choisir un jour calme et nuageux. Évitez les périodes de gel et ne plantez jamais après plusieurs journées de pluies incessantes, quand la terre est gorgée d’eau.

De combien d’espace ont-ils besoin ?

Veillez à une distance de plantation suffisante. Cela n’a absolument aucun sens de planter un arbre fruitier qui ne disposera pas de l’espace nécessaire lorsqu’il sera devenu adulte. Un arbre qu’il faut contenir par des tailles annuelles ne sera pas heureux et ne produira pas beaucoup de fruits. Notez que les distances de plantation varient selon le type d’arbre fruitier. Un noyer haute-tige dépassera quinze mètres de diamètre, alors qu’un pêcher haute-tige ne dépassera pas huit mètres.

  Haute-tige Demi-tige Basse-tige Espalier Haie fruitière Fuseau
Distance de plantation/diamètre 8 à 12 m 5 à 8 m 2 à 4 m 0,4 à 2 m 0,5 à 1 m 0,3 à 0,4 m

Veillez aux bonnes relations de voisinage

Pour la plantation d’arbres et de buissons dans un jardin, le respect d’un certain nombre de prescriptions légales s’impose. À moins que vous n’ayez un accord particulier avec votre voisin, vous ne pouvez pas planter d’arbre à une distance inférieure à deux mètres de la limite de la propriété. Pour les buissons, cette distance minimale est de cinquante centimètres. Si vous plantez une haie avec votre voisin sur la limite de la propriété ou s’il est d’accord que vous plantiez un arbre à moins de deux mètres de la limite, prenez la précaution de mettre cet accord par écrit. Cela évitera toute discussion ultérieure. Même si vous respectez les distances légales, il est de bon commerce d’en parler à vos voisins.

Creuser le trou

Au moment de la plantation, il faut creuser un trou suffisamment grand pour accueillir les racines de l’arbre. Soit un trou d’environ 50 x 50 x 50 centimètres. À l’aide d’une bêche, vous vérifierez, sur une profondeur d’à peu près 70 cm, la présence d’une couche de pierres ou de terre plus compacte. Le cas échéant, il s’agira d’enlever les premières ou de percer la seconde avec une fourche à bêcher. Si vous plantez un arbre basse-tige dans un sol argileux ou sablonneux, veillez à mélanger deux seaux de compost à la terre retirée du trou.

Un jeune arbre a besoin de soutien

Placez un tuteur dans le trou de plantation avant d’y installer votre arbre, afin d’éviter d’endommager les racines. Enfoncez le piquet à environ dix centimètres de l’arbre, du côté des vents dominants (généralement à l’ouest). De cette façon le vent écartera l’arbre du tuteur ce qui limitera les risques de blessures. Enfoncez le piquet solidement dans le sol. Pour les arbres  hautes-tiges et demi-tiges, vous pouvez enlever le tuteur après trois ou quatre ans. Les basses-tiges ont besoin d’être soutenus tout au long de leur existence. Dès lors, ne leur enlevez jamais leur tuteur.

La plantation

Sitôt le piquet enfoncé, vous couperez au besoin les racines du plant qui auront été abimées lors de l’arrachage. Répartissez les racines restantes sur la surface au fond du trou. Veillez à planter votre sujet légèrement plus haut que souhaité, car la terre, en se tassant, entrainera l’arbre de quelques centimètres. Juste au-dessus du départ des racines vous remarquerez un bourrelet sur le tronc (le point de greffe). Il est important que ce bourrelet ne soit jamais placé sous la surface du sol, car vous obtiendriez un arbre tout à fait différent de celui que vous avez acheté ! En comblant le trou de plantation, pensez à secouer doucement votre arbre de haut en bas afin que la terre pénètre bien entre les racines. Quand le trou sera comblé, tassez légèrement la terre avec votre pied. Veillez à faire ceci avant d’arroser.

Vous avez bientôt terminé !

Pour parachever l’ouvrage, il ne vous reste plus qu’à lier votre arbre au tuteur à l’aide d’un lien de tuteurage. À cet effet, optez pour une bande élastique de bonne largeur. Posez la bande en huit, c’est-à-dire en la croisant entre le tronc et le tuteur, pour éviter le frottement entre l’arbre et son support. Veillez aussi à ne pas trop serrer afin que le lien ne s’incruste pas dans l’écorce. Pour terminer la plantation, donnez un demi à un seau d’eau environ.

N’oubliez pas d’indiquer le nom de la variété ainsi que les renseignements concernant le porte-greffe.

Documentation

Comment tailler les arbres fruitiers en hiver ?

La taille d’hiver stimule la croissance de l’arbre. Du fait de la montée de la sève, les branches raccourcies vont recevoir un flux d’éléments nutritifs qui favoriseront la croissance et la ramification. C’est pourquoi la taille d’hiver est particulièrement profitable aux sujets jeunes, car elle favorisera le développement d’une ramure vigoureuse, promesse de récoltes futures abondantes. La taille des basses-, demi- et hautes-tiges est expliquée plus loin. Les arbres adultes et vieux se taillent de préférence en été.

Un arbre fruitier avec une ramure vigoureuse

Pour doter un arbre fruitier d’une ramure robuste, il faut choisir les branches charpentières les mieux disposées. Pour favoriser la croissance et la vigueur de ces dernières, il convient de les raccourcir chaque année. C’est ce qu’on appelle la taille de formation. L’idéal est de travailler avec trois à cinq branches charpentières robustes et saines. Voici la manière de procéder.

Taille de formation la première année

  • Choisir trois à cinq branches bien implantées, avec un écartement optimal et régulier, de telle manière qu’elles ne viennent à se croiser ou se frotter l’une contre l’autre. L’idéal serait qu’elles soient disposées à un angle de 45 à 60 degrés par rapport à la tige centrale ou le tronc. Il faut donc éviter de choisir des branches trop à l’horizontale ou à la verticale.
  • Une fois choisies, les branches seront raccourcies d’environ un tiers, juste au-dessus d’un œil pointé vers l’extérieur. Au printemps, ce dernier va croître vers l’extérieur et ainsi élargir la couronne de l’arbre.
  • Les branches mal placées seront supprimées. Afin d’éviter d’abimer l’arbre, il est prudent de ne pas couper trop à ras !

Taille de formation les années suivantes

  • Raccourcir de nouveau les branches charpentières d’un tiers, juste au-dessus d’un oeil pointé vers l’extérieur.
  • Toutes les branches secondaires trop verticales, celles qui poussent vers l’intérieur de la couronne ainsi que celles en concurrence avec les charpentières doivent être supprimées.
  • Si l’arbre présente une branche centrale (c.-à-d. en prolongement du tronc), il est possible, après un certain temps, de former une deuxième couronne au-dessus de la première. Dans ce cas, il faut veiller à conserver une distance suffisante par rapport à la première couronne. Pour un basse-tige, il faudra prévoir environ 40 à 60 cm ; pour un haute-tige, 100 à 120 cm.

Quand peut-on tailler ?

Pour les poiriers et les pommiers, la taille hivernale peut s’effectuer de janvier à la mi-mars, avant le débourrement. Pour les pruniers, cerisiers et pêchers, il est préférable d’attendre le plus longtemps possible afin d’éviter la contamination par le parasite de la maladie du plomb (Chondrostereum purpureum). Par conséquent, il est préférable de tailler les jeunes cerisiers et pruniers en mars, juste avant le débourrement. En revanche, il faut absolument éviter de tailler les noyers en hiver car le flux de sève provoque un « saignement » trop important.

Documentation

Inventaire et analyse des données existantes en matière de demande alimentaire à Bruxelles

Etude, Bruxelles Environnement, 2015, 41 pages

Cette étude recense les sources disponibles et synthétise les éléments d’information existants sur la demande alimentaire des particuliers dans la capitale. En effet, afin de développer une offre alimentaire durable qui corresponde aux attentes du marché (de la demande), il est indispensable de connaitre les besoins actuels et futurs de celui-ci.

Objectifs

Cette recherche visait à réaliser un inventaire, puis une analyse des données existantes en matière de demande alimentaire à l’échelle de la Région de Bruxelles-Capitale.

La compilation de ces sources répond à un triple objectif :

  • Identifier la situation actuelle ainsi que les freins et leviers vers une alimentation durable.
  • Répondre aux questions suivantes : Comment orienter l’offre ? Quelles perspectives de développement d’une offre en alimentation durable pour répondre à la demande ?
  • Sélectionner un set d’indicateurs de suivi.

Résumé

Un premier inventaire des sources de données disponibles a d’abord été réalisé. Sur base de cet inventaire, 4 thématiques clés ont été identifiées, ainsi qu’une thématique transversale. Les quatre thématiques autour desquelles se structurent les questions de l’étude sont les suivantes :

  • Profil et habitudes alimentaires
  • Etat de la consommation et perceptions des produits dits durables
  • Satisfaction des ménages par rapport à l’offre alimentaire
  • Tendances évolutives

La thématique transversale s’attache à l’identification des freins et des leviers pour transiter vers une alimentation durable.

Afin de cadrer les thématiques, un groupe de travail a ensuite été mis en place. Suite au travail de groupe, les thématiques identifiées ont pu être structurées autour de différentes questions clés.

Sur base d’un ensemble de sources bibliographiques et de rencontres en face à face avec les acteurs de l’alimentation sur le territoire de la RBC, l’étude dresse une synthèse des réponses aux questions identifiées.

L’analyse de ces informations permet de dégager des informations manquantes pour compléter les réponses aux questions, mais également des perspectives de développement de l’alimentation durable sur le territoire de la RBC.

Résultats

L’étude conclut que la photographie de la demande alimentaire n’est que partielle et imprécise, et ce pour plusieurs raisons : les données sont peu actualisées, les informations disponibles sont essentiellement qualitatives, il manque une cohérence d’ensemble entre les différentes études. Le rapport apporte une série de recommandations sur les éléments complémentaires à collecter, indispensables pour composer une image plus fine et fiable.

La synthèse réalisée apporte toutefois des éléments d’information intéressants. Quelques extraits à titre d’exemples :

  • Il n’y a pas de tendance nette dans l’évolution de la part du budget des ménages consacrée aux différentes catégories de produits, excepté pour la viande, où la tendance est à la baisse depuis l’année 2000 ;
  • Le temps consacré à la préparation et la prise des repas est inférieur à 30 minutes pour la majorité des Belges ;
  • Le critère « qualité » est souvent cité comme un critère de choix important lors des achats alimentaires ;
  • Lorsqu’il y a proposition, les critères « frais » et « de saison » primeraient par rapport aux critères « circuit court » et « respectueux de l’environnement »
  • Les fruits, légumes et produits biologiques sont les produits les plus recherchés dans le cadre de l’approvisionnement en circuit court ;
  • 92% des Bruxellois interrogés connaissent le principe du jeudi veggie ;
  • Les consommateurs sont peu satisfaits de l’offre alimentaire en général ;
  • etc.
Etudes

Beef TAKE

Beef TAKE est une jeune entreprise bruxelloise dont l’objectif est de reconnecter le mangeur (le client qui achète et qui apprécie la viande) et l’éleveur wallon.

C’est un lien que nous faisons pour permettre au bruxellois de consommer de la viande de qualité, locale, de manière raisonnable tout en respectant le bien-être animal.

Notre but est simple, faire redécouvrir le plaisir d’une bonne viande de qualité et organiser la rencontre entre l’éleveur et le mangeur.

Nous avons une application où il est possible de se géolocaliser et voir où se trouve l’éleveur le plus proche et ainsi commander son colis de viande en direct.

 

Chaque mois, des événements de rencontre sont organisés dans la région de Bruxelles-Capitale pour que les mangeurs puissent passer un moment privilégié avec l’éleveur et ainsi se reconnecter de la réalité biaisée à propos de la mauvaise information autour de la viande.

Cela permet de se distinguer de la viande issue de l’industrie, contre la viande issue du savoir-faire de nos éleveurs.

Les mangeurs ont la possibilité de rencontrer l’éleveur sur place, en allant chercher son colis et de s’informer au maximum sur la viande, l’élevage, ses pratiques, ses complexités et sa diversité.

Matériel