Feedtruck Belgium

Feedtruck offre des repas aux sans-abris, un projet inspirant dans son originalité et son humanité

  • Une alimentation saine pour les sans-abris

Le gaspillage alimentaire est important à Bruxelles alors que certaines personnes, dont les sans-abris, ne mangent souvent pas à leur faim et n’ont pas accès une alimentation équilibrée. De plus, les sans-abris souffrent quotidiennement de solitude et de rejet. Face à ce constat, cinq jeunes bruxellois décident de récolter des invendus alimentaires, de les transformer en repas de qualité et de les offrir aux sans-abris tout en animant la soirée pour créer du lien social. Ils importent ainsi un concept développé au Brésil par l’association Make Them Smile et l’agence Africa pour créer le projet Feedtruck Belgium.

  • Nourrir le corps… et l’âme

Concrètement, comme son nom le laisse entendre, Feedtruck Belgium dispose d’une camionnette qui est équipée du matériel nécessaire pour réchauffer et distribuer des repas. Deux fois par mois, une équipe de feedtruckers (6 à 8 bénévoles) récupère des invendus alimentaires en collaboration avec différents partenaires et les transforme en repas de qualité qui sont ensuite acheminés en camionnette vers le siège de l’ASBL Pierre d’Angle ou celui de l’ASBL Douche Flux, deux centres partenaires accueillant des sans-abris.

Le repas étant bien plus qu’une occasion de se nourrir, les feedtruckers s’efforcent de créer un climat favorable au partage et d’apporter un peu de chaleur humaine. Ils proposent également une animation de la soirée en collaboration avec un chanteur, un musicien, un magicien… pour faire de ces repas des moments de convivialité.

Ce sont ces spécificités (récupération des invendus, cuisine de qualité et repas animés) qui permettent à Feedtruck Belgium de s’inscrire en complémentarité des différentes initiatives existantes à Bruxelles.

  • Vers l’ASBL Feedtruck Belgium

Le projet Feedtruck Belgium offre ainsi une réponse combinée à plusieurs attentes de notre société : nourrir les personnes en situation précaire, combattre le gaspillage alimentaire de nos sociétés de surconsommation et réunir les citoyens ayant des compétences différentes autour d’un projet commun.

Pour développer cet ambitieux projet, le groupe de citoyens a sollicité une aide dans le cadre de l’appel à projets citoyens « Inspirons le quartier », mais a surtout organisé un grand crowdfunding très efficace qui lui a permis d’acquérir et d’équiper la camionnette.

Aujourd’hui le groupe citoyen, rejoint par de nombreux bénévoles, s’est constitué en ASBL afin de pouvoir solliciter des subsides plus conséquents pour poursuivre son action.

N'hésitez pas à contacter le groupe (info@feedtruckbelgium.be) pour les rejoindre ou pour avoir plus d'infos sur leur projet !

 

Ce projet a été soutenu par Bruxelles Environnement dans le cadre de l’appel à projets citoyens Inspirons le quartier- volet Good Food en 2017

 

Projets inspirants

Ateliers de cuisine La bonne bouffe

La bonne bouffe est un cycle annuel d’ateliers de cuisine où l’on vient pour expérimenter des recettes saines, savoureuses et respectueuses de l’environnement. Cultiver le plaisir d’être ensemble et faire des nouvelles rencontres sont aussi des objectifs importants pour l’équipe organisatrice.

  • Historique du projet

Ce projet a démarré dans le cadre de l’appel à projets Good Food sur base d’une idée lancée par un groupe de femmes d’origine brésilienne qui se réunissaient régulièrement au sein de l’asbl Artenativa, à Anderlecht. Si cuisiner ensemble faisait déjà partie de leurs activités communes, les ressources apportées par l’appel à projets leur a permis de structurer un programme sur l’année, d’ouvrir les rencontres à d’autres participants et de rechercher, répertorier et partager des recettes qui apportent un plus en termes de santé, d’environnement et d’économie familiale. Avec l’avancement du projet, le groupe de départ s’est élargi et diversifié, intégrant des participants de différentes communes de Bruxelles et de diverses nationalités.

  • Cuisine « zéro déchet » et « fonctionnelle »

Les ateliers La bonne bouffe montrent qu’en cuisine la saveur s’associe très bien avec des choix respectueux de l’environnement.

La bonne bouffe propose des recettes « zéro déchet » (exploitation intégrale du produit et récupération des restes) et l’utilisation de produits biologiques et, si possible, locaux. Le groupe a cherché alors à explorer la dimension « fonctionnelle » de la cuisine afin qu’en plus de leurs fonctions nutritionnelles de base, les combinaisons et modes de préparation apportent des effets bénéfiques pour notre santé.

  • Un cahier de recettes

Les recettes expérimentées lors de la première année du projet ont été rassemblées dans un cahier, offert aux participants en format papier et accessible en format numérique ici

  • Les ateliers

L’animation des ateliers est assurée par des bénévoles et les participantes se cotisent pour l’achat des produits alimentaires. Dans un premier temps les séances avaient lieu dans les locaux associatifs, mais aujourd’hui les ateliers sont mobiles : ils se passent chez une des participantes qui, le temps d’une soirée, ouvre sa maison et sa cuisine à d’autres habitants.

Le programme et les informations relatives à chaque séance sont annoncés sur la page Facebook de l’association Artenativa et les ateliers sont ouverts à toute personne intéressée; les collaborations sont d’ailleurs également bienvenues lors de la préparation de chaque séance : choix de recettes, courses, animations...

N'hésitez pas à contacter le groupe  (aartenativa@gmail.com) pour les rejoindre ou pour avoir plus d'infos sur leur projet !

 

Ce projet a été soutenu par Bruxelles Environnement dans le cadre de l’appel à projets citoyens Inspirons le quartier- volet Good Food en 2018.

Projets inspirants

La porcherie du Bon Pasteur

  • Une deuxième vie pour  la porcherie du Bon Pasteur

Sur le site du manoir d’Anjou à Woluwé-Saint-Pierre, se trouve une ancienne porcherie construite et jadis exploitée par les sœurs du Bon Pasteur. En 2013, un groupe de citoyens a l’idée de réhabiliter le bâtiment pour à nouveau y élever des porcs et pour cultiver des tomates, des poivrons, des concombres, des aubergines, du melon, du raisin,… dans la serre accolée à la façade sud  de la porcherie.  L’asbl des Fraternités du Bon Pasteur, qui est toujours propriétaire du bâtiment alors désaffecté, accepte de le mettre à disposition du groupe de citoyens. Le projet peut alors voir le jour…

  • Une porcherie en circuit court

Chaque printemps, deux jeunes truies sont achetées chez un producteur, elles sont engraissées puis abattues en hiver et leur viande est partagée entre les membres du groupe. Le projet travaille en circuit court : les truies sont nourries principalement avec des déchets alimentaires produits par les habitants du site,  les restes alimentaires de la cantine de l’école voisine et du pain (sec) invendu dans les boulangeries locales. Le fumier produit dans la porcherie sert, quant à lui, à fertiliser la terre où poussent des légumes exigeants. Le sol est paillé avec du BRF (Bois Raméal Fragmenté) produit sur place lors de la taille des haies et autres arbustes. Le coût de production est donc limité car peu d’intrants doivent être achetés ce qui rend le projet viable économiquement sur le long terme.

  • Un coût de pouce pour l’infrastructure

Mais le bâtiment est fortement dégradé et, en 2017, le groupe sollicite un soutien dans le cadre de l’appel à projet citoyen Inspirons le Quartier - Good Food pour rénover le bâtiment et ainsi pérenniser le projet. Afin d’assurer une production saine, il était en effet nécessaire de remplacer la toiture du bâtiment qui était composée de plaques et tôles Eternit (fibrociment composé d’amiante) et de repeindre les murs dont le revêtement s’écaillait. Coté serre,  une nouvelle toiture en polycarbonate intégrant un système de ventilation automatique est  placée, grâce à une donation privée.

  • Une gestion qui favorise la cohésion sociale

L’élevage de porcs demandant beaucoup de soins, les membres du groupe se partagent la charge de travail quotidien ce qui leur permet de bénéficier des produits sans devoir y consacrer trop de temps.  Ce travail collaboratif favorise la coopération, le vivre ensemble et les relations intergénérationnelles et rencontre donnant ainsi une autre ambition du projet.

Le projet s’ouvre aussi vers le quartier ! Dans une optique pédagogique, des visites de la porcherie sont ainsi organisées avec des petits groupes d’enfants venant des nombreuses écoles des environs  et des mouvements de jeunesse.

Le projet permet ainsi de produire localement une alimentation de qualité et bio en renforçant les liens entre voisins et en sensibilisant aux enjeux de la production alimentaire locale!

N'hésitez pas à contacter le groupe (bollen55@gmail.com) pour les rejoindre ou pour avoir plus d'infos sur leur projet !

 

Ce projet a été soutenu par Bruxelles Environnement dans le cadre de l’appel à projets citoyens Inspirons le quartier- volet Good Food en 2017.

 

Projets inspirants

Buurtkippen

Le contenu de cette fiche n'existe qu'en néerlandais.

Elzenhof is een Nederlandstalig gemeenschapscentrum in Elsene. waar een hele waaier van initiatieven een plekje vinden. Er gaat bijzondere aandacht uit naar projecten die sociale cohesie en duurzaamheid centraal stellen. Concerten, films, taallessen, creatieve ateliers, kunstingrepen, speelweken, familievoorstellingen babbel-en speelcafés, buurtprojecten en evenementen, ….

Sinds 2018 herbergt het centrum ook het project Buurtkippen: een kippenren van de buurt, geplaatst op de binnenplaats van het centrum, bewoond door vier vrolijke kippen: Titi , Rousette, Rosalie en Petronella

Het project is opgezet door een groep buurtbewoners die al deelnamen aan mini-moestuin projecten, compostering, een pluktuin , buurtoven en workshops over duurzaam koken die ter plekke werden georganiseerd. Een kippenren leek daarmee een logische aanvulling op de lopende initiatieven en een concrete ondersteuning om afval te verminderen en voor een lokale en kwaliteitsvolle voedselproductie, al was het maar op kleine schaal. De installatie op een druk bezochte binnenplaats en regelmatig gefrequenteerd door kinderen in familieverband of met de scholen van de buurt maakt van de kippenren een amusant en effectief sensibiliseringsinstrument voor deze onderwerpen.

Het animatieteam van de Elzenhof begeleidt de bewoners bij het beheer van het project. Verder zijn de bewoners van het dagcentrum Den Teirling en de lagere school de Wimpel beiden ook in Elsene betrokken bij het project. De kippenren is begin 2018 gemaakt en de kippen namen onmiddellijk nadien hun intrek.

Ongeveer 12 personen verzorgen de kippen en onderhouden de kippenren. Maandelijks treffen ze elkaar om een planning van het beheer op te stellen. De kippen worden voornamelijk gevoed met groenafval dat door de groep wordt aangeleverd of gerecupereerd wordt in het centrum en de eieren worden verdeeld onder de leden van de groep of geconsumeerd tijdens gezamenlijke activiteiten waar ze aan deelnemen.
Borden op het hekwerk presenteren het project en hoe het functioneert.

De binnenplaats van de Elzenhof is een semi-publieke ruimte, toegankelijk van maandag tot vrijdag met ruime openingstijden. Als u ter plekke bent, ga binnen via de koetspoort, steek de gang door naar de binnenplaats en maak kennis met de vier kippen

Adres : Centrum Elzenhof, Kroonlaan 12 1050 Elsene

Aarzel dus niet om contact (rik.fobelets@vgc.be) op te nemen met de groep om zich bij hen aan te sluiten of om meer informatie te krijgen over hun project!

 

Dit project werd ondersteund door Leefmilieu Brussels in het kader van de burgerprojectoproep Vooruit met de wijk - Good Food thema's in 2018.

 

Projets inspirants

Le projet CosyFood

Le projet CosyFood a réuni 4 partenaires de recherche (IGEAT-ULB, Färm, La Vivrière et le Réseau des GASAP) qui ont co-créé et mis en œuvre des outils d’évaluation de la durabilité de filières alimentaires alternatives Bruxelloises.

 

Enjeux et questionnements

À Bruxelles, comme ailleurs en Europe et dans le monde, de nombreux projets d’alimentation durable et alternative (définition en bas de page) voient le jour. On parle de plus en plus d’alimentation durable et de transition vers un système alimentaire plus durable et résilient. Les politiques et les administrations commencent à s’intéresser à la question alimentaire. C’est le cas à Bruxelles, avec la stratégie Good Food.

Mais la durabilité d’un système alimentaire, c’est quoi ? Qu’est-ce que cela implique concrètement dans la pratique pour une filière de distribution et l’ensemble des acteurs qui y sont impliqués ? Quelles sont les questions à se poser et les réflexions à engager pour appréhender la durabilité ?

La question de recherche principale du projet CosyFood est donc la suivante : les systèmes alimentaires alternatifs sont-ils durables ?

Pour aborder cette question générale, le projet a plus précisément exploré deux questionnements sous-jacents fondamentaux :

  1. Comment définir la durabilité de systèmes alimentaires alternatifs (filières de distribution) ?
  2. Comment évaluer la durabilité de ces filières ?
Documentation

Cultivons les Trèfles à Anderlecht

La Cité des Trèfles/Lennik est un complexe de 200 logements publics mis en location par le Foyer Anderlechtois et situé à l'ouest d'Anderlecht, entre le CERIA et le parc des Étangs. Dès l'arrivée des premiers habitants en 2012, il avait été envisagé de créer un potager collectif sur un terrain communal adjacent à ces nouveaux bâtiments. Des premières démarches avaient été initiées en 2013 mais celles-ci n'ont pas abouti car l'intérêt des habitants semblait limité. Une nouvelle dynamique a été relancé au printemps 2018 grâce à l'octroi d'une subvention GoodFood de 15.000€ par Bruxelles Environnement. Le service Développement durable a initié un programme de dynamisation citoyenne mené par les urbanistes du bureau IPE appuyé par le collectif des Saprophytes.

 

Des activités et ateliers GoodFood ont été menés en avril et en mai 2018 afin de mettre en pratique les démarches d'alimentation durable et d'agriculture urbaine. Des dizaines d'enfants et d'adultes ont ainsi pu découvrir différentes recettes telles que pesto aux plantes sauvages, tartinades végétales, pizza et briouates préparées « maison ». Une table géante et des bacs de cultures ont été construits en bois naturel avec l'appui de nombreux enfants motivés et enthousiastes.

La visite d'un potager collectif « Le jardin des Ronces » à Neerpede et les différents contacts noués lors des ateliers ont permis de mobiliser un groupe d'adultes souhaitant développer un potager collectif dans leur quartier.

Les principes directeurs et le fonctionnement de base ont été définis au cours de deux réunions de discussion avec la dizaine d'habitants réunis par l'envie de jardiner ensemble de manière écologique et conviviale. Une trentaine de parcelles d'environ 10 m² ont été délimitées collectivement et accueillent depuis lors de nombreux légumes et aromates qui semblent apprécier la qualité du sol de cet ancien terrain agricole. Le caractère intergénérationnel et l'entraide entre les jardiniers sont également au rendez-vous et ceux-ci se sont vu récompenser par l'octroi d'un soutien communal de 1800€ dans le cadre du budget participatif « Projets citoyens 2018 » géré par la Maison de la Participation.

Ce budget a permis d'équiper le site d'un abri collectif, d'une clôture et d'un portail ainsi que d'un compost collectif et de citernes d'eau de pluie.

La belle motivation des habitants de la cité des Trèfles laisse à penser que d'autres espaces du quartier pourraient bientôt développer une vocation nourricière tout en favorisant les rencontres et les échanges entre les voisins d'ici ou d'ailleurs.

 

Projets inspirants

Le jardin collectif Gray-Couronne

Le Jardin potager collectif Gray-Couronne se trouve dans le Parc communal en pente qui longe le viaduc de l’avenue de la Couronne, et relie cette avenue à la rue Gray par un escalier.

  • Les activités du Jardin collectif

Le Jardin a été créé via le Contrat de quartier Malibran (2004-2008). Il occupe deux terrasses dans le bas du Parc, derrière les logements sociaux de la rue Gray. Il accueille une vingtaine de jardiniers et est géré par un « noyau de passionnés » qui assure la continuité du projet depuis l’automne 2015. Pour ses membres, le Jardin est un lieu de détente et d’apprentissage autant qu’un support pour développer la convivialité entre les habitants du quartier.

Le Jardin potager collectif Gray-Couronne a démarré avec la construction de 25 bacs de culture, d’une mare, d’une serre et de citernes pour récupérer l’eau de pluie ; graduellement d’autres aménagements ont été ajoutés : 3 bacs supplémentaires, un compost collectif… On y cultive des légumes, des herbes aromatiques, des fleurs comestibles, de la vigne, des arbres fruitiers (pommier, poirier, prunier, pêcher, figuier, cerisier…) et des petits fruitiers (cassissiers, groseilles, camérisiers, framboisiers…).

Il s’agit d’un lieu surprenant, riche en biodiversité, en plein cœur de la ville, où l’on produit et transforme fruits et légumes et où tiennent place des activités conviviales autour de la bonne alimentation et de l’agriculture en ville.

  • Permanences, activités pédagogiques et événements

Le Jardin est visible depuis l’espace public (viaduc et escalier de l’avenue de la Couronne) mais, en dehors d’activité « portes ouvertes », son accès est réservé aux jardiniers, le Parc communal n’étant pas accessible au public. Néanmoins, les jardiniers assurent régulièrement des moments d’ouverture pour rendre le Jardin mieux connu et pour motiver de nouvelles participations : des permanences de jardinage, des activités pédagogiques avec écoles et autres acteurs sociaux, accueil public lors des événements festifs ou de sensibilisation au sujet de l’environnement… et en automne, c’est le moment de la vendange et de la production des jus et confitures !

  • Devenir membre

Toute personne intéressée peut devenir membre du Jardin sous condition d’adhérer à sa Charte et de participer aux travaux collectifs. Les candidats introduisent leur demande via le point contact suivant : https://jardingraycouronne.wixsite.com/jardin-gray-couronne/contact

N'hésitez donc pas à contacter le groupe pour les rejoindre ou pour avoir plus d'infos sur leur projet !

 

Ce projet a été soutenu par Bruxelles Environnement dans le cadre de l’appel à projets citoyens Inspirons le quartier- volet Good Food en 2017 et en 2018.

Projets inspirants

Outil pour du Cojardinage

Le projet Cojardinage soutient l’agriculture urbaine dans la capitale en incitant à partager les jardins inexploités, à jardiner ensemble et en favorisant l’échange de compétences entre maraîchers amateurs.

Un kit « Cojardinage dans votre quartier » est mis à la disposition des acteurs relais ou collectifs de citoyens qui souhaitent organiser des ateliers.

Il comporte :

  • des suggestions de questions pour faciliter les présentations entre les participants à un atelier;
  • un jeu de cartes pour élaborer son projet de cojardinage;
  • une fiche projet à remplir par chaque nouveau candidat cojardineur.

 

 

 

Documentation

Intégrer l’agriculture urbaine au bâtiment

Le Guide Bâtiment Durable dispose d’un dossier sur l'agriculture urbaine en vue d’augmenter la place attribuée à la production alimentaire sur les surfaces bâties et non bâties.

Vous pouvez y retrouver toute une série d’informations sur les différents types de dispositifs (cultures surélevées, en pleine terre, en cave, en serre, etc.) pour démarrer votre propre production sur votre parcelle.

Retrouvez le Guide Bâtiment Durable ici

Documentation

SRABE forme et sensibilise à la culture de l'abeille

La Société Royale d'Apiculture de Bruxelles et ses Environs (SRABE asbl) dont l'origine remonte à 1893 est une association qui regroupe les apiculteurs bruxellois. Elle compte quelque 350 membres. Héritière d'une longue tradition artisanale dans la ville, l’association s'adapte aux conditions de vie des abeilles en ville et des apiculteurs urbains. Elle s’articule sur 3 axes : servir, former et sensibiliser.

  • L'association organise une formation à l'apiculture en 2 ans, avec le soutien de la Commission Communautaire Française. Elle forme des apiculteurs qui s’adonnent à leur passion aux 4 coins du territoire national, mais particulièrement en ville, où l’apiculture demande des compétences différentes de l’apiculture rurale.
  • Elle se met au service de ses membres apiculteurs, en organisant des conférences spécialisées, des voyages apicoles, du prêt de matériel, des achats groupés… Pour la communauté urbaine, elle récolte les essaims d’abeilles et joue un rôle d’expertise en identifiant les insectes incommodant les habitants.
  • La SRABE sensibilise le grand public aux produits de la ruche, au monde de l’abeille, au travail de l’apiculteur et à la qualité de son environnement par des animations lors des Portes ouvertes du Jardin d’Abeilles, des fêtes de quartier, de l’environnement…

La SRABE est membre de la FAB (Fédération Apicole Belge) et du Comité d'Accompagnement qui gère le "programme miel" pour la Commission Européenne.

Vous trouverez toutes les infos sur les activités et la formation en apiculture sur notre site web

Formations / Acc