NAO - # 4640 - Engagement

J’atteste sur l’honneur avoir complété cette fiche d’engagement de manière exacte, complète et véridique, et je m’engage à continuer à respecter ces critères dans le futur
Activé
Le transformateur se fournit auprès d'au moins 3 producteurs/transformateurs inscrits dans le bottin Good Food et/ou qui travaillent en coopérative.
Désactivé
Le transformateur se fournit auprès d'au moins 5 producteurs/transformateurs inscrits dans le bottin Good Food et/ou qui travaillent en coopérative.
Désactivé
Le transformateur ne propose que des œufs de catégorie 0 (bio) ou 1 (plein air) ou sous forme de Tetrapak bio.
Désactivé
Le transformateur ne propose que de la viande labellisée : bio, Belbeef, Label Rouge, Beter Leven, IGP, AOP, STG, Prix Juste Producteur, PQA.
Désactivé
Le transformateur ne propose que des poissons figurant sur les listes verte et jaune du guide du WWF sur les produits de la mer (la liste rouge n'est pas utilisée).
Désactivé
Le transformateur ne propose que des produits de mer ou d'eau douce labellisés : ASC, MSC, Friends of the Sea, Visserij Verduurzaamt.
Désactivé
Le transformateur ne propose que des boissons biologiques et/ou issues du commerce équitable et/ou bruxelloises et/ou artisanales.
Désactivé
Le transformateur utilise une plateforme de distribution d’invendus pour vendre son surplus de production à prix réduit.
Désactivé
Le transformateur collabore avec un acteur de l'aide alimentaire à qui il donne régulièrement son surplus de production.
Désactivé
Le transformateur respecte tous les critères ci-dessous:
Activé
  • Respect de la législation (AFSCA, tri des déchets, etc.).
  • L'usine de transformation est
    - Soit située sur le territoire de la Région de Bruxelles-Capitale et le transformateur vend ou livre à Bruxelles ;
    - soit située en Belgique et prête à vendre ou à livrer à Bruxelles.
  • Matière première préférée :
    - Les fruits et légumes belges et de saison. : 60% des fruits et légumes frais transformés sont des produits de saison belges (moyenne sur l'année, calculée sur base du nombre de références) ;
    - des produits agricoles frais de la plus haute qualité, des produits certifiés biologiques ou des produits fabriqués selon l'engagement Good Food pour les producteurs. Chaque produit fini est composé d'1/3 de produits certifiés biologiques (calculé sur le poids du produit fini).
  • À éviter :
    - Les additifs susceptibles de dénaturer le produit, tels que les arômes artificiels, les exhausteurs de goût ou les édulcorants.
    - Les graisses hydrogénées 
    - L'application de radiations ionisantes pour conserver les produits. 
  • Préférer les ferments et levures naturels aux alternatives chimiques.
Autres
Désactivé
Le transformateur travaille en circuit court : il y a au maximum 1 intermédiaire entre le producteur et le consommateur.
Activé
Le transformateur réintègre le surplus et les invendus dans sa production.
Activé

La cense de Léandine / Christophe Hugo - # 4638 - Engagement

J’atteste sur l’honneur avoir complété cette fiche d’engagement de manière exacte, complète et véridique, et je m’engage à continuer à respecter ces critères dans le futur
Activé
Le producteur animal respecte tous les critères ci-dessous:
Activé
  • Respect de la législation (AFSCA, tri des déchets, etc.).
  • L'exploitation du producteur est implanté soit :
    - Sur le territoire de la Région de Bruxelles-Capitale et livre à Bruxelles ;
    - En Belgique et livre à Bruxelles
  • Assurer une production liée au sol et de plein air.
  • Nourrir les animaux avec des aliments principalement spécifiques à l'exploitation, complétés par des aliments locaux (belges/européens).
  • Ne pas utiliser d'OGM ni d'intrants chimiques, exceptions autorisées comme dans le cadre du cahier des charges du mode de production biologique.
  • Favoriser la reproduction naturelle.
  • Limiter au strict minimum les mutilations (écornage, …).
  • Limiter au maximum les traitements contre les maladies et utiliser des traitements respectueux de l'environnement, la santé des animaux est basée sur la prévention.
  • Préserver et améliorer le capital sol, air, eau et biodiversités des écosystèmes.
Nourrir les animaux avec des aliments biologiques.
Activé
Les jeunes mammifères reçoivent principalement du lait maternel.
Activé
Choisir des souches et des races adaptées à l'environnement local, en privilégiant les espèces rustiques et indigènes.
Activé
Le producteur travaille en circuit court : il y a au maximum 1 intermédiaire entre le producteur et le consommateur.
Activé
La production excédentaire est basée sur la cascade de la préservation de la valeur avec une réutilisation maximale pour l'usage humain, mais aussi avec une attention à la réutilisation des flux résiduels dans l'exploitation.
Activé
Certifications
Label bio

Élever des poules en ville

Rêvons Messidor, Odette Bienfait & Collectif ipé

Le groupe porteur du poulailler du quartier durable Rêvons Messidor, Odette Bienfait, experte de l’élevage de volailles, et le Collectif ipé, chargé par Bruxelles Environnement de la mise en réseau des projets citoyens Good Food en Région de Bruxelles-Capitale, vous invitent pour l’atelier « Élever des poules en ville », le samedi 26 septembre 2020.

Élever des poules permet évidemment d’avoir des œufs frais, dont vous connaissez la provenance, mais ça apporte d’autres avantages. Les poules contribuent au recyclage de vos restes de table, de légumes et de fruits ; parfaites auxiliaires du jardinier, elles aident à éliminer les limaces et pucerons et vous fournissent un engrais naturel pour vos plantes.

Envie d’essayer ? Cet atelier vous montrera que l’élevage de poules en ville est possible et accessible à tous.

Concrètement...

  • 14h00 – 14h30 : Accueil
  • 14h30 – 15h00 : Présentation du Poulailler de la Cité Messidor, par le groupe porteur du projet
  • 15h00 – 17h00 : Atelier : intervention de Odette Bienfait suivie d’échanges avec les participants
  • 17h00 – 18h00 : Apéro convivial et d’inauguration du poulailler : « auberge espagnole », chacun amène des petites choses à grignoter - pourquoi pas des recettes à base d’œufs ?

Adresse : La Plaine d'Anjou, dans la Cité Messidor à UCCLE. La "plaine d'Anjou" se situe en intérieur de l'îlot délimité par l'avenue du Jonc, la Drève de Touraine et la Drève d'Anjou. Accès entre le n° 23 et le n° 25 de l'avenue du Jonc et le n° 11 et 13 de la Drève d'Anjou.

Transports en commun : Arrêt DECROLY (descendre l'Avenue du Jonc) ; Train gare d'UCCLE STALLE (remonter la Rue du Bambou jusqu'à l'Avenue du Jonc) ; Tram 82 arrêt MAX WALLER (remonter l'avenue Général Dumonceau jusqu'à la Drève d'Anjou).

Le port du masque sera souhaité ou obligatoire ainsi que le respect de la distanciation sociale en fonction des règles qui seront d’application à cette date ! Des gels désinfectants seront à disposition des participants.

La participation à cet événement est gratuite mais le nombre des participants est limité. Pour une bonne organisation, pourriez-vous nous confirmer votre participation au chantier au plus tard le 24 septembre, par un mail à citizensprojects@goodfood.brussels ou sur la boîte vocale du 02 376 32 09 (Bernadette GAUTIER). Merci !

Au grand plaisir de vous rencontrer ou de vous revoir à cette occasion !

 

2020-09-26T14:00:002020-09-26T18:00:00

Avenue du Jonc 23
1180 Uccle
Belgique

Citoyens

GOOD FOOD pour tous et toutes

Bien manger est un plaisir. Mais est-il accessible à tous et à toutes ? La question de l’accessibilité de l’alimentation durable fait l’objet d’une vaste réflexion.

« La Good food au-delà des sentiers bobos ». C’est sous ce titre sans détour que l’Université Populaire d’Anderlecht, soutenue par Bruxelles-Environnement, a entamé une vaste réflexion, en mars dernier, autour « des préjugés et de l’accessibilité du bien manger en milieu populaire ». Il n’y a pas que le coût, mais aussi l’accès symbolique, culturel ou géographique qui constituent des freins à l’accessibilité de l’alimentation durable. 

Dans le prolongement de cette journée thématique, l’Université Populaire d’Anderlecht consacre un  double numéro de sa revue « La Mauvaise Herbe » à l’alimentation durable. Mêlant les analyses académiques aux retours de terrain (aide alimentaire, éducation permanente, projets citoyens), le dossier interroge les conditions d’éclosion d’un modèle de production et de distribution alimentaires, à la fois susceptible de relever les défis environnementaux, et réellement conçu pour satisfaire les besoins de tou·te·s.

Découvrez l’édito du numéro ici.

Ce dossier vous intéresse ? Nous vous invitons à le commander la version PDF (4€) via ce lien.

Recettes visuelles et accessibles à tou.te.s!

Cuisiner avec ce que l’on a devant soi, c’est parfois un sacré défi. Surtout quand les ingrédients ne nous sont pas familiers. Un guide tout en images propose des recettes simples et saines pour découvrir de nouvelles saveurs.

Le livre de recettes « La cuisine Libellule. Popote tou.te.s ensemble » est issu d’un atelier cuisine organisé par le CPAS d’Etterbeek, avec le soutien de Bruxelles-Environnement. Il répond à un constat réalisé par les responsables de l’épicerie sociale de la commune : certains fruits et légumes de saison ou certains produits issus de l’aide alimentaire sont parfois délaissés. Il s’agit pourtant de produits sains, qui entrent parfaitement dans une alimentation de qualité.

Les avantages du « fait maison »

Ces recettes visent donc à lutter contre le gaspillage en proposant des manières simples d’accomoder les aliments : faire une confiture avec les fruits très murs, farcir les légumes avec des sardines ou des maquereaux mélangés à du fromage frais, préparer les chicons en gratin pour en diminuer l’amertume, etc. Toutes les recettes sont faciles à réaliser, avec peu de matériel et des denrées que l’on trouve facilement. Surtout, le guide invite à faire preuve de créativité et à tester les recettes avec d’autres ingrédients! Le plus important, c’est de se lancer. Car le « fait maison », c’est souvent meilleur pour la santé et pour l’environnement que les plats préparés.

Comme le public qui fréquente les épiceries sociales est très multiculturel, les recettes sont entièrement dessinées et expliquées pas à pas. Les pommes au four « à la belge » ou la « salade de chou rouge au sarrasin » deviennent ainsi accessibles à tou.te.s !

Téléchargez le livre de recettes imagé ici.

Notre portail Good Food fait peau neuve

Depuis la mi-septembre, votre site Good Food préféré est complètement relooké ! L’objectif ? Permettre d’accéder au portail plus aisément, aussi bien depuis votre smartphone que sur un ordinateur. Le portail répond également désormais aux normes d’accessibilité !

Au-delà d’un relooking visuel général, la nouvelle version du portail met plus en avant certaines sections importantes telles que le « BOTTIN » sur lequel vous pouvez retrouver les producteurs, les commerces, les cantines et les restaurants Good Food et la section « RESSOURCES » pour faire le plein d’inspiration. Parmi les nouveautés, vous trouverez une section « PASSER A L’ACTION » complètement reliftée, qui épingle les ressources immanquables pour vous accompagner dans votre passage à l’action, une section « NEWS » pour découvrir l’actualité Good Food, et un « AGENDA » pour ne manquer aucun rendez-vous Good Food.

Un portail à (re)découvrir sans modération !

Patience et persévérance

Vers la fin de l’été, la nature est encore généreuse. Le potager continue de nous régaler de ses beaux légumes. Mais il arrive aussi que les limaces et autres « nuisibles » se servent avant nous ! Ne nous décourageons pas : il y a encore moyen d’agir et de préparer de belles récoltes pour l’année prochaine.

La nature met parfois les nerfs des jardiniers à rude épreuve. Que vous fassiez pousser trois radis sur votre balcon ou dix rangées de laitue dans votre jardin, vous redoutez probablement les mêmes envahisseurs : les limaces, pucerons ou chenilles. Qui n’a jamais été découragé de voir ses belles pousses rongées par ces « nuisibles » ? Que faire pour s’en débarrasser sans produits phytosanitaires, dangereux pour notre santé et pour l’environnement ? Avec quelques « trucs » assez simples, il est possible de rééquilibrer l’écosystème environnant et de cohabiter sereinement avec ces petites bêtes – qui y ont aussi un rôle à jouer.

A la fin de l’été, les limaces se jettent souvent sur les jeunes plantes de notre potager, surtout après une période de sècheresse qui limite le développement des champignons. Que faire ?

  • Laisser traîner un tas de bois pour favoriser la prolifération de champignons et l’apparition de prédateurs de limaces comme les hérissons ou les carabes (coléoptères) ;
  • Planter à l’intérieur ou dans un espace protégé ou surélevé et ne déplacer les plantules à l’extérieur que quand elles sont suffisamment robustes ;
  • Sur un balcon, entourer les plantes d’un fil de cuivre sur lequel les limaces n’auront pas envie de s’aventurer ;
  • Planter quelques choux à proximité du potager pour rassasier les limaces (qui en raffolent) et protéger le reste de nos plantations.

Avec un peu de patience et d’expérience, vous devriez arriver à créer un écosystème plus favorable à votre potager. La variété de fleurs et de plantes favorisera cet équilibre.

Remèdes et décoctions

Pour dissuader les pucerons de se jeter sur vos plantations, il y a aussi des remèdes maison, comme l’arrosage local avec une solution sucrée.

Vous pouvez aussi renforcer vos plantes et lutter contre les attaques de pucerons avec des décoctions d’orties, facile à réaliser soi-même : laissez macérer 100 grammes d’orties une nuit dans 1 litre d’eau, portez à ébulition, laissez refroidir, filtrez et ajoutez un peu de savon doux.

Plus d’infos et conseils pratiques pour lutter contre les nuisibles : fiche potager.

Récolter les graines

La fin de l’été, c’est aussi le moment de penser à vos futures plantations. Vous pouvez récolter vos propres graines, les échanger avec d’autres jardiniers ou les resemer l’année prochaine. L’occasion de faire des économies tout en préservant la biodiversité !

Comment faire ?

  • Laissez, par exemple, fleurir un beau plant de laitue ou de basilic pour ensuite en récolter les graines.
  • Faites-les sécher et conservez-les dans un sac en papier, à l’abri de la lumière. 
  • Si vous avez de belles courgettes, laissez-en sécher une dans un endroit sec et aéré, jusqu’à ce qu’elle perde toute sa souplesse. C’est alors le moment de la casser pour en récolter les graines ! Attention, évitez de réutiliser les graines de plantes hybrides (appelées « F1 »), issues du croisement de deux plantes « parents». Les qualités des plantes ne se retrouveront pas à la génération suivante. 

Encore de belles récoltes

La période estivale touche à sa fin, les gros travaux au potager sont terminés mais l’automne annonce encore de belles récoltes! (Fiche potager : la conservation des récoltes)

Parmi les légumes qui vous ont été offerts dans le kit de graines 2020 de Bruxelles-Environnement, vous allez encore pouvoir profiter des mois à venir : récolte de bettes (jusqu’en novembre !), des laitues à couper (jusqu’à la fin octobre) et les concombres Marketmore (jusqu’en octobre). Régalez-vous !